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santé - Page 280

  • anglais et obésité infantile (12 08 2008)

    Les Anglais en guerre contre l'obésité des enfants Article de M. MR, correspondant à Londres, lu le 11 août 2008 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au texte original) http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/08/09/les-anglais-en-guerre-contre-l-obesite-des-enfants_1081969_3238.html#xtor=EPR-32280123&ens_id=628868

     

    Le secrétaire d'Etat britannique à la santé, Ivan Lewis, est parti en guerre contre l'explosion de la taille des écoliers : "Il ne s'agit pas de stigmatiser les enfants obèses, mais de fournir aux parents l'information nécessaire pour que leurs rejetons puissent vivre sainement."

    A partir de la rentrée, les parents de 1,2 million d'enfants anglais seront systématiquement prévenus par lettre du surpoids de leur enfant. Ceux qui sont concernés recevront également des conseils en diététique et en exercice physique.Considéré comme offensant, le mot "obèse" est toutefois banni au profit de l'expression "forte surcharge pondérale", jugée plus politiquement correcte.

    La lutte contre l'obésité enfantine est devenue la priorité du gouvernement travailliste en matière de santé publique. Selon les statistiques pour 2006-2007, 22,9 % des enfants de 4-5 ans sont trop gros ou obèses, la proportion passant à 31,6 % pour les 10-11 ans.

    L'expansion de la restauration rapide à l'américaine et l'éclatement des foyers sont jugés responsables de ce fléau. Récemment, Jamie Oliver, jeune chef cuisinier anglais, a lancé une campagne médiatisée visant à améliorer la qualité des repas des écoles.

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  • hépatite C (10 08 2008)

    Lutte contre l'hépatite C

     

    Question et réponse lues le 8 août 2008 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ080103203

     

     

    Question écrite n° 03203 de Mme Patricia Schillinger (sénatrice Haut-Rhin - SOC) publiée dans le JO Sénat du 24/01/2008

     

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur l'hépatite C. Chaque année en France, 5 000 nouvelles personnes sont contaminées par le virus de l'hépatite C. Environ 800 000 personnes sont concernées par cette maladie dont 200 000 personnes sont porteuses du virus mais l'ignorent.

     

    C'est une maladie qui, en absence de traitement, peut s'aggraver. Si la prévention et la lutte contre cette maladie ne s'améliorent pas, un pic de mortalité est prévu vers 2020 par cancer du foie et cirrhose. A contrario du virus du sida, la mobilisation est moins importante et pourtant, on peut prévenir et traiter cette maladie. Face à cette situation, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer si le Gouvernement entend prendre des mesures afin de lutter contre cette maladie.

     

     

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  • le phénomène addictif (25 07 2008)

    Le phénomène addictif : mieux le connaître pour mieux le combattre

     

    Rapport d'information n° 487 (2007-2008) de Mme Anne-Marie PAYET, fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 23 juillet 2008, (Avant-propos du rapport, lu le 24 juillet sur le site du Sénat : cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.senat.fr/rap/r07-487/r07-487_mono.html#toc0

     

     

    Avant-Propos

     

    Mesdames, Messieurs,

     

    L'usage du terme « addiction », pourtant récent, s'est banalisé au cours des dernières années. Utilisé dans le français juridique médiéval où il désigne la contrainte par corps imposée au débiteur insolvable, puis tombé en désuétude, il est aujourd'hui employé dans l'acception qu'il a prise au début du XXe siècle dans le monde anglo-saxon. Son utilisation pose une double difficulté :

     

    - d'abord, il est employé largement au-delà du domaine de la santé publique et son registre se confond avec celui de la passion, du goût, voire du simple intérêt. On dit volontiers d'un produit, d'un comportement, qu'il est addictif. Nous serions tous « addicts » à quelque chose, du café aux tranquillisants en passant par le sucre. Le terme a même séduit les publicitaires qui baptisent de ce nom les produits qu'ils font vendre, sans parler des artistes qui utilisent la toxicomanie comme métaphore de l'amour. Pour rompre avec un terme dont l'usage médiatique et commun tend à devenir source de confusions, on pourrait envisager d'employer le terme « assuétude » : celui-ci désignait, dès 18851(*), l'accoutumance d'un corps aux produits toxiques et a été adopté dans la plupart des pays francophones de préférence à « addiction » pour qualifier la dépendance subie à la consommation d'un produit ou à un comportement dont on ne peut réduire la fréquence et que l'on se trouve malgré soi contraint d'augmenter ;

     

