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finances - Page 214

  • finances publiques : rapport de la Cour des Comptes (20 07 2009)

    Rapport de la Cour des Comptes sur la situation et les perspectives des Finances Publiques

    Extrait d’un rapport de la Cour des Comptes publié en juin 2009 (cliquer ici pour accéder au site de la Cour des Comptes et à l’intégralité du Rapport)

    http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/RSFPE/RSPFP2.pdf

     

     

    Conclusion générale

    La France a abordé la crise avec, en 2008, un déficit public de 3,4 % du PIB, nettement supérieur à celui de la moyenne des pays européens. Ce déficit est marginalement le résultat de la crise, dont les effets sur les finances publiques ont encore été très limités en 2008. Il est surtout le résultat d’une maladie chronique, l’incapacité de la France à rétablir l’équilibre de ses comptes en raison d’une insuffisante maîtrise des dépenses publiques et de baisses répétées des prélèvements obligatoires. Cela se traduit par un déficit structurel de l’ordre de 3,5 % du PIB.

    C’est l’Etat qui a contribué le plus à ce déficit. Pour autant, la persistance d’un déficit du régime général de sécurité sociale d’environ 10 Md€ depuis six ans était, dès avant la crise, très préoccupante et la stabilité en 2008 du déficit des collectivités locales n’a tenu qu’à une baisse de l’investissement.

     

    La dette publique a augmenté de 118 Md€ en 2008 pour atteindre 1 327 Md€, soit 68,1 % du PIB, et elle a généré 55 Md€ de charges financières, plus que le produit de l’impôt sur le revenu.

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  • épargne : quels taux ? (11 07 2009)

    Épargne : les banques pratiqueraient une rémunération trop élevée

    Extraits d’un article de Mme Réjane Reibaud publié le 10 juillet 2009 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/patrimoine/banque/300361449-epargne---les-banques-pratiqueraient-une-remuneration-trop-elevee.htm

     

    Le gouverneur de la Banque de France s'inquiète des conditions de concurrence sur les dépôts à la clientèle, et plus particulièrement des taux d'intérêts pratiqués par certains établissements.    

    Les banques françaises seraient-elles en train de commettre de nouveaux excès ? C'est en tout cas ce que laisse à penser la lettre envoyée par la Banque de France à la Fédération bancaire française (FBF), qui représente l'ensemble des banques françaises. Comme l'indique La Tribune de vendredi, son gouverneur Christian Noyer s'y inquiète des " conditions de concurrence sur les dépôts à la clientèle ", et plus particulièrement des taux d'intérêts pratiqués par certains établissements pour drainer les dépôts des particuliers.

    Il s'alarme ainsi des écarts entre les taux pratiqués pour les comptes épargne qui atteignent parfois jusqu'à 7% et ceux auxquels les banques se refinancent sur le marché et auprès de la BCE, soit entre 1% et 2 %. " Il ne s'agit pas de reprocher aux banques françaises de pratiquer des taux trop élevés, mais de dire qu'ils sont trop déconnectés des taux de marché et pèsent pas conséquent sur le coût de leur ressource et indirectement sur les taux de crédits octroyés ",explique-t-on à la Banque de France.

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    Lien permanent Catégories : finances
  • prix pétrole et matières premières (09 07 2009)

    La hausse du prix du pétrole s’est de nouveau accentuée en juin

    Prix du pétrole et des matières premières importées – Juin 2009

    Note lue le 8 juillet 2009 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20090708

     

    Avertissement : le prix du minerai de fer est déterminé une fois par an par des contrats d’approvisionnement annuels, à l’issue de négociations entre sidérurgistes et sociétés minières. Pour 2009, la baisse du prix a été fixée à -28,2 %. Une révision de la série et des indices associés a été effectuée depuis le début de l’année.

    En juin, la hausse du prix du pétrole s’est de nouveau accentuée, celui-ci atteignant 68,5 $ le baril en moyenne. Les prix des matières premières hors énergie importées par la France ont également accéléré : +4,9 % après +3,1 % en mai.

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  • taxe carbone (03 07 2009)

    Taxe carbone : crainte d'une perte de pouvoir d'achat supplémentaire pour les ménages

    La Conférence des experts sur la contribution climat-énergie (CCE) ou "taxe carbone" rassemble pendant deux jours à Paris, sous la présidence de l'ancien Premier ministre Michel Rocard, économistes, industriels, syndicalistes, et représentants des ONG.

    Cette taxe, qui vise à taxer les consommations d'énergie fossile (pétrole, gaz, charbon) afin de changer les comportements et de réduire les émissions de gaz à effet de serre, fait déjà beaucoup de bruit. Il ne faut pas qu'elle "retombe sur les consommateurs", a demandé ce jeudi sur France Inter Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière.

