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société, cadre de vie - Page 277

  • Dons aux associations : réductions d’impôts (18 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 septembre 2018 sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/reduction-impot-don-associations?xtor=ES-39-[BI_100_20181218]-20181218-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/reduction-impot-don-associations]-472132.html

    Dons aux associations : quelles réductions d’impôt ?  par Bercy Infos, le 07/09/2018 – 

    Réductions et crédits d’impôts

    Les dons au profit des associations ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu de 66 % voire 75 % du montant versé, selon l’association choisie, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Retour sur ce dispositif fiscal et sa prise en compte avec le prélèvement à la source.

    Prélèvement à la source et réductions d'impôt

    Le bénéfice de la réduction d'impôt pour dons à des associations acquis au titre de 2018 est maintenu. Dès le 15 janvier 2019, vous recevrez un acompte de 60% de la réduction d'impôt dont vous avez bénéficié l'année précédente (réduction payée en 2018 au titre des dépenses de 2017). Le solde vous sera versé à compter de juillet 2019, après la déclaration de revenus qui permettra de déclarer le montant des dépenses engagées au profit d'associations en 2018.

    Quelles sont les associations concernées ?

    Pour être éligibles à la réduction d’impôt, les dons doivent être désintéressés et ne comporter aucune contrepartie. Ils doivent être effectués au profit d’associations, de fondations, d’œuvres, de fonds de dotations ou d’organismes publics ou privés. Ils doivent être reconnus d'utilité publique ou d’intérêt général à but non lucratif. Le Code général des impôts précise dans son article 200 les domaines d'activité concernés :

    • philanthropique, cultuel, éducatif, scientifique, social, familial, humanitaire, sportif ou culturel ;
    • mise en valeur du patrimoine artistique ;
    • défense de l'environnement naturel ;
    • diffusion de la culture, de la langue, et des connaissances scientifiques françaises ;
    • présentation au public de spectacles ;
    • enseignement supérieur ou artistique public ou privé ;
    • financement d'une entreprise de presse, financement électoral...

    Quels types de dons sont éligibles ?

    Sont retenus par l'administration fiscale les types de dons suivants :

    • les sommes d'argent versées à une ou plusieurs associations ;
    • les dons en nature (dans ce cas, la valeur du don est déterminée lors de sa remise au bénéficiaire) ;
    • les revenus auxquels les particuliers décident de renoncer au profit des associations (par exemple, en cas de mise à disposition d'une association d'un local à titre gratuit) ;
    • les frais engagés par les bénévoles dans le cadre de leur activité associative et pour lesquels ils renoncent au remboursement.
    • Le don par SMS.

    Le don par SMS

    Le don par SMS permet aux associations d'élargir leur communauté de donateurs. Simple et immédiat, le donateur doit envoyer par SMS au numéro transmis par l'association concernée. Le montant du don est prélevé sur sa facture téléphonique et l'opérateur téléphonique reverse le montant collecté à l'association, sans transmettre l'identité du donateur.

    Important : Pour bénéficier de la réduction d'impôt, l'association concernée doit vous remettre un reçu à titre de justificatif de don auprès de l'administration fiscale.

    Comment calculer votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

    Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

    Les dons ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % du montant versé dans la limite de 20 % du revenu imposable. Un don de 50 € ouvre par exemple droit à une réduction d'impôt de 33 €, un don de 100 € à une réduction de 66 €, etc.

    Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

    La réduction d'impôt est de 75 % des versements retenus dans la limite de 536 € (seuil pour les dons effectués en 2018). La fraction au-delà de 536 € ouvre droit à une réduction d'impôt de 66 % dans la limite de 20 % du revenu imposable.

    Lorsque le montant des dons excède la limite de 20 % du revenu imposable, l’excédent est reporté sur les 5 années suivantes et ouvre droit à la réduction d’impôt dans les mêmes conditions, sauf cas particuliers.

    Comment obtenir votre réduction d'impôt pour dons à des associations ?

    Dons à des organismes d'intérêt général ou reconnu d'utilité publique

    Chaque année, dans votre déclaration annuelle de revenu, vous devez indiquer dans la case 7 UF de la déclaration n°2042 - RICI le montant des versements que vous leur avez effectués.

    Dons à des organismes d'aide aux personnes en difficulté

    Chaque année, au moment de votre déclaration annuelle de revenu, vous devez déclarer dans la case 7 UD de la déclaration n°2042 - RICI le montant des sommes que vous leur avez versées.

