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retraite et retraités - Page 33

  • Retraités et complémentaire santé (18 04 2013)

    Communiqué de presse diffusé le 15 avril 2013 par la Confédération Française des Retraités (cliquer ici pour accéder au site de la CFR)

    www.retraite-cfr.fr

    Communiqué de Presse n°117 : Complémentaire santé : les retraités oubliés ?

    Victimes du désengagement de l’assurance maladie obligatoire, des effets des dépassements d’honoraires, et de tarifs des complémentaires santés qui augmentent avec l’âge, les retraités sont les premiers concernés par le renoncement aux soins.

    La CFR, par lettre du 16 janvier 2013, a alerté Madame Marisol TOURAINE, Ministre, des affaires sociales, sur les effets de cette situation et demeure dans l’attente d’une réponse.

    Les députés viennent de voter la généralisation de la complémentaire santé pour tous les salariés actifs. La CFR salue cette amélioration de la protection de la santé conforme aux grands principes fondateurs de l’assurance maladie en France mais interpelle les pouvoirs publics sur l’urgence d’une solution équivalente ouverte aux retraités.

    Fait à Paris, le 15 avril 2013

     

    La Confédération Française des Retraités est constituée des 5 principales organisations de retraités : Aînés Ruraux Fédération Nationale – Groupement CNR-UFRB - Confédération Nationale des Retraités des Professions Libérales - Fédération Nationale des Associations de Retraités - Union Française des Retraités

    83-87 avenue d’Italie - 75013 PARIS – Tél : 01 40 58 15 00

    Fax 01 40 58 15 15 – courriel : conf.retraites@wanadoo.fr – site : www.retraite-cfr.fr

  • Réforme des Retraites (17 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 15 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13030122G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0122G de Mme Catherine Procaccia (sénatrice UMP du Val-de-Marne)

    Après avoir tant critiqué la réforme des retraites engagée par François Fillon en la qualifiant d'injuste et de non financée, le Président de la République annonce – et je m'en réjouis – que le Gouvernement est enfin prêt à faire « des choix courageux » pour assurer « l'avenir de nos régimes de retraite ». 

    Ces choix, quels seront-ils ? Le rapport du Conseil d'orientation des retraites souligne que, pour éviter la faillite du système, il nous faut trouver 20 milliards d'euros d'ici à 2020. J'insiste sur ce montant, car ce sont 47 milliards d'euros qui auraient été nécessaires si nous n'avions pas engagé la réforme en 2010.

    Vous reconnaissez enfin que l'allongement de l'espérance de vie doit être pris en considération. Ce fait ne date pourtant ni d'hier ni de mai 2012 !

    Madame la ministre, vous avez déclaré dimanche que des efforts seraient demandés à tous les Français. Puisque toucher à l'âge des départs à la retraite semble complètement tabou, à quels efforts pensez-vous ? Le Gouvernement doit être clair et honnête envers les Français. Oserez-vous leur annoncer qu'ils devront cotiser plus de 41,5 années ? Ils vont faire le calcul et ils verront que les 62 ans ne sont qu'un leurre ! Pourtant, cela ne suffira pas, vous le savez ! 

    En faisant sauter, le verrou des 62 ans l'été dernier, vous avez donné un signal contradictoire aux Français et dépensé 3 milliards d'euros. Vous avez ainsi contraint les régimes complémentaires à décider de désindexer les pensions.

    Après avoir instauré à l'automne une nouvelle contribution à la charge des retraités, allez-vous continuer à les paupériser ? Contrairement à ce que vous aimez faire croire, ils sont loin d'être des nantis.

    Madame la ministre, je vous poserai trois questions précises.

    Premièrement, que comptez-vous faire avec les salariés des régimes spéciaux ? Vont-ils continuer à être exemptés des futurs efforts, à pouvoir partir à la retraite à 52 ans, comme les cheminots, ou à 57 ans, comme les autres agents de la SNCF et de la RATP ?

    Deuxièmement, prendrez-vous aujourd'hui l'engagement de présenter votre réforme devant le Parlement, et non de légiférer par ordonnance, comme le suggère le porte-parole du Gouvernement ?

    Troisièmement, lorsque vous étiez députée, vous souhaitiez une réforme garantie financièrement jusqu'en 2030. Celle que vous allez nous proposer aura-t-elle les ambitions de celle que vous nous réclamiez ?

    Réponse du Ministre des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15 mars 2013

     

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  • Guerre entre retraités ? (23 03 2013)

    Communiqué de presse de la Confédération française des retraités diffusé le 22 mars 2013 zt publié sur le site de la CFR (cliquer ici pour accéder au site de la CFR)

    www.retraite-cfr.fr

    Qui veut ouvrir une guerre entre les retraités ?

    Tout se passe comme si le Gouvernement et les partenaires sociaux voulaient accentuer les clivages entre secteur public et secteur privé, entre actifs et retraités et, maintenant entre les catégories de retraités.

