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santé - Page 278

  • soins palliatifs : crédits (18 06 2008)

    Les soins palliatifs vont être dotés de 230 millions d'euros supplémentaires

     

    Article lu le 17 juin 2008 sur le site de La Tribune (cliquer ici pour accéder à l’article original)

     

    http://www.latribune.fr/info/Les-soins-palliatifs-vont-etre-dotes-de-230-millions-d-euros-supplementaires-~-ID9D6F4D018FDA0346C1257467004A3FE3-$Channel=Economie-$SubChannel=France-$Mail=1

     

     

     

    Le nombre de personnes prises en charge devrait doubler en quatre ans. Les directeurs d'établissements pour personnes âgées parlent de mesures "extrêmement modestes".

     

    Les soins palliatifs, dont bénéficient actuellement environ 100.000 personnes, vont être dotés de 230 millions d'euros supplémentaires. Ce plan de développement, annoncé ce vendredi par Nicolas Sarkozy à Bourges, prévoit permettre de doubler d'ici 2012 le nombre de personnes prises en charge afin que "les gens puissent mourir dignement".

     

     

     

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  • procréation médicalement assistée (point 17 06 2008)

    La procréation médicalement assistée soulève des questions préoccupantes

    Rapport d’une Audition publique du mardi 10 juin 2008 (lue sur le site du Sénat le 15 juin 2008) http://www.senat.fr/presse/cp20080613b.html

    Chargés par l'OPECST d'évaluer la loi « bioéthique » du 6 août 2004, M. Alain CLAEYS, député SRC de la Vienne, et M. Jean-Sébastien VIALATTE, député UMP du Var, ont organisé une troisième audition publique, portant sur les enjeux et les défis éthiques de la PMA (Procréation médicalement assistée) ou AMP (aide médicale à la procréation) au regard des droits des futurs parents et de l'intérêt de l'enfant.

    Les débats entre parlementaires, biologistes, médecins spécialistes de la procréation, juristes, sociologues, psychologues, responsables de l'Agence de la biomédecine et du Comité consultatif national d'éthique, représentants d'associations ont montré que ces sujets complexes suscitaient des controverses passionnées.

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  • médecin généraliste (15 06 2008)

    Le médecin généraliste, une espèce menacée

     

    Article de MM. Jean de Kervasdoué, Christian Lehmann et Claude Bronner, lu sur le site du Monde le 8 juin 2008 (cliquer ici pour accéder à l’article original)

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/06/06/le-medecin-generaliste-une-espece-menacee-par-jean-de-kervasdoue-christian-lehmann-et-claude-bronner_1054744_3232.html

     

    Certains sujets paraissent si consensuels qu'ils ne semblent pas mériter d'attention particulière, il en est ainsi du rôle du généraliste dans l'organisation des soins médicaux. N'est-il pas le "pivot" du système, le confident accueillant, accessible, et toujours disponible de son patient ? L'Etat n'a-t-il pas mis en valeur son rôle en incitant les Français à choisir un médecin "traitant" et, à cette occasion, les généralistes n'ont-ils pas été plébiscités, car choisis dans 98 % des cas ? La faculté n'a-t-elle pas à son tour distingué l'étendue de ses compétences en organisant pour les généralistes une filière spécifique et en rallongeant la durée de leurs études, désormais aussi longues que celles des spécialistes ?

     

    Les ministres de la santé successifs ont toujours eu pour la médecine générale de grandes ambitions. Ainsi, Mme Bachelot, à l'occasion de la clôture de la première synthèse des Etats généraux de l'organisation de la santé le 9 avril, précise que le généraliste doit, notamment, "assurer la prise en charge médicale de premier recours, y compris dans les hôpitaux locaux et dans les structures d'hospitalisation à domicile, (...) orienter le patient dans le parcours de soins coordonnés, faire de la prévention et participer à la permanence des soins du territoire de santé". Nobles tâches et belles ambitions, mais qui pourraient demeurer lettre morte.

     

    Les généralistes s'épuisent. Non seulement les étudiants en médecine ne prisent pas ce débouché, mais beaucoup cherchent à l'éviter, allant jusqu'à perdre une année quand le concours de l'internat ne les classe pas en rang suffisant pour choisir d'autres spécialités. De surcroit, 40 % de ceux qui passent par cette filière ne seront pas généralistes car ils choisiront, pour reprendre l'euphémisme des caisses d'assurance-maladie, de pratiquer un "exercice particulier" (phlébologue, urgentiste, allergologue...).