  • Médecins : fin du numerus clausus (17 12 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 novembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ18090459S.html

    Question orale n° 0459S de M. Bernard Bonne (sénateur de la Loire)

    Bernard Bonne attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la réforme du numerus clausus annoncée par le président de la République le 18 septembre 2018 lors de la présentation du plan stratégique de transformation du système de santé. L'accès aux études de médecine, dentaires, de pharmacie et de sages-femmes ne sera plus limité par des quotas, marquant ainsi la suppression du numerus clausus à partir de 2020 ainsi que de la première année commune aux études de santé (PACES) et de son concours redouté.

     
    Plus personne ne défend en l'état ce dispositif qui visait, lors de son instauration, à limiter le nombre de médecins formés et les dépenses d'assurance-maladie, d'autant que cette première année est unanimement pointée comme un gâchis, dans la mesure où plus des trois quarts des quelque 60 000 inscrits en PACES échouent à l'issue de cet examen reposant largement sur les seules capacités de mémorisation des candidats.

     
    Or, en annonçant la fin de ce système à compter de 2020, ce sont les actuels étudiants en PACES qui s'interrogent sur les conséquences de la suppression du numerus clausus, alors qu'ils seront les derniers à y être soumis.

     
    Ces étudiants, en première année pour la première fois ou qui redoublent leur première année, et qui passeront le concours en 2019 seront terriblement pénalisés par rapport à ceux qui entreront en première année en 2020.

     
    Aussi, il semblerait logique, pour cette année de transition, d'augmenter très sensiblement le numerus clausus afin de ne pas écarter des étudiants particulièrement motivés qui deviendraient de bons médecins.

     
    Il souhaite ainsi connaître les intentions du Gouvernement sur ce point précis.

    Réponse du Secrétariat d'État auprès de la ministre des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 21/11/2018 p. 15802

     

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  • Soldes d’hiver 2019 : dates (14 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 décembre 2018 sur le site Service Public (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13081?xtor=EPR-100.html

    Dates des soldes d'hiver 2019

    En règle générale, les soldes d'hiver débuteront le mercredi 9 janvier 2019 et se termineront le mardi 19 février 2019. Attention néanmoins, des dates dérogatoires sont appliquées à certains départements frontaliers et en outre-mer (sauf en Martinique et à Mayotte où les soldes ont lieu aux mêmes dates qu'en métropole).

    C'est l'article D310-15-2 du code de commerce qui fixe la date générale de début des soldes. Les soldes d'hiver commencent le deuxième mercredi du mois de janvier, à 8h du matin, cette date étant avancée au premier mercredi du mois lorsque le deuxième mercredi intervient après le 12 du mois.

    Par exception, certains départements de métropole ont des dates différentes.

    Les soldes d'hiver débutent ainsi le mercredi 2 janvier 2019 et se terminent le mardi 12 février 2019 dans les départements suivants :

    • Meurthe-et-Moselle ;
    • Meuse ;
    • Moselle ;
    • Vosges.

    En Outre-mer, les dates des soldes d'hiver sont les suivantes :

    • en Guyane, du mercredi 2 janvier 2019 au mardi 12 février 2019 ;
    • en Guadeloupe, du samedi 5 janvier 2019 au vendredi 15 février 2019 ;
    • à Saint-Pierre-et-Miquelon du mercredi 16 janvier 2019 au mardi 26 février 2019 ;
    • à Saint-Barthélémy et à Saint-Martin du samedi 4 mai 2019 au vendredi 14 juin 2019.

    À La Réunion, les prochains soldes seront les soldes d'été qui se dérouleront du samedi 2 février 2019 au vendredi 15 mars 2019.

    À noter :

    Les dates des soldes du commerce en ligne ou vente à distance (e-commerce) sont alignées sur les dates nationales du commerce traditionnel, quel que soit le lieu du siège de l'entreprise.

    Attention :

    Le projet de loi concernant la croissance et la transformation des entreprises (« Pacte ») qui a été adopté en première lecture par l'Assemblée nationale le 9 octobre 2018 prévoit notamment de réduire les périodes des soldes à 4 semaines (contre 6 actuellement).

    Textes de référence

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de l'économie

    Institut national de la consommation (INC)

    Vie-publique.fr

  • Débroussaillage : obligation (13 12 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 décembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180806414.html 

    Question écrite n° 06414 de M. Henri Cabanel (sénateur de l’Hérault)

    Henri Cabanel appelle l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'intérieur, sur les difficultés pécuniaires que peuvent rencontrer certains propriétaires pour exécuter leurs obligations de débroussaillement imposées par le code forestier. Ces obligations sont lourdes. Dans des communes identifiées à risque d'incendie, les propriétaires doivent procéder à un débroussaillement et à un maintien en état débroussaillé jusqu'à cinquante mètres de leurs bâtiments ou installations si cette zone est à moins de deux cents mètres d'espaces boisés ou de garrigues. Cette obligation s'étend sur les fonds voisins même s'ils n'en sont pas propriétaires, ce qui est parfois mal compris.

