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santé - Page 116

  • Rappel de produits (mise à jour du 2 mars 2018) (03 03 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    28/02/2018 - Avis de rappel de tables à langer de la marque Bébé 9
    Risque de coincement de la tête d'un enfant

    Nom du produit : Tables à langer WEL et PAPILLON

    Marque : Bébé 9

    Référence : Table à langer PAPILLON FMS-96200150   -  Table à langer WEL FMS-96200470

    Lot : l'ensemble des numéros de lot.

    Description : Risque de coincement de la tête d'un enfant.

    Mesure prise par le professionnel : Retrait et rappel des produits. Le professionnel demande de ne plus utiliser les produits et de les rapporter au point de vente en vue du remboursement.

     

    28/02/2018 - Avis de rappel doudou de marque BOUT’CHOU
    Risque d'étouffement

    Nom du produit : Doudous en forme de lapin, souris et singe

    Marque : MONOPRIX BOUT'CHOU

    Code-Barres :

    3614910018528 / 3614910018535 / 3614910018542 /3612303735823 / 3612303735878 / 3612303735861 / 3612303202417 /3612303202424 / 3612303202400 / 3614910376857 / 3614910376864 /3614910376697

    Risque : Etouffement

    Description : Produits non conformes à l'EN 71-1:2014 point 5.2.c. et au décret n°2010-166 du 22 février 2010 relatif à la sécurité des jouets

     

    26/02/2018 - Avis de rappel d’une bouilloire électrique KitchenAid
    Risque de brûlures (la poignée de la bouilloire pourrait se détacher du corps de la bouilloire au niveau des points de fixation supérieurs et par conséquent devenir instable)

    Nom du produit : bouilloire électrique

    Marque : KitchenAid de WHIRLPOOL

    Référence :

    5KEK1722EAC  YA302***** à YA724*****

    5KEK1722EER  YA302***** à YA724*****

    5KEK1722EOB  YA302***** à YA724*****

    5KEK1722BESX  YA302***** à YA724*****

    Lot : bouilloires électriques 1.7 L fabriquées entre janvier 2013 et juin 2017

    Risque : Risque de brûlures (la poignée de la bouilloire pourrait se détacher du corps de la bouilloire au niveau des points de fixation supérieurs et par conséquent devenir instable).

    Mesure prise par le professionnel : Contacter via un formulaire la société WHIRLPOOL afin de vérifier que la bouilloire est concernée et obtenir son remplacement :

    http://www.repair.whirlpool.com/

     

    23/02/2018 - Avis de rappel : informations de sécurité « Airbag d’avalanche de génération 3.0 MAMMUT »

    Nom du produit : airbag d'avalanche de génération 3.0

    Référence : airbag d'avalanche génération 3.0

    Lot : produits des saisons hiver 2016/2017 et hiver 2017/2018

    Risque : Arrêt respiratoire (risque d'ensevelissement si le système ne se déclenche pas)

    Mesure prise par le professionnel : Vérification de l'équipement par le consommateur et possibilité de prendre contact en cas de doute avec le service client MAMMUT.

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Autisme : 4e plan (26 02 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ17120170S.html

     

    Question orale n° 0170S de M. Pascal Savoldelli (sénateur du Val-de-Marne)

    Pascal Savoldelli. Madame la secrétaire d'État, ma question porte sur la réalisation du quatrième plan Autisme, qui relève de la compétence de l'État.

    Selon le récent rapport de la Cour des comptes sur ce sujet, seuls 15 % des enfants autistes bénéficient aujourd'hui d'un diagnostic et d'interventions précoces. On est donc dans une situation inquiétante, où les besoins sont très loin d'être pourvus. Quand je rencontre les associations et les familles, je constate beaucoup de colère, une colère qui est légitime, mais qui, à mon sens, n'est pas ignorée par le Gouvernement.

    En juillet, puis en septembre 2017, aux côtés du Président de la République, vous avez en effet annoncé, madame la secrétaire d'État, l'élaboration d'un nouveau plan Autisme. Je dois néanmoins vous avouer que les familles sont inquiètes, car rien n'est sorti de concret pour le moment.

    En attendant, et pour ne citer que cet exemple, le conseil départemental du Val-de-Marne s'est engagé à cofinancer 520 nouvelles places dans les structures d'accueil pour personnes handicapées, avec une priorité pour les enfants autistes. Voilà du concret !