    - ensuite, même pris strictement sous l'angle santé publique, l'addiction couvre un spectre très large puisque le terme s'applique tant à la dépendance à l'alcool et au tabac, qui sont les premières causes de mortalité évitable, qu'à celle aux drogues, aux jeux de hasard ou à Internet. Il a néanmoins le mérite de souligner les multiples aspects de l'hydre à laquelle doivent faire face les autorités en charge de la protection de la santé publique. Les plus jeunes parmi nos concitoyens sont spécialement exposés à cette combinaison hétéroclite de substances et de comportements dont certains sont anciens et connus comme le tabac, l'alcool, l'héroïne, la cocaïne et même les jeux de hasard mais pour d'autres mal perçus par l'opinion publique et d'autant plus source d'inquiétudes. Ainsi le cannabis, dont les effets néfastes ont longtemps été contestés, ou les jeux vidéo, dont le potentiel addictif, ou pour certains les vertus curatives, n'ont été étudiés que récemment.

     

     

     

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  • temps modernes hospitaliers ? (17 07 2008)

    Les temps modernes ne sont pas très hospitaliers

     

    Point de vue par M.Michel Strobel, professeur de médecine maladies infectieuses et tropicales, Vientiane, Laos, signalé par une fidèle lectrice et vu sur le site du Monde, le 13 juillet 2008 (cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/07/11/les-temps-modernes-ne-sont-pas-tres-hospitaliers-par-michel-strobel_1072555_3232.html#xtor=EPR-32280123

     

    Je ne m'y attendais pas. Médecin chef de service pendant vingt ans, j'ai pour la première fois de ma vie franchi comme malade la porte de l'hôpital. Celle d'un service de cardiologie coté d'un CHU français que je ne nommerai pas, car je serai amené à y retourner : hôpital prudence...

     

    De l'hôpital public, on a longuement débattu : de ses crises fatidiques, ses coûts abyssaux, le malaise de ses personnels, et sa gestion impossible qu'on rêve être celle d'une entreprise. De longs trains bruyants de réformes sont passés en vain. On a entendu la voix des gestionnaires, des stratèges de tout poil, des politiques et des professionnels. Pourquoi, ou si rarement celle des usagers malades ? M'étant trouvé des deux côtés à la fois, j'apporte ici ma contribution modeste et forcément subjective.

     

     

     

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  • hépatites B & C en France (04 juillet 2008)

    En France, les hépatites B et C font entre 4 000 et 5 000 morts par an

     

    Article de M. Paul Benkimoun, lu le 3 juillet 2008, sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder à l’article original)

     

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/07/02/en-france-les-hepatites-b-et-c-font-entre-4-000-et-5-000-morts-par-an_1065249_3244.html#xtor=EPR-32280123&ens_id=1065251

     

     

     

    Entre 4 000 et 5 000 décès par an, en France, ont un lien avec le virus de l'hépatite B (VHB) ou celui de l'hépatite C (VHC), indique une équipe de chercheurs dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) paru mardi 1er juillet. Des décès favorisés par la consommation d'alcool et la co-infection par le virus du sida (VIH).

     

    En France, entre 168 000 et 296 000 personnes souffrent d'une infection chronique par le VHC, selon une enquête menée en 2003-2004 par l'Institut de veille sanitaire (InVS), et 300 000 portent chroniquement l'antigène de l'hépatite B.

     

    Le Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès de l'Inserm travaille régulièrement à partir de l'analyse d'un échantillon des certificats de décès. Cette méthode a été employée dans l'étude du BEH afin d'estimer pour la première fois la mortalité nationale liée à l'infection par les virus B et C des hépatites au cours de l'année 2001. L'enquête a associé des épidémiologistes et des hépatologues de plusieurs centres hospitaliers universitaires et l'InVS.

     

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  • mauvaise haleine ? (30 06 2008)

    5 solutions contre la mauvaise haleine

    Article de Mme Anne Xaillé, lu sur le site de l’Internaute le 18 juin 2008 (cliquer ici pour accéder à l’article original)

    http://www.linternaute.com/sante/quotidien/conseils/06/6006-haleine/haleine.shtml

    Ce n'est pas forcément en mâchant du chewing gum que vous garderez l'haleine fraîche ! Dentifrice ou gratte langue, quelles sont les méthodes efficaces ?
    Avoir une mauvaise haleine n'est pas une fatalité. Et pour cause dans la plupart des cas, l'halitose est la conséquence d'une mauvaise hygiène bucco-dentaire  

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