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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (2/2) (07 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    Prise en charge de la maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (recommandations HAS)

     

    En mars 2008, la Haute Autorité de santé (HAS) a édité des recommandations afin d’homogénéiser les pratiques en matière de diagnostic et de prise en charge des patients ayant une maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Ces recommandations abordent entre autres : le diagnostic de la maladie d’Alzheimer et des autres démences les plus fréquentes, le diagnostic précoce et l’annonce du diagnostic, les traitements des symptômes comportementaux et psychologiques des démences, les interventions non médicamenteuses.

    Quelques extraits :

    «  Il est recommandé de poser le diagnostic de la maladie d’Alzheimer dès les premiers symptômes. Ce diagnostic nécessite une évaluation cognitive approfondie, réalisée de préférence dans le cadre d’une consultation mémoire spécialisée. » 

    «  Il est recommandé d’annoncer le diagnostic au patient. […] Si la personne en est d’accord, le diagnostic est communiqué à sa famille ou à la personne de son choix. […] L’annonce du diagnostic est faite en prenant en compte l’histoire de vie du patient, sa représentation de la maladie et ses craintes, ce qui peut nécessiter un travail préalable avec le médecin traitant et la famille. Le médecin qui a établi le diagnostic est responsable de son annonce. L’annonce se fait en coordination entre le spécialiste et le médecin traitant en charge de remplir le protocole de soins au titre d’affection longue durée (ALD). » 

    «  Le diagnostic ne se conçoit que dans le cadre d’un plan de soins et d’aides, qui comprend en fonction du stade de la maladie :

    une prise en charge thérapeutique médicamenteuse et non médicamenteuse ;

    une prise en charge médico-socio-psychologique coordonnée du patient et de son entourage ;

    d’éventuelles mesures juridiques. »

    «  Le suivi recommandé est pluridisciplinaire, piloté par le médecin traitant en collaboration avec un neurologue, un gériatre ou un psychiatre. Sa structuration dépend du contexte local et des ressources disponibles, mais tous les patients devraient bénéficier des dispositions proposées. »

    «  Un suivi rapproché par le médecin traitant est nécessaire, au minimum tous les trois mois, et davantage en fonction du contexte, éventuellement assisté d’un coordinateur paramédical.

    À chaque contact, il est recommandé :

    de s’enquérir du poids, de l’état nutritionnel et des constantes (pouls, tension) ;

    de surveiller attentivement toutes les comorbidités ;

    d’évaluer l’observance, la tolérance et l’efficacité des traitements pharmacologiques et des interventions non médicamenteuses ».

     

    DISCUSSION

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  • Maladie d’Alzheimer et médecine générale (1/2) (06 10 2011)

    Extraits (synthèse, introduction, recommandations HAS, discussions) d’une étude publiée le 23 juin 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au rapport complet pdf)

     

    http://www.inpes.fr/

     

    http://www.inpes.fr/Barometres/Barometre-sante-medecins-generalistes-2009/pdf/accompagnement-alzheimer.pdf

     

    SYNTHESE

    L’accompagnement de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer en médecine générale en 2009.

    En 2009, 92 % des médecins généralistes interrogés déclarent avoir suivi au cours des douze derniers mois au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer, et 31 % déclarent en avoir accompagné plus de dix. Les médecins hommes, les  plus âgés, les médecins exerçant en secteur 1, déclarant vingt actes médicaux ou plus par jour, passant  de cinq à sept jours à leur cabinet, ne pratiquant qu’occasionnellement ou jamais un mode d’exercice particulier, mettant en œuvre systématiquement ou souvent des activités éducatives sont plus susceptibles d’avoir suivi au moins un patient atteint de la maladie d’Alzheimer au cours de la dernière année.

    Parmi les médecins comptant dans  leur patientèle des malades d’Alzheimer, quatre médecins sur cinq (81 %)  s’estiment suffisamment formés à la  communication avec les familles,  67 % à la communication avec les  patients, 60 % à l’annonce du diagnostic  et 51 % aux traitements non  médicamenteux de la maladie. L’âge, le sexe et le nombre de patients  Alzheimer suivis par an influencent  significativement la perception des médecins concernant leur niveau  de formation. Enfin, 41 % des médecins  déclarent connaître les recommandations  de la Haute Autorité de  santé (HAS) concernant le diagnostic et la prise en charge des patients  atteints de la maladie d’Alzheimer. Le niveau de formation perçu ainsi que la connaissance des recommandations influencent significativement les pratiques des médecins à  l’égard de l’annonce du diagnostic, de l’orientation des patients vers les spécialistes ou les services paramédicaux ou médico-sociaux.

    Parmi ces praticiens, 71 % estiment qu’ils annoncent systématiquement le diagnostic à la famille de  leurs patients, 8 % à leurs patients ;  32 % déclarent ne jamais annoncer le diagnostic à leurs patients. Les  médecins les plus jeunes et ceux qui  s’estiment suffisamment formés à  différents aspects de l’accompagnement  de la maladie d’Alzheimer sont  plus susceptibles d’annoncer le diagnostic  à leurs patients.

    Quatre médecins généralistes sur cinq (81 %) déclarent orienter systématiquement leurs patients atteints  de la maladie d’Alzheimer vers un  spécialiste, 36 % vers un service d’aide et de soins à domicile et 18 % vers un centre local d’information  et de coordination gérontologique (Clic). Ces deux derniers types de pratiques sont significativement corrélés entre eux.

