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retraiteshospitaliers64 - Page 700

  • Devinettes musicales (10 11 2013)

    Nous vous proposons d'orner vos dimanches par des devinettes inspirées des distractions des très longues soirées hivernales finlandaises : elles répondent au mécanisme des devinettes "Monsieur et Madame Untel ont un fils (ou 2, ou une fille, etc.) qui se prénomme....".

    Exemple : M. et Mme Thérieur ont 2 fils qui se prénomment ....   :

    (Alain / Alex, naturellement) 

    Adapté pour les vrais adeptes de la chanson populaire de Dranem à Dalida en passant par Luis Mariano ou La Lorraine), ce sport intellectuel offre une double détente, tel un hamac qui se renverse :

    - d'abord trouver les prénoms mystérieux qui joints au nom de famille cèlent (de près ou de loin) un titre ou les premières paroles de chansons connues,

    - ensuite entonner, en chœur de préférence, l'air et les paroles fidèles de la chanson.

    Cette semaine,  vous pouvez plancher sur une nouvelle famille  évocatrice :

    M. et Mme LEJOURAIT-LANUIT ont deux fils qui se prénomment : Jacques, André


    Rappel des épisodes précédents :

    M. et Mme ENFANT ont deux filles qui se prénomment :    Hélène et Ludivine

    M. et Mme CARTEPOSTALÉAUSSIDÉCRAYONS ont deux fils qui se prénomment : ………… ?

    Yvan, Dédé ;

    (Pour trouver les prénoms, chercher 5 minutes au moins puis sélectionner l'espace bleui avec le clic gauche du mulot) 

     La suite au prochain numéro

  • Consommation : septembre 2013 (09 11 2013)

    Note d’analyse publiée le 31 août 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20131031.html

    La consommation en biens baisse légèrement en septembre (-0,1 %) comme sur l’ensemble du troisième trimestre (-0,1 %)

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  • Allocation solidarité et succession (08 11 2013)

    Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) et recouvrement sur succession

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 octobre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020376S.html

    Question orale sans débat n° 0376S de M. Michel Vergoz (sénateur socialiste de La Réunion)

    Madame la ministre, l'allocation de solidarité aux personnes âgées, l'ASPA, est un dispositif qui a été institué en 2004 en remplacement du fonds national de solidarité. Il permet aux personnes âgées de plus de soixante-cinq ans qui n'ont jamais cotisé à un quelconque régime de vieillesse ou à celles qui ont cotisé mais qui reçoivent une faible pension, de percevoir une allocation complémentaire sous condition de plafond. Les plafonds de ressources annuels pour en bénéficier sont fixés à 9 325 € pour une personne seule et à 14 479 € pour un couple.

    L'ASPA est donc une allocation de solidarité, de secours, à destination de nos retraités les plus pauvres. En 2010, 576 000 retraités étaient bénéficiaires de cette allocation ou de l'allocation de solidarité vieillesse, à laquelle l'ASPA s'est substituée, dont 57 % de femmes. . De plus, 65 000 bénéficiaires sont originaires des départements d'outre-mer. Il faut rappeler que, avant 1995, les différents dispositifs du minimum vieillesse comptaient plus de un million d'allocataires.

    De plus, au décès du bénéficiaire, les sommes versées au titre de l'ASPA sont récupérables sur sa succession si son actif net dépasse le montant, fixé par décret, de 39 000 euros. Or, en 2013, cette somme est dérisoire étant donné, on le sait, que 75 % des retraités sont propriétaires de leur logement. En outre, en 2010, le patrimoine médian des personnes âgées de plus de soixante-dix ans s'élevait à 159 000 euros. Enfin, du fait de la croissance des prix du patrimoine, ce montant pourrait tripler à l'horizon 2040.

    Ainsi, en visant très directement les retraités pauvres propriétaires de leur résidence principale, le faible niveau du seuil de récupération sur succession constitue un véritable problème. En effet, le choix qui se présente à ces personnes est dramatique : soit elles gagent le petit héritage, produit du travail ou des privations de toute une vie, et portent ainsi atteinte à l'émancipation sociale de leurs descendants, soit elles renoncent à bénéficier d'une véritable allocation de subsistance et aggravent leur précarité, avec toutes les conséquences qui en découlent.

    Cette résignation et cette précarité forcée sont difficilement acceptables. Le seuil de 39 000 euros est totalement déconnecté des réalités !