     

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  • secteurs de garde médicale (06 06 2008)

    Préservation de la permanence des soins et notamment des secteurs de garde Question orale sans débat n° 0229S de M. Jean-Pierre Bel (sénateur Ariège – Soc)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ08050229S


    Actuellement, la permanence des soins assure une présence médicale en dehors des heures d'ouverture des cabinets médicaux, c'est-à-dire de vingt heures à huit heures en semaine ainsi que les week-ends et les jours fériés. Elle constitue ainsi pour la population une réponse de premier recours indispensable. Le décret du 26 décembre 2006 prévoyait la possibilité d'extension de l'organisation de la permanence des soins aux samedis après-midi et aux jours compris entre un week-end et un jour férié.

    Or, pour mettre en application l'avenant 27 à la convention médicale du 12 janvier 2005 qui assure la mise en œuvre de ce dispositif, il est préconisé de ramener le nombre de secteurs de garde à 2000 contre 2500 aujourd'hui sur l'ensemble du territoire national. Cette considération strictement comptable pénalise lourdement les secteurs démunis, notamment les départements ruraux.

    Dans le département où il est élu, l'Ariège, le nombre de secteurs de garde passerait de 19 à 7. Cet arbitrage est d'autant plus incompréhensible qu'en milieu rural, cette sectorisation envisagée va entraîner un élargissement du périmètre des secteurs de garde, périmètre que les médecins ne seraient plus en mesure de couvrir correctement en raison d'une trop grande étendue géographique et d'une typographie de zone de montagne. En conséquence, la qualité du service rendu se trouverait particulièrement mise à l'épreuve par un temps de trajet beaucoup trop long.


    Parallèlement à cette situation, il est proposé une rationalisation du système de garde, avec pour son département, un objectif d'économies de 300.000 euros sur les 750.000 euros aujourd'hui consacrés au paiement d'astreintes. Ainsi, il est proposé de supprimer les déplacements des médecins de garde pour les remplacer par le transport des patients vers des cabinets médicaux de garde. Ce transport serait assuré soit par des ambulanciers privés s'ils sont disponibles, soit par les pompiers, donc le service départemental d'incendie et de secours. Le coût serait assuré pour moitié par la Caisse primaire d'assurance maladie, l'autre moitié restant à la charge du département.


    On ne peut, d'une part, reprocher aux collectivités locales d'être trop dépensières et, d'autre part, leur demander de pallier la carence de l'État alors même que la permanence des soins, sous l'autorité du Préfet, est une mission de service public depuis 2006.

    Fort de ce constat, il souhaite savoir quelles dispositions compte prendre le Gouvernement pour que les collectivités territoriales, déjà sollicitées pour faciliter l'installation de médecins en milieu rural, ne soient pas encore mises à contribution pour assurer une permanence des soins efficace à tous nos concitoyens, notamment en milieu rural.

     

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  • émetteurs de téléphonie mobile (27 05 2008)

    Emetteurs de téléphonie mobile

    Question écrite n° 00438 de Mme Gisèle Printz (Moselle – SOC)

    lue le 23 mai 2008 sur le site du Sénat (cliquer pour ouvrir le texte original)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ070700438

      Mme Gisèle Printz attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur les risques liés à l'implantation d'émetteurs de téléphonie mobile, ou antennes relais, notamment en centre-ville où la densité de population est la plus importante.

    Au nom du principe de précaution, puisqu'à ce jour il n'y a aucune certitude scientifique, elle lui demande si le Gouvernement envisage de renforcer les contraintes d'installation de ce type d'antennes en imposant aux opérateurs des normes plus restrictives.

    Par ailleurs, elle lui demande de lui préciser quels sont les recours possibles pour les particuliers qui souhaitent voir le démantèlement des installations existantes.

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  • sida : 25 ans (22 05 2008)

    Sida : les chercheurs prudents après l'échec en septembre d'un vaccin

     

    Article AFP lu sur le site Actualités Orange le 19 mai 2008 (cliquer pour accéder à l'article original)

    http://www.orange.fr/bin/frame.cgi?u=http%3A//actu.orange.fr/articles/a-la-une/Sida-les-chercheurs-prudents-apres-l-echec-en-septembre-d-un-vaccin.html

    Un quart de siècle après l'identification du virus du sida, la communauté scientifique, prudente, est à la recherche d'un nouvel élan et se refuse à se fixer une échéance pour parvenir à mettre au point un vaccin moins d'un an après l'échec d'un projet prometteur.

    Plusieurs centaines de chercheurs, épidémiologistes, médecins, dont les deux auteurs de la découverte du virus, Luc Montagnier et Robert Gallo, se sont réunis lundi à l'Institut Pasteur à Paris pour un colloque de trois jours visant à faire le point sur "25 ans de VIH" et sur les efforts faits et à faire pour juguler l'infection.

    "Jamais pour une maladie autant d'argent et autant d'énergie n'ont été mis dans la recherche", a souligné Alice Dautry, présidente de l'Institut Pasteur.

     

     

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