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alzheimer - Page 3

  • Maladie d’Alzheimer : recommandations de la HAS (15 01 2012)

    Communiqué de presse publié le 16 décembre 2011 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1148955/maladie-dalzheimer-une-nouvelle-recommandation-has-pour-le-diagnostic-et-la-prise-en-charge.html

    16 décembre 2011 | Communiqué de Presse

    Maladie d’Alzheimer : une nouvelle recommandation HAS pour le diagnostic et la prise en charge

    La Haute Autorité de Santé a actualisé sa recommandation « Diagnostic et prise en charge de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées » publiée en mars 2008 et retirée par la HAS en mai 2011 (1). La HAS publie aujourd’hui une version révisée par un nouveau groupe de travail qui tient compte des évolutions récentes autour de la prise en charge de la maladie, notamment les nouvelles conclusions de la Commission de la Transparence de la HAS sur les traitements médicamenteux ainsi qu’une définition du parcours de soins des patients. Cette recommandation s’intègre aux mesures du plan Alzheimer 2008-2012.


    Depuis septembre 2011, un nouveau groupe de travail composé de professionnels de spécialités et de pratiques différentes (médecins généralistes, neurologues, gériatres, psychiatres, infirmiers, etc.), ainsi que de l’association France Alzheimer, s’est réuni afin d’actualiser la recommandation publiée en mars 2008 rendue publique aujourd’hui par la Haute Autorité de Santé sous l’intitulé «Maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (2) : diagnostic et prise en charge».

    Pour plus de lisibilité et une meilleure appropriation par les professionnels, cette nouvelle recommandation suit les étapes du parcours de soins du patient, depuis les premiers symptômes (troubles cognitifs) jusqu’à la prise en charge pluridisciplinaire nécessaire à un stade avancé de la maladie.

    Une clarification du parcours de soins

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (2/2) (07 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    Prise en charge de la maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (recommandations HAS)

     

    En mars 2008, la Haute Autorité de santé (HAS) a édité des recommandations afin d’homogénéiser les pratiques en matière de diagnostic et de prise en charge des patients ayant une maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Ces recommandations abordent entre autres : le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et des autres démences les plus fréquentes, le diagnostic précoce et l’annonce du diagnostic, les traitements des symptômes comportementaux et psychologiques des démences, les interventions non médicamenteuses.

    Quelques extraits :

    «  Il est recommandé de poser le diagnostic de la maladie d’Alzheimer dès les premiers symptômes. Ce diagnostic nécessite une évaluation cognitive approfondie, réalisée de préférence dans le cadre d’une consultation mémoire spécialisée. » 

    «  Il est recommandé d’annoncer le diagnostic au patient. […] Si la personne en est d’accord, le diagnostic est communiqué à sa famille ou à la personne de son choix. […] L’annonce du diagnostic est faite en prenant en compte l’histoire de vie du patient, sa représentation de la maladie et ses craintes, ce qui peut nécessiter un travail préalable avec le médecin traitant et la famille. Le médecin qui a établi le diagnostic est responsable de son annonce. L’annonce se fait en coordination entre le spécialiste et le médecin traitant en charge de remplir le protocole de soins au titre d’affection longue durée (ALD). » 

    «  Le diagnostic ne se conçoit que dans le cadre d’un plan de soins et d’aides, qui comprend en fonction du stade de la maladie :

    une prise en charge thérapeutique médicamenteuse et non médicamenteuse ;

    une prise en charge médico-socio-psychologique coordonnée du patient et de son entourage ;

    d’éventuelles mesures juridiques. »

    «  Le suivi recommandé est pluridisciplinaire, piloté par le médecin traitant en collaboration avec un neurologue, un gériatre ou un psychiatre. Sa structuration dépend du contexte local et des ressources disponibles, mais tous les patients devraient bénéficier des dispositions proposées. »

    «  Un suivi rapproché par le médecin traitant est nécessaire, au minimum tous les trois mois, et davantage en fonction du contexte, éventuellement assisté d’un coordinateur paramédical.

    À chaque contact, il est recommandé :

    de s’enquérir du poids, de l’état nutritionnel et des constantes (pouls, tension) ;

    de surveiller attentivement toutes les comorbidités ;

    d’évaluer l’observance, la tolérance et l’efficacité des traitements pharmacologiques et des interventions non médicamenteuses ».

     

    DISCUSSION

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (1/2) (06 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

     

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    SYNTHESE

    L’accompagnement de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer en médecine générale en 2009.

    En 2009, 92 % des médecins généralistes interrogés déclarent avoir suivi au cours des douze derniers mois au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer, et 31 % déclarent en avoir accompagné plus de dix. Les médecins hommes, les  plus âgés, les médecins exerçant en secteur 1, déclarant vingt actes médicaux ou plus par jour, passant  de cinq à sept jours à leur cabinet, ne pratiquant qu’occasionnellement ou jamais un mode d’exercice particulier, mettant en œuvre systématiquement ou souvent des activités éducatives sont plus susceptibles d’avoir suivi au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer au cours de la dernière année.

