Liste des articles du blog (septembre 2012) |
|
date |
titres |
1 er |
Blog : liste des articles (août 2012) |
02 |
IMPOTS : Bêtisier (11/13) |
03 |
Produits d’entretien artisanaux |
04 |
Industrie manufacturière : climat affaires août 2012 |
05 |
Propriété, servitude de vue |
06 |
Prix agricoles : juillet 2012 |
07 |
Farines animales |
08 |
Finances Publiques : Cour des Comptes |
09 |
IMPOTS : Bêtisier (12/13) |
10 |
Transports et développement durable : brèves n°26 |
11 |
Distribution d’eau : contrats |
12 |
Commandes dans l'industrie : juin 2012 |
13 |
filière éolienne : paralysie |
14 |
Retraites et rentrée 2012 |
15 |
Désherbant : toxicité |
16 |
IMPOTS : Bêtisier (13/13) |
17 |
Retraites agricoles : revalorisation |
18 |
CIAPA : Calendrier 2e Semestre 2012 |
19 |
Accueillants familiaux : statut |
20 |
Rappel de produits (mise à jour du 20 09 2012) |
21 |
Mutualité Sociale Agricole : missions |
22 |
En pratique : démarchage |
23 |
Bêtisier NOTICES (1/6) |
24 |
Miel : étiquetage |
25 |
Aidants familiaux : information et soutien |
26 |
Budget des départements |
27 |
Logement seniors : vill’âge bleu Dijon |
28 |
Urgence médicale en milieu rural |
29 |
Prix agroalimentaires et pétroliers : point été 2012 |
30 |
Bêtisier NOTICES (2/6) |
retraiteshospitaliers64 - Page 768
-
Blog : liste articles septembre 2012 (01 10 2012)
-
Bêtisier NOTICES (30 09 2012)
La sécurité et le bon usage de produits modernes de consommation courante requièrent des modes d’emplois et notices soigneusement libellés : qu’on en juge par ces instructions et avertissements relevés sur leurs emballages et que nous vous proposerons ces prochains dimanches.
.../...
5) Sur un déguisement d'halloween de Batman :
“AUX PARENTS : Utilisez avec précaution. Le masque et le plastron n'offrent aucune protection. La cape ne permet pas de voler.”
6) Dans le manuel d'instructions d'une télévision :
“Ne versez pas de liquide dans le téléviseur.”
7) Sur le manche d'un marteau :
“N'utilisez pas ce marteau pour frapper des objets solides.”
8) Sur un briquet au butane :
“La flamme peut causer un incendie.”
Lien permanent Catégories : Blog, sites, liens, humour -
Prix agroalimentaires et pétroliers : point été 2012 (29 09 2012)
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120928.html
Hausse des prix des produits pétroliers et agro-alimentaires cet été
Indices de prix de production de l’industrie française
MARCHÉ FRANÇAIS : +1,2 % en août après +0,4 % en juillet
En août, les prix de production de l’industrie française pour le marché français progressent vivement (+1,2 %), après une hausse plus modérée en juillet (+0,4 %). Les prix des produits du raffinage et des denrées alimentaires augmentent les deux mois, tandis que ceux des « autres produits industriels » se redressent en août (+0,4 %), après un net repli en juillet (-0,6 %).
Les prix des produits du raffinage augmentent en août comme en juillet…
Les prix des produits du raffinage croissent en août (+7,8 %), comme en juillet (+5,8 %). En effet, le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) continue d’augmenter en dollars (+9,9 % après +6,6 %) comme en euros (+8,8 % après +8,2 %).
… ainsi que les prix des denrées alimentaires
Lien permanent Catégories : finances, statistiques, démographie -
Urgence médicale en milieu rural (28 09 2012)
http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12051615S.html
Question orale sans débat n° 1615S de M. Jean Boyer (sénateur UCR de Haute-Loire)M. Jean Boyer. Je pense depuis plusieurs semaines à soulever le problème de la démographie médicale en milieu rural, auquel je sais que je ne suis pas le seul à être confronté.
Les perspectives à court et à moyen terme sont inquiétantes. Afin de positiver certains messages, on peut bien remplacer le qualificatif « désert » par celui d'« oasis » - ce qui, reconnaissons-le, est psychologiquement plus porteur -, mais le problème reste le même au niveau de la réalité du terrain.