    En déplacement à Bordeaux, il y a quelques jours, vous avez dévoilé, madame la secrétaire d'État, quelques premiers axes de ce plan, concernant notamment le dépistage, mais aussi la formation d'auxiliaires de vie scolaire. Cela n'est pourtant pas suffisamment précis, et c'est pourquoi je vous interroge aujourd'hui. Qu'en est-il des mesures concrètes ? Les familles, les personnels soignants et toutes les personnes concernées ont le droit de le savoir.

    Enfin, j'ai une demande particulière relative à la réforme de l'allocation aux adultes handicapés, l'AAH. Sa revalorisation était un combat de longue date des parlementaires communistes ; je me félicite donc que le Gouvernement ait accepté de l'augmenter de 100 euros d'ici à 2019. Toutefois, de par votre réforme, un bénéficiaire commencera à perdre de son allocation si son conjoint dispose d'un revenu de 1 126 euros par mois. C'est ensuite dégressif et, à partir de 2 200 euros de revenu pour le conjoint, la personne handicapée n'aura plus rien !

    Jusqu'à 50 % des personnes handicapées seraient pénalisées. Admettez, madame la secrétaire d'État, qu'on ne peut pas accepter cela.

    Voici donc ma seconde question : le Gouvernement va-t-il mettre fin à la prise en compte des revenus du conjoint dans le calcul de l'AAH ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du Premier ministre, chargé des personnes handicapées publiée dans le JO Sénat du 14/02/2018 p. 1427

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 23 février 2018) (24 02 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    19/02/2018 - Avis de rappel Ananas Cayenne Marque Tropical Fruit
    Présence de « Ethéphon» (produit phytosanitaire appliqué sur les cultures comme l’ananas)

    Nom du produit : Ananas Cayenne

    Marque : Tropical Fruit

    Référence : Les ananas sont munis d’une étiquette avec un code barre : 3 453 120 236 458

    Lot : Vendu en vrac au rayon Fruits et légumes de la période du 01/02/2018 au 15/02/2018.

    Risque : Présence de « Ethéphon» (produit phytosanitaire appliqué sur les cultures comme l’ananas) à une teneur supérieure à la limite définie par l’Union Européenne et atteignant un seuil pouvant présenter un risque pour la santé du consommateur lors d’une consommation régulière.

     

    19/02/2018 - Avis de rappel Douceur d'amandes Bio LES PETITES POUSSES
    Ces produits contiennent l’allergène noisette non déclaré

    NOM DU PRODUIT : Douceur d'amandes Bio LES PETITES POUSSES

    MARQUE : LES PETITES POUSSES

    REFERENCE : Douceur d'amandes bio 2x100g

    DESIGNATION :   Lot : 0036

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Cancer colorectal : dépistage des personnes à risque (22 02 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 12 juillet 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2780279/fr/cancer-colorectal-le-depistage-des-personnes-a-risque-en-5-points.html

    Cancer colorectal – Le dépistage des personnes à risque en 5 points (12.07.2017)

    Deuxième cancer le plus meurtrier, le cancer colorectal se développe de façon sporadique dans 80 % des cas. Il survient aussi dans un contexte familial (15 %) ou peut être lié à des prédispositions génétiques (5 %). Un dépistage efficace permet de le diagnostiquer à un stade précoce et d'avoir un très bon taux de survie. La HAS publie une fiche mémo, qui s’adresse notamment aux médecins traitants, pour rappeler les modalités de dépistage et de prévention, en particulier chez les sujets à risques élevé et très élevé.

     

    1. Les facteurs de risque du cancer colorectal

     

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  • Rougeole : vaccination (20 février 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 13 février 2018 sur le site Santé publique (cliquer ici pour accéder au site Santé publique)

    http://www.santepubliquefrance.fr/Accueil-Presse/Tous-les-communiques/Recrudescence-des-cas-de-rougeole-la-vaccination-est-la-meilleure-protection.html

    Recrudescence des cas de rougeole : la vaccination est la meilleure protection

    Depuis le 1er novembre 2017, 387 cas de rougeole ayant entraîné 1 décès et 83 hospitalisations, dont 6 en services de réanimation, ont été déclarés en France. En effet, plusieurs foyers épidémiques ont été identifiés sur l’ensemble du territoire, principalement en Nouvelle-Aquitaine, chez des personnes non immunisées contre cette maladie. Afin de limiter le risque de propagation de l’épidémie, la Direction générale de la Santé et Santé publique France rappellent que la vaccination est le moyen le plus efficace de se protéger contre la rougeole.

