http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/telephonie_sante/index.asp
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Voici une liste des articles les plus populaires du blog :
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Acteur majeur de la téléphonie santé depuis 2003, l’Inpes finance en 2012 dix-sept dispositifs d’aide à distance associant des lignes téléphoniques et des sites Internet (Tabac Info Service, Drogues Info Service, Fil Santé Jeunes, Sida Info Service, etc.). Ces dispositifs ont répondu à près de 1,25 millions d’appels en 2011 et l’ensemble des sites internet a reçu plus de 6,6 millions de visites. Ce sont des moyens de prévention très importants, au contact direct des Français. Un vaste programme de réorganisation de ces structures a été engagé en 2010.
À partir de 2003, l’Inpes s’est vu confier par les pouvoirs publics le pilotage d’une partie des services de téléphonie santé encore appelés services de prévention et d’aide à distance en santé (PADS) puisqu’ils associent des lignes téléphoniques et des sites internet. Ces dispositifs portent sur des champs variés en matière de prévention :
http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120902109.html
Question écrite n° 02109 de M. Jean-Pierre Sueur (sénateur socialiste du Loiret)
M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les conditions d'attribution des aides du Fonds Unifié Logement (FUL) permettant aux personnes bénéficiant de la couverture maladie universelle d'avoir accès au tarif de première nécessité (TPN) en cas de factures d'énergie impayées.
De nombreuses familles en difficulté ont souscrit des contrats d'énergie avec des fournisseurs concurrents d'EDF. Or, malgré leur éligibilité au TPN, ces personnes ne peuvent pas en bénéficier du fait de l'absence de convention entre le Conseil général dont elles relèvent et la société qui leur fournit l'énergie. Ces Conseils généraux sont en effet confrontés au refus opposé par les fournisseurs concurrents d'EDF de signer une telle convention. Il serait incompréhensible et injuste que les personnes abonnées à des opérateurs concurrents ne puissent pas bénéficier, par rapport à l'attribution des aides du FUL, des mêmes droits que les abonnés à EDF.
Il lui demande en conséquence quelles dispositions elle compte prendre, et dans quels délais, pour que tous les abonnés à une société de distribution d'électricité, quelle qu'elle soit, puissent bénéficier de ces aides.
Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 23/01/2014 p. 224
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20140416.html
En mars 2014, le prix du pétrole et des matières premières importées décroît
En mars, le prix du pétrole baisse (-2,0 %), pour s’établir à 77,9 € par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie décroissent également (-0,5 %), en raison de la diminution des prix des matières premières industrielles (-2,7 %) et minérales (–3,4 %).
Baisse du prix du pétrole en euros
http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ14040331G.html
Question d'actualité au gouvernement n° 0331G de M. Joël Billard (sénateur d’Eure-et-Loir)
M. Joël Billard. Ma question s'adresse à Mme le ministre de la décentralisation, de la réforme de l'État et de la fonction publique.
Madame le ministre, au lendemain des élections municipales, c'est avec consternation que les élus locaux ont pris connaissance des chiffres de la dotation globale de fonctionnement, la DGF, pour l'année 2014. Celle-ci accuse une forte baisse par rapport aux prévisions de réduction, qui étaient de l'ordre de 3 % par an pendant trois ans. Les chiffres annoncés, très variables d'une collectivité à l'autre, plombent les perspectives financières des collectivités.
À cela s'ajoute le surcoût de la réforme des rythmes scolaires, qui aura d'ailleurs pour effet d'accentuer les disparités sociales entre nos territoires.
Les seules marges de manœuvre restent donc la fiscalité et la réduction des investissements. À titre d'exemple, ces coûts représenteraient pour ma commune, qui compte 4 800 habitants, environ 10 % de fiscalité supplémentaire.
Augmenter la fiscalité n'est pas envisageable, les ménages étant déjà fortement touchés par le contexte économique et les hausses d'impôts successives.
Réduire l'investissement aurait un effet négatif pour la relance économique et entraînerait un accroissement du chômage. N'oublions pas que 70 % des investissements publics sont réalisés par les collectivités locales !
J'ai le sentiment que l'on veut tout doucement, sans oser le dire, faire disparaître certaines communes, bien sûr les plus petites. Il serait pourtant dommageable de se priver des 500 000 bénévoles que sont les élus locaux œuvrant au sein de ces indispensables cellules de proximité.
Madame le ministre, pour l'avenir, allez-vous enfin donner avec précision les montants de la dotation globale de fonctionnement, afin que les maires puissent établir leur budget ? En outre, ne serait-il pas judicieux de suspendre voire, de supprimer la réforme des rythmes scolaires, le temps d'en appréhender les impacts, notamment financiers, tout particulièrement dans les territoires ruraux, qui se sentent de plus en plus abandonnés et méprisés ?
Pour 93 % des communes, cette réforme n'est pas acceptée mais imposée. La vérité, c'est qu'une très grande majorité d'élus de tous bords, d'enseignants et de parents d'élèves sont réservés, voire hostiles à sa mise en application, à moins que l'État n'en assume la prise en charge.
Réponse du Ministère de la décentralisation, de la réforme de l'État et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 11/04/2014 p. 2675