    Un médecin sur cinq (22 %) ayant  suivi au cours de la dernière année des malades d’Alzheimer s’estime mal à l’aise avec ces patients. Près  de sept généralistes sur dix (68 %)  déclarent qu’il est facile de prendre en charge les comorbidités, 55 %  qu’il est facile de donner des informations sur les aides sociales disponibles,  52 % qu’il est facile de  coordonner les soins et les aides, et  26 % qu’il est facile de prendre en charge les troubles comportementaux.

    INTRODUCTION

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  • PACS et pension de réversion (05 10 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er septembre 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ100513431.html

    Question écrite n° 13431 de M. Jean-Marc Pastor (sénateur socialiste du Tarn) publiée dans le JO Sénat du 13/05/2010 – p. 1201

    M. Jean-Marc Pastor attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur la requête légitime qui s'exprime d'accorder le droit aux pensions de réversion aux partenaires survivants d'un PACS.

    Le Médiateur de la République propose cette réforme et la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité considère, en l'état de notre droit, qu'il y a discrimination fondée sur l'orientation sexuelle.

    Alors que le débat sur les régimes de retraite vient à l'ordre du jour, il lui demande si elle envisage de faire cesser l'injustice en proposant au Parlement l'extension du droit aux pensions de réversion aux personnes pacsées.

    Il lui demande au demeurant s'il prévoit d'ouvrir le droit au mariage républicain à tous les couples.

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi et de la santé publiée dans le JO Sénat du 01/09/2011 - page 2286

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  • Eau - nappes phréatiques – niveau (04 10 2011)

    Question de Député et réponse ministérielle publiées le 20 septembre 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-112059QE.htm

    Question n° 112059 de M. Christian Eckert (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche de Meurthe-et-Moselle)

    M. Christian Eckert attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur le niveau alarmant des nappes phréatiques en France métropolitaine.

    Selon un nouveau bilan établi le 1er juin et publié vendredi 17 juin par le bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), à l'exception du sud-est de l'Hexagone, les trois quarts (79 %) des réservoirs aquifères affichent un « niveau inférieur à la normale ». Fin avril, ce déficit ne concernait que 68 % des réservoirs. Il semblerait donc que les données du mois de mai confirment, avec le déficit pluviométrique conséquent observé depuis le début de l'année, que la période de recharge des nappes a été très peu effective sur une grande partie du territoire.

    Il lui demande d'une part quelles peuvent être les conséquences à long terme de cette situation dramatique pour les nappes phréatiques de la France métropolitaine et d'autre part quelles mesures entend prendre le Gouvernement afin de limiter les impacts probables de ce déficit sur les écosystèmes situés en surface.

    Réponse publiée au JO le 20/09/2011 p.10091 du Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement

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  • retraités : pouvoir d'achat (03 10 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 11 aout 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ110418315.html

    Question écrite n° 18315 de Mme Odette Herviaux (sénateur socialiste du Morbihan) publiée dans le JO du Sénat du 28/04/2011 – p. 1080

    Mme Odette Herviaux attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur l'inquiétude d'un grand nombre de retraités en France face à la baisse de leur pouvoir d'achat.

    En effet, depuis la réforme sur les retraites de 2003, la revalorisation des pensions s'effectue chaque année sur la base de l'indice des prix de l'INSEE de l'année précédente ainsi qu'à partir de l'indice prévisionnel de l'année concernée. Or, l'on sait pertinemment que cet indice est une simple mesure de l'évolution du niveau moyen des prix des biens et des services consommés par les ménage, le tout pondéré par leur propre part dans la consommation moyenne.
    Or, les produits et services tels que les loyers, l'énergie, les fruits et légumes, la protection sociale, les assurances ont augmenté bien plus que l'inflation. Ces dépenses peuvent être qualifiées de contraintes et impactent directement sur une grande majorité de retraités dont la pension moyenne est de 1 122 €/mois (825 € pour les femmes).

    Face à ces difficultés grandissantes, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour aider ces personnes, alors qu'actuellement le prix de l'énergie notamment ne cesse d'augmenter.

    Réponse du Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État publiée dans le JO Sénat du 11/08/2011 - page 2104

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  • Performances de Chuck Norris (14/20) (2 octobre 2011)

    Les performances de Chuck Norris (« Chuck Norris Facts ») sont des faits que l'on attribue à l'acteur américain Chuck Norris et font éloge de sa virilité exacerbée, de sa maîtrise des arts martiaux, de ses méthodes radicales pour résoudre les problèmes (à coup de poings, de coups de pieds circulaires et autres bottages de cul) et de sa toute puissance qui en fait l'être le plus puissant de cette planète (et a fortiori de l'univers) loin devant Dieu, Superman ou autres Hulk.

    Nombreuses et variées, les performances par dizaines émailleront 20 dimanches du blog, à compter de juillet 2011.

    http://www.chucknorrisfacts.fr/index.php?p=parcourir&tri=top&st=3690

    Chuck Norris sait faire du feu en frottant des glaçons

    Chuck Norris peut se cacher dans une pièce vide.

    Chuck Norris trouve toujours où se cache Charlie... Même dans les albums de Tintin.

    Chuck Norris a lancé le javelot à Athènes en 2004. Il a atterri à Pékin  en 2008...

    Chuck Norris peut rentrer dehors.

    Chuck Norris a battu Kasparov en trois coups : deux directs du gauche suivi d'un coup de boule.

    Chuck Norris peut couper une scie avec une planche.

    Chuck Norris ne bat jamais en retraite. Il attaque simplement dans la direction opposée.

    Chuck Norris a besoin d'une doublure pour jouer les scènes où il doit pleurer.

    Chuck Norris est le seul capable de s'arrêter après avoir entamé un paquet de chips.