    Le 22 septembre 2012, le premier président de la Cour des comptes, auditionné par la commission des affaires sociales du Sénat, répondant à ma question portant sur le motif principal du désintérêt pour cette allocation, reconnaissait que, au titre d'une insuffisante information des intéressés, « la récupération sur succession peut [...] avoir un effet dissuasif ; il faudrait d'ailleurs déplafonner le dispositif. Au législateur de faire la part de ce qui relève de la solidarité et de l'effort des familles. »

    Les dispositifs du minimum vieillesse doivent tourner le dos à l'indécence. C'est une question majeure de dignité humaine, de justice sociale, en même temps qu'un enjeu économique important dont l'objectif transcende le seul coût pour nos finances publiques.

    Je sais, madame la ministre, que le combat pour améliorer les conditions de vie des personnes âgées fonde votre engagement au sein du Gouvernement. Aussi convient-il a minima de réévaluer, de manière significative, ce seuil de récupération et de le fixer à un montant proche du patrimoine médian.

    Estimez-vous envisageable la parution d'un prochain décret relatif à la révision de ce seuil ? Ou, plus largement, alors que la réflexion sur les retraites est actuellement en cours et qu'un projet de loi sur l'adaptation au vieillissement de notre société est annoncé pour les prochains mois, envisagez-vous dans ce cadre une véritable réforme de l'ASPA, pour enfin permettre à cette prestation de devenir une allocation de solidarité et non une indécente avance sur succession ?

    Réponse du Ministère chargé de la famille publiée dans le JO Sénat du 16/10/2013 p.9563

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  • Sécurité Routière : sensibilisation (07 11 2013)

    Nous relayons volontiers cette information diffusée par nos amis du CIAPA (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    http://www.ciapa.com/html

    Le CIAPA, le Pôle autonomie Est Béarn de Nay et l’EHPAD de Bétharram organisent en partenariat avec la Préfecture et le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, une séance gratuite de

    « SENSIBILISATION A LA SECURITE ROUTIERE  »

    à destination des Seniors

    le Mardi 19 novembre 2013 de 14h00 à 17h00, à la Maison de Retraite de BETHARRAM.

    Cette séance permettra d’aborder différentes thématiques telles que : la signalisation et les ronds points, les effets de l’alcool et des médicaments sur la conduite, la baisse de la vue, de l’audition et des réflexes...

     

    Renseignements auprès du CIAPA au 05 59 80 16 37 ou du Pôle autonomie au 05 59 13 30 90.

  • Produits : substances préoccupantes (06 11 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 24 octobre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130907978.html

    Substances extrêmement préoccupantes dans des produits de grande consommation

    Question écrite n° 07978 de M. Thierry Foucaud (sénateur socialiste de Seine-Maritime)

    M. Thierry Foucaud attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la présence de substances « extrêmement préoccupantes » dans certains produits de grande consommation et sur l'information des consommateurs.

     
    En effet, une association de consommateurs vient de rendre publique une enquête visant quarante produits de grande consommation contenant des matières plastiques ou du cuir, et susceptibles de contenir des substances « extrêmement préoccupantes » telles que définies par le règlement REACH. Les analyses réalisées indiquent la présence de ces substances dans neuf de ces produits, soit près du quart. Un produit pour enfants contenait notamment un retardateur de flamme chloré (le SCCP), alors que cette substance est interdite. L'information des consommateurs concernant ces substances toxiques est, par ailleurs, très lacunaire, puisque aucun des professionnels interrogés par l'association n'a fait mention de ces substances, alors que le règlement REACH oblige les professionnels à informer les consommateurs qui le demandent de la présence éventuelle de plus d'une centaine de substances « extrêmement préoccupantes » dans leurs produits. Sur 43 distributeurs et fabricants interrogés, six n'ont pas répondu et les réponses des autres sont le plus souvent incomplètes ou faussement rassurantes. Seules trois enseignes ont répondu de façon pleinement satisfaisante.

     

    Ces résultats démontrent que l'information des consommateurs prévue par le règlement REACH est insuffisante. Il n'est pas acceptable de faire peser sur des non-experts la responsabilité de s'informer sur un sujet de santé publique, par nature très complexe. Un étiquetage des produits s'impose donc pour que les consommateurs puissent exercer leur choix en toute connaissance de cause au moment de l'achat. Il convient donc de renforcer la réglementation européenne, notamment dans le sens d'un étiquetage obligatoire, simple et intelligible, de tous les produits de consommation contenant des substances « préoccupantes » recensées par REACH. De plus, il importe d'exiger le retrait immédiat du marché français des produits contenant des substances interdites. 

    Il lui demande quelles mesures le Gouvernement entend mettre en œuvre afin d'améliorer la sécurité et l'information des consommateurs s'agissant de cette question de santé publique. 

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 24/10/2013 p. 3095

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  • Prix septembre 2013 : stabilité pour produits manufacturés (05 11 2013)

    Note d’analyse publiée le 31 octobre 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20131031.html

    En septembre, stabilité des prix des produits manufacturés sur tous les marchés : Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,3 % en septembre

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