    Parmi les médecins comptant dans  leur patientèle des malades d’Alzheimer, quatre médecins sur cinq (81 %)  s’estiment suffisamment formés à la  communication avec les familles,  67 % à la communication avec les  patients, 60 % à l’annonce du diagnostic  et 51 % aux traitements non  médicamenteux de la maladie. L’âge, le sexe et le nombre de patients  Alzheimer suivis par an influencent  significativement la perception des médecins concernant leur niveau  de formation. Enfin, 41 % des médecins  déclarent connaître les recommandations  de la Haute Autorité de  santé (HAS) concernant le diagnostic et la prise en charge des patients  atteints de la maladie d’Alzheimer. Le niveau de formation perçu ainsi que la connaissance des recommandations influencent significativement les pratiques des médecins à  l’égard de l’annonce du diagnostic, de l’orientation des patients vers les spécialistes ou les services paramédicaux ou médico-sociaux.

    Parmi ces praticiens, 71 % estiment qu’ils annoncent systématiquement le diagnostic à la famille de  leurs patients, 8 % à leurs patients ;  32 % déclarent ne jamais annoncer le diagnostic à leurs patients. Les  médecins les plus jeunes et ceux qui  s’estiment suffisamment formés à  différents aspects de l’accompagnement  de la maladie d’Alzheimer sont  plus susceptibles d’annoncer le diagnostic  à leurs patients.

    Quatre médecins généralistes sur cinq (81 %) déclarent orienter systématiquement leurs patients atteints  de la maladie d’Alzheimer vers un  spécialiste, 36 % vers un service d’aide et de soins à domicile et 18 % vers un centre local d’information  et de coordination gérontologique (Clic). Ces deux derniers types de pratiques sont significativement corrélés entre eux.

    Un médecin sur cinq (22 %) ayant  suivi au cours de la dernière année des malades d’Alzheimer s’estime mal à l’aise avec ces patients. Près  de sept généralistes sur dix (68 %)  déclarent qu’il est facile de prendre en charge les comorbidités, 55 %  qu’il est facile de donner des informations sur les aides sociales disponibles,  52 % qu’il est facile de  coordonner les soins et les aides, et  26 % qu’il est facile de prendre en charge les troubles comportementaux.

    INTRODUCTION

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  • Fonctionnaires : maladie d’Alzheimer (10 03 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 1er février 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-79198QE.htm

    Question n°79198 de M. Jean-Jacques Candelier (député Gauche démocrate et républicaine du Nord)

     M. Jean-Jacques Candelier attire l'attention de M. le Premier ministre sur la liste des maladies ouvrant la possibilité d'un congé de longue durée dans la fonction publique. Cette liste ne contient pas la maladie d'Alzheimer, alors qu'il s'agit d'une maladie cérébrale. Dans le privé, les salariés atteints de cette pathologie peuvent bénéficier d'un congé de longue durée.

    Il lui demande donc de bien vouloir corriger ce manque préjudiciable aux fonctionnaires.

    Réponse du Ministère de la Fonction publique publiée au JO le 01/02/2011 p. 1002

     

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  • Alzheimer, gestion conjoint (23 12 2010)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 14 décembre 2010 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-91744QE.htm

    Question n° 91744 de M. Alain Joyandet (député UMP de  Haute-Saône)

    M. Alain Joyandet attire l'attention de Mme la ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur le développement malheureux de la maladie d'Alzheimer qui frappe en nombre croissant de nos compatriotes dans notre pays où de plus en plus de couples se trouvent malheureusement confrontés au grave problème de l'altération des facultés mentales de l'un de ses membres.

    Nous constatons que, de plus en plus, les juges des tutelles refusent au conjoint de la personne vulnérable l'habilitation prévues par l'article 219, alinéa 1er, du code civil à savoir : « si l'un des époux se trouve hors d'état de manifester sa volonté, l'autre peut se faire habiliter en justice à le représenter, d'une manière générale ou pour certains actes particuliers, dans l'exercice des pouvoirs résultant du régime matrimonial, les conditions et l'étendue de cette représentation étant fixées par le juge », pour de fait les orienter systématiquement vers un régime de tutelle.

    Si les personnes malades doivent rester notre préoccupation essentielle, la situation du conjoint, devenant aidant de la personne restée au domicile, doit être aussi bien prise en considération. Ce refus constaté de la part des juges des tutelles va à l'encontre du devoir d'assistance que se doivent mutuellement les époux ; pire, il ne fait qu'alourdir la charge des tribunaux d'instance et ajoute d'inutiles difficultés matérielles et morales au conjoint de la personne vulnérable.

    C'est pourquoi il souhaiterait connaître ses intentions quant au fait de voir réaffirmée la primauté des règles issues du régime matrimonial et la subsidiarité des règles tutélaires qui sont les fondements même du code civil de notre pays, et connaître son intention vis-à-vis de cette situation qui pourrait amener les époux à signer de manière systématique des mandats de protection future, afin d'éviter une mesure de tutelle, alors que l'un d'eux est parfaitement en mesure de gérer les biens du couple et de veiller à la protection de son conjoint.

    Réponse du Ministère de la Justice et des libertés publiée au JO le 14/12/2010 p. 13563

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  • alzheimer : prise en charge (point 12 05 2008)

    Prise en charge de la maladie d'Alzheimer et création de structures d'accueil de jour Question parlementaire et réponse (très longue et détaillée) du ministère lues le 8 mai 2008 sur le site du Sénat http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ080203332

     

    Question écrite n° 03332 de Mme Gisèle Printz, sénateur socialiste de la Moselle

    Mme Gisèle Printz rappelle à Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports les termes de sa question n°437 posée le 05/07/2007 portant sur la prise en charge de la maladie d'Alzheimer et la création de structures d'accueil de jour.  

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