    -Il y a eu cette taxe discriminatoire de 0,3 % issue de la suppression du Lundi de Pentecôte en 2004 

    -Voilà que maintenant s’ouvre le champ des revalorisations de pension au 1er avril.

    o    Le Gouvernement décide de revaloriser de 1,3 % les pensions des régimes de base.

    o    Les partenaires sociaux décident de revaloriser de 0,8 % les pensions du régime Arrco

    o    Ils décident aussi de ne revaloriser que de 0,5 % celles du régime Agirc, considérant qu’il s’agit d’anciens cadres bien payés alors que ce régime compte nombre d’agents de maitrise et techniciens et que la pension moyenne qu’il sert est de 746 € par mois.

     Pour la Confédération Française des Retraités, c’est irresponsable et inacceptable.

     

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  • allocation de solidarité aux personnes âgées : conditions d'attribution (15 03 2013)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 26 février 2013 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-14592QE.htm

    Question n° 14592 de M. Jean-René Marsac (député socialiste d’Ille-et-Vilaine)

    M. Jean-René Marsac attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur les modalités de remboursement de l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA). De plus en plus de familles nous alertent sur le fait qu'elles découvrent, au moment du décès du bénéficiaire, l'obligation de rembourser tout ou partie du montant de l'allocation versée, en fonction de l'actif successoral du défunt.

    La loi prévoit en effet que le principe de solidarité s'applique après contribution du bénéficiaire lui-même, ou plus exactement de ses héritiers, lorsque le bénéficiaire possédait des biens propres et laisse à ses héritiers un capital supérieur à 39 000 euros. Si nul n'est censé ignorer la loi, il semblerait que l'information aux familles ne soit pas suffisamment claire et explicite sur ce point. Il demande donc si une mention obligatoire « aide remboursable » pourrait être inscrite sur chaque bordereau de versement de l'allocation.

    Par ailleurs, dans le cas d'un conjoint survivant occupant toujours le logement conjugal, il est impossible aux familles de vendre le bien pour rembourser la dette. Il demande donc si le remboursement de la dette peut être différé au moment du décès du conjoint survivant.

    Réponse du Ministère des Personnes âgées et de l’autonomie publiée au JO le 26.02.2013 p. 2297

     

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  • Retraites Complémentaires: négociations AGIRC-ARRCO (12 03 2013)

    Texte publié dans le bulletin mensuel AU FIL DES JOURS n°77 du 1er mars 2013, bulletin interne d'informations commun à la Fédération Nationale des Associations de Retraités  FNAR  et à l'Union Française des Retraités UFR (cliquer ici pour accéder au site de la FNAR)

    http://www.fnar.info/.html

    LE 14/02, Négociations Agirc/Arrco

    Dans un contexte de front syndical fissuré les gestionnaires de ces régimes n'ont pas trouvé d'accord définitif sur les mesures conservatoires à appliquer à partir du 1er avril prochain. Ils semblent avoir entériné le principe de revalorisations annuelles inférieures de 1 point à l'inflation jusqu'en 2017, en échange d'une hausse des cotisations.

    Cette hausse, subordonnée à la non dégradation de la situation économique des entreprises – ce qui est flou - n'interviendrait qu'en 2015 et serait limitée à celle du taux d'appel (non générateur de droits), le taux contractuel restant inchangé. Cette limitation n'est en outre acceptée que par la CFDT.

    Un accord final devrait être conclu lors de l'ultime réunion, le 8/03, mais la présidente du Medef, prenant en quelque sorte ses propres négociateurs à revers, exclut maintenant une augmentation des cotisations et écarte l'idée d'une désindexation des retraites. Elle regrette vivement par ailleurs que le gouvernement laisse les gestionnaires des régimes complémentaires négocier “à l'aveugle” c'est-à-dire sans rien dévoiler de ses intentions concernant le régime général.

    À ce sujet la « Commission pour l'avenir des retraites », groupe de 6 ou 7 experts, présidé par l'ancienne présidente du COR, Yannick Moreau, sera installée ce 27/02 par le Premier ministre, et chargé de proposer des pistes de réforme à plus ou moins long terme. Si, malgré la déclaration de Laurence Parisot, il est aujourd'hui probable qu'un accord Agirc/Arrco sera conclu le 8/03, il est impossible d'en prévoir le contenu exact.

    En tout état de cause, la Commission retraites CFR  estime que, si la désindexation n'est pas rapidement étendue à l'ensemble Fonction publique/Régimes spéciaux, la CFR devra réagir avec vigueur et rappeler les propos récents du premier ministre faisant de la justice un des aspects clés de la réforme indispensable.

  • Vieillir en forme (07 03 2013)

    Article paru dans le bulletin EQUILIBRES n°91 de mars 2013 de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

     

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/91/prevention_vieillir_en_forme_c_est_possible.asp

    Vieillir en forme, c'est possible !

    Depuis janvier, l'Inpes diffuse des publi-rédactionnels à destination des jeunes et futurs retraités. Consacrés à l'activité physique, l'alimentation, la vie affective, la cognition, la prévention santé et les rythmes de vie, ils délivrent conseils et témoignages pour aider les personnes âgées de 55 à 65 ans à adopter des comportements favorables à un vieillissement "en santé et en autonomie".

    Ces publi-rédactionnels ont été élaborés dans le cadre du programme "Vieillir en bonne santé" de l'Inpes, dont l'une des priorités pour les années 2012 et 2013 est de démontrer qu'en adoptant certains comportements protecteurs, bien vieillir – en bonne santé et avec une qualité de vie réelle – est possible.

    En réponse aux attentes

     

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