Certes, cette situation quotidienne ne date pas des derniers mois. Mais le fait est qu'elle s'amplifie régulièrement. Ainsi, si le nombre de médecins n'a jamais été aussi élevé en France, sa hausse a été moins rapide que l'augmentation de la population. Dans ces conditions, comment inciter les médecins à venir sur nos territoires et à bénéficier des atouts du monde rural ?
L'aménagement du territoire, c'est d'abord donner au monde rural une parité humaine et sociale, donc aussi médicale.
N'y a-t-il pas une contradiction fondamentale à vouloir maintenir à domicile dans la France profonde nos aînés, voire nos personnes handicapées, si nous n'assurons pas leur sécurité sanitaire ?
Un service d'urgence situé parfois à plusieurs dizaines de kilomètres n'est vraiment pas rassurant, particulièrement en zone de montagne. Outre un indiscutable surcoût, le transfert des patients occasionne un risque médical aggravé par la longueur du trajet ou les difficultés d'accès au cœur des villes.
Madame la ministre déléguée, est-il possible, par des conventions contractualisées, d'assurer une présence médicale concrète dans nos zones à faible densité, qui sont aussi souvent des zones de revitalisation rurale ? Leurs habitants les plus âgés n'ont aujourd'hui pas d'autre solution que le repli sur une maison de retraite. Quelle nature de convention pourrait-on légalement établir entre les collectivités territoriales et les futurs médecins pour inciter et non contraindre ?
Je sais que vous en avez conscience, la présence médicale de proximité est la première priorité de la France rurale. Elle vient avant la présence des pompiers et de la gendarmerie. On souhaite d'abord pouvoir rester en sécurité et avoir un médecin. C'est pourquoi je souhaite connaître l'orientation du Gouvernement et savoir quelles mesures il compte proposer dans ce domaine.
Le monde rural est une chaîne avec des maillons complémentaires. La présence médicale est un maillon incontournable, qui doit être pris en compte pour l'avenir de nos territoires.
Réponse du Ministère chargé de la famille publiée dans le JO Sénat du 18/07/2012 p. 2171
Lien permanent Catégories : santé, société, cadre de vie -
Logement seniors : vill’âge bleu Dijon (27 09 2012)
VILL’ÂGE BLEU DE DIJON
On connaît de plus en plus les Vill’âges bleus organisés par les Municipalités pour regrouper les personnes âgées seules ou en couples et leur permettre de vivre en autonomie, en bonne santé et sans désagréments et ennui. Avec son titre de « Ville amie des aînés », la Ville de Dijon a procédé le 7/7/12 à la pose de la première pierre du premier Vill’âge bleu dijonnais. La FNAR., invitée par la Municipalité dijonnaise, était représentée par Evelyne TROUILLET, membre de l’AROPA 21, association adhérente à la FNAROPA, par ailleurs très active au Coderpa départemental et au Gérontopôle de Bourgogne.
Les logements, de qualité, seront construits aux normes BBC (bâtiment basse consommation) et Effinergie. La durée des travaux devrait être de dix-huit mois. Un mail arboré complètera l’ensemble de ce Vill’âge bleu. À noter qu’une accompagnatrice sociale, vivant à proximité, sera en poste pour animer et veiller journellement au bien-être des occupants et leur assurer un parcours de fin de vie en toute sécurité. Par ailleurs, cet ensemble sera doté d’une salle polyvalente permettant ainsi aux seniors et à leurs proches de se retrouver.
Il est estimé, actuellement, que le montant de la location mensuelle d’un F2 sera de 320 euros (hors charges). Des subventions en provenance du GRAND DIJON pourront en réduire le montant.
Le Président de la Mutualité Française bourguignonne, qui sera gestionnaire de cet ensemble, a confirmé la volonté de participer au projet de la Ville de DIJON et de permettre ainsi aux personnes âgées modestes de vivre dans un environnement agréable les aidant à rompre leur solitude. L’accès au Vill’âge bleu se fera après le dépôt d’une demande auprès de la Mutualité Française bourguignonne.