    "Sur toute une série d'éléments, que ce soit en matière d'impôts, de cotisations sociales, la part des entreprises depuis vingt ans a chuté, ce sont les ménages qui payent plus", a-t-il relevé.

    "Trouver des compensations"

    La taxe ne "portera pas atteinte au pouvoir d'achat", a assuré la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno. "Elle est faite pour changer la société et ne se fera pas contre les personnes."  ../..

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  • hausses 1er juillet 2009 (02 07 2009)

    Tout ce qui change au 1er juillet

    Extraits d’un article lu le 1er juillet 2009 sur le site du Figaro (cliquer ici pour accéder au site du Figaro)

    http://www.lefigaro.fr/patrimoine/2009/07/01/05001-20090701ARTFIG00405-tout-ce-qui-change-au-1er-juillet-.php

     

    Transports en commun, TVA dans la restauration et prix de l'énergie, tour d'horizon de ce qui évolue, à la hausse comme à la baisse, dès aujourd'hui.

    Fait marquant du jour : la baisse de la TVA dans la restauration . Attendue depuis des années par les professionnels du secteur, cette réduction de 19,6% à 5,5% devrait se concrétiser pour les clients par des réductions de 11,8% sur leur addition. Les prix ne seront pas pour autant bradés : les restaurateurs qui apposeront le macaron «La TVA baisse, nos prix aussi» ont simplement l'obligation de réduire le prix de 7 produits au minimum sur une liste de 10 références. Par exemple, le petit noir que l'on achetait hier encore 1,60 euro passe à 1,40 euro. Les restaurateurs confrontés à une érosion de leur clientèle attendent de cette mesure qu'elle fasse revenir les consommateurs.

    Aujourd'hui aussi, certains salariés verront leur rémunération augmenter. Pour les bénéficiaires du salaire minimul légal, la revalorisation est fixée à 1,3%. Le taux horaire brut est ainsi porté à 8,82 euros (6,93 euros nets), contre 8,71 euros auparavant. Un salarié au SMIC, qui travaille 35 heures par mois, percevra donc 1 051 euros nets. Comme prévu, cette hausse suit simplement l'évolution de l'inflation. Environ 3,4 millions de salariés sont payés au SMIC en France.

    Les fonctionnaires vont également bénéficier d'une augmentation de leur salaire. Leur point d'indice est aujourd'hui revalorisé de 0,5%. Les trois fonctions publiques sont concernées (Etat, territoriale et hospitalière), soit 5,2 millions de fonctionnaires. ../..

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  • fonds de réserve des retraites (25 06 2009)

    Fonds de réserve pour les retraites (FRR)

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle lues le 20 juin 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ09060326G&idtable=q216692|q216693|q216694|q216695|q216696|q216697|q216698|q216699|q216700&&rch=qs&de=20090514&au=20090614&dp=3+ans&radio=deau&aff=ar&tri=da&off=40&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0326G de M. Claude Domeizel (sénateur socialiste des Alpes de Haute-Provence)

    Ma question porte sur le Fonds de réserve pour les retraites, le FRR.

    Rappelons que ce fonds, créé en 1999, a pour vocation de mobiliser les ressources nécessaires pour faire face aux difficultés financières que connaîtra notre régime par répartition. L'objectif de réunir 150 milliards d'euros d'ici à 2020 paraît compromis si l'on considère que l'actif détenu aujourd'hui serait de 27 milliards d'euros. Certes, le FRR est victime de la crise des marchés de capitaux, mais cette situation est essentiellement due au fait que, depuis 2002, les gouvernements successifs l'ont très peu alimenté.

    Par ailleurs, ces dernières semaines, la presse s'est fait largement l'écho d'un laisser-aller dans la gestion des contrats d'assurance-vie en déshérence, ceux pour lesquels aucun héritier ou bénéficiaire ne se manifeste. Les compagnies d'assurances doivent en effet verser au Fonds de réserve pour les retraites les encours des contrats non réclamés, ce qui représenterait 2 milliards d'euros, pour plus de 100 000 contrats de ce type. Cela n'est, semble-t-il, que partiellement fait. Le Médiateur de la République, notre ancien collègue Jean-Paul Delevoye, va même jusqu'à déclarer que « ni les assurances ni les pouvoirs publics ne jouent le jeu ».

    Je me permets de rappeler que, en vertu d'une loi de décembre 2007, le Gouvernement aurait dû remettre au Parlement avant le 1er janvier 2009 un rapport faisant le point sur ces contrats en déshérence. Est-il prêt à nous remettre ce rapport ? Nous disposerions ainsi d'éléments officiels et, je l'espère, crédibles. En outre, quelles mesures le Gouvernement compte-t-il prendre pour atteindre l'objectif de 150 milliards d'euros en 2020 ? Plus généralement, quelle est sa conception de l'avenir de ce fonds, indispensable pour la consolidation de notre régime par répartition ?

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