    La rougeole est une maladie infectieuse très contagieuse. Une personne contaminée peut infecter 15 à 20 personnes en cas de couverture vaccinale insuffisante dans l’entourage. Or, cette maladie peut présenter des formes sévères (insuffisance respiratoire, complications neurologiques parfois irréversibles) nécessitant une hospitalisation et pouvant conduire au décès du patient dans les cas les plus graves. Entre 2008 et 2017, 33 cas d’encéphalite et 20 décès suite à une rougeole ont été recensés en France par Santé publique France.

    Lorsqu’un foyer épidémique de rougeole est identifié, les investigations épidémiologiques mettent en évidence une absence de vaccination, ou une vaccination incomplète, chez la grande majorité des personnes infectées.

    Tous les enfants et jeunes adultes devraient être vaccinés contre la rougeole. C’est une vaccination très efficace qui protège de la maladie dans près de 100% des cas après 2 doses de vaccin. C’est pourquoi, depuis le 1er janvier 2018, la vaccination contre la rougeole fait partie des 11 vaccinations obligatoires chez les enfants.

    La Direction générale de la Santé invite toutes les personnes non vaccinées ou qui auraient des doutes concernant leur statut vaccinal à consulter dès à présent leur médecin traitant pour une éventuelle mise à jour de leurs vaccinations.

    En milieu de soins, les professionnels de santé dont les antécédents de vaccination ou de rougeole sont incertains, sont également invités à mettre à jour leur vaccination pour éviter la propagation de cette maladie et protéger les patients les plus fragiles.

    La commission technique des vaccinations de la Haute Autorité de Santé recommande par ailleurs de vacciner les personnes de plus de 6 mois, ayant été en contact avec un malade atteint de la rougeole, dans les 72 heures qui suivent le contact afin de prévenir le risque de contagion.

    Plus d'information sur la vaccination et la maladie : http://www.vaccination-info-service.fr/

  • Télémédecine (19 02 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170901412.html

     

    Question écrite n° 01412 de M. Hervé Maurey (sénateur de l’Eure)

    Hervé Maurey attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur les conclusions du rapport de la Cour des comptes « sécurité sociale » 2017 concernant la télémédecine.

     
    Dans ce rapport, la Cour des comptes estime que la télémédecine reste en France une pratique marginale, qui n'a pas eu les effets escomptés en matière de réorganisation du système de santé. Ainsi, le volume des actes de télémédecine réalisés par les centres hospitaliers est resté minime : moins de 258 000 actes en 2015 soit l'équivalent de 0,3 % des actes et consultations externes.

     
    Un manque de coordination au niveau national et une « action publique dispersée », indissociable de l'échec de la stratégie nationale de déploiement de la télémédecine en 2011, est en particulier dénoncé par la Cour des comptes. Les expérimentations menées au niveau local dépendent en grande partie de l'initiative et de l'investissement des médecins. Les dispositifs d'aides financières caractérisés par leur hétérogénéité et l'absence de pérennité ne permettent pas à la télémédecine de prendre l'ampleur attendue.

     
    Aussi, la Cour des comptes recommande de fixer des objectifs précis et mesurables de déploiement de la télémédecine aux acteurs de la santé, de généraliser dès 2018, ainsi que le prévoit la loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé, le dossier médical personnel, de définir un cadre tarifaire incitatif qui prévoit un système de répartition de la rémunération entre les intervenants de santé prévenant des risques d'inflation de la dépense.

     
    Enfin, elle invite les pouvoirs publics à concentrer les expérimentations sur les projets généralisables. 


    Aussi, alors que la télémédecine apparaît comme l'une des solutions pour répondre aux enjeux de désertification médicale, il lui demande les mesures qu'elle compte mettre en œuvre pour favoriser son développement et prendre en compte les recommandations de la Cour des comptes.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 01/02/2018 p. 449

     

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