Lien permanent Catégories : retraite et retraités, société, cadre de vie -
Budget des départements (26 09 2012)
http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12070003S.html
Question orale n° 0003S de M. Philippe Madrelle (sénateur socialiste de Gironde)
En tant que président du conseil général de la Gironde, je tiens à exprimer l'inquiétude liée aux difficultés que les conseils généraux éprouvent à boucler le projet de budget primitif pour 2013. Je ne rappellerai pas le rôle essentiel joué par les départements dans les politiques de solidarité, qui représentent le cœur de métier de nos conseils généraux. Ces politiques sont mises à mal, d'une part, par l'insuffisance des mécanismes de compensation des dépenses liées aux transferts des compétences de l'État, et, d'autre part, par les conséquences négatives de la réforme fiscale, avec la suppression de la taxe d'habitation et de la taxe professionnelle.
Nous avons bien noté la volonté du Président de la République de restaurer des relations de confiance entre l'État et des collectivités fortes, avec une décentralisation aboutie, au service des citoyens. Néanmoins, pour réussir cette troisième étape de la démocratie territoriale dans un contexte budgétaire tendu, il apparaît essentiel de restaurer les capacités financières locales.
Comme chacun le sait, depuis plusieurs années, pour faire face aux compétences qui nous ont été confiées sans être pour autant financées, nous avons dû faire appel à la fiscalité locale. À titre d'exemple de ces transferts, vous me permettrez de rappeler la loi de 2001 créant l'allocation personnalisée d'autonomie, les lois de 2002 et 2004 départementalisant les services d'incendie et de secours et confiant aux départements le soin d'équilibrer leur budget, la loi de 2003 relative au transfert du RMI, devenu RSA en 2010, la loi de 2004 relative au transfert des routes nationales et des personnels chargés de l'entretien et de la restauration dans les collèges, la loi de 2005 créant la prestation de compensation du handicap.
Traduite en coût global cumulé de la compensation, cette lourde énumération représente pour le conseil général de la Gironde la somme de 390 millions d'euros pour la seule année 2011. Ce montant est supérieur à celui que nous consacrons annuellement à nos investissements.
Vous le savez, madame la ministre, cette politique d'accompagnement qui s'adresse aux plus vulnérables constitue le socle de notre pacte social républicain. Mon propos n'est pas de la remettre en question, mais elle concerne des dépenses soumises à une évolution soutenue : entre 2008 et 2011, le coût des trois allocations individuelles de solidarité a progressé de 31 %.
Cette évolution est par nature impossible à maîtriser. Elle est aussi de plus en plus difficile à supporter si on lui ajoute les conséquences négatives de la réforme fiscale imposée par le gouvernement précédent, qui ampute considérablement notre autonomie financière. C'est ainsi que, en Gironde, notre liberté de décision en matière de mobilisation de ressources est passée à moins de 17 %, contre plus de 37 % auparavant.
Dans de nombreux départements, cette situation se traduit par une équation budgétaire d'une limpidité inquiétante : le rythme d'augmentation de ces allocations de solidarité nationale est constamment plus élevé que celui des recettes pérennes de la fiscalité et des compensations.
Dans un tel contexte d'effet de ciseaux budgétaire, l'alternative est simple : soit l'État transfère une nouvelle ressource pérenne ou indexée pour financer ces allocations, soit il les prend à sa charge, au nom de la solidarité nationale et de l'égalité des bénéficiaires, indépendamment de la diversité de fragilité financière des départements.
J'ajoute que ces derniers engagent par ailleurs des dépenses non obligatoires de solidarité et de péréquation territoriale, qu'il serait particulièrement hasardeux de considérer comme des variables d'ajustement au lendemain d'élections présidentielle et législatives ayant révélé les inquiétudes et le désarroi d'un monde rural que les conseils généraux tiennent à bout de bras depuis que l'on a renoncé à toute politique rurale et d'aménagement du territoire sur le plan national.
Dès lors, madame la ministre, une question se pose : quelle est la solution pour boucler un budget constitué de dépenses qui augmentent fortement sans pouvoir être maîtrisées et de recettes qu'il n'est plus possible de faire évoluer suffisamment pour couvrir les dépenses ?
Sachez que nous sommes déterminés à réussir avec vous un nouvel acte fort de la décentralisation : l'approfondissement du rôle et des compétences du département, lequel doit être au service des citoyens qui y vivent.
Réponse du Ministère de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 18/07/2012 - page 2173 .
Lien permanent Catégories : autonomie / dépendance, finances