     

    Il lui demande quelles sont les possibilités d'aménagement juridique de cette obligation, en particulier sur les fonds voisins, permettant d'en alléger le coût et quelles aides financières ou fiscales peuvent être mobilisées.

     

    Réponse du Ministère de l'intérieur publiée dans le JO Sénat du 06/12/2018 p. 6262

     

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  • Mission territoires : co-working (11 12 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 6 décembre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180605858.html 

    Question écrite n° 05858 de M. Daniel Chasseing (sénateur de la Corrèze)

    Daniel Chasseing attire l'attention de M. le ministre de la cohésion des territoires sur la mission « coworking : territoires, travail, numérique », lancée en février 2018. Le télétravail, principalement permis grâce au numérique, constitue un véritable outil de revitalisation locale dans la mesure où il accentue la conservation d'actifs en milieu rural, tout en leur garantissant une meilleure qualité de vie. Cependant, de nombreux obstacles, tels qu'un manque d'accompagnement et de financement, freinent des acteurs qui pourraient pourtant être concernés par cette pratique si bénéfique au développement du territoire, en particulier du milieu rural et hyper-rural.

     

    Il lui demande ainsi comment le Gouvernement peut impulser et surtout financer - particulièrement auprès des entreprises - le développement de cette nouvelle forme de travail « délocalisée » qui promeut un aménagement équilibré des territoires.

     

    Réponse du Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales publiée dans le JO Sénat du 06/12/2018 p. 6201

     

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  • Industrie et production : statistiques octobre 2018 (10 12 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 décembre 2018 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/3673581?pk_campaign=avis-parution.html

    En octobre 2018, la production se redresse dans l'industrie manufacturière (+1,4 % après −1,9 %) et dans l'ensemble de l'industrie (+1,2 % après −1,6 %).

    Sommaire

    La production manufacturière des trois derniers mois est quasi stable (+0,1 %)

    Sur un an, la production manufacturière évolue peu (−0,1 %)

    En octobre, la production rebondit dans les « autres industries » (+1,2 % après −1,3 %)

    La production se redresse nettement dans les biens d'équipement (+3,9 % après −3,9 %)

    La production augmente dans les industries agroalimentaires (+0,7 % après −1,7 %)

    La production remonte doucement dans les matériels de transport (+0,5 % après −2,5 %)

    La production est en légère hausse dans les industries extractives, énergie, eau (+0,3 % après une stabilité)

    La production fléchit dans la cokéfaction et raffinage (−1,8 % après +0,8 %)

    L'évolution de l'indice manufacturier de septembre 2018 est révisée à la hausse

    Avertissement : toutes les données sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (CVS-CJO).

    Dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution à l'évolution globale de l'indice de la production industrielle. La contribution d'une sous-branche prend en compte son poids et l'ampleur de son évolution.

     

    La production manufacturière des trois derniers mois est quasi stable (+0,1 %)

    Au cours des trois derniers mois, la production est quasi stable dans l'industrie manufacturière (+0,1 %) et augmente légèrement dans l'ensemble de l'industrie (+0,2 %).

    Sur cette période, la production croît dans les « autres industries » (+0,7 %) et dans les biens d'équipement (+0,9 %). Elle augmente à un rythme très soutenu dans la cokéfaction et raffinage (+8,1 %). Elle est en légère hausse dans les industries extractives, énergie, eau (+0,3 %). À l'inverse, elle se replie nettement dans les matériels de transport (−1,7 %) et dans les industries agroalimentaires (−1,2 %).

     

    Sur un an, la production manufacturière évolue peu (−0,1 %)

    Dans l'industrie manufacturière, la production des trois derniers mois est quasi stable par rapport aux trois mêmes mois de l'année précédente (−0,1 %) de même que dans l'ensemble de l'industrie (−0,1 %).

    Sur cette période, la production diminue nettement dans les industries agroalimentaires (−2,4 %) et dans les matériels de transport (−1,2 %), tandis qu'elle augmente dans les biens d'équipement (+1,7 %). Elle croît légèrement dans les « autres industries » (+0,3 %) ainsi que dans les industries extractives, énergie, eau (+0,3 %). Elle est stable dans la cokéfaction et raffinage (+0,0 %).

     

    En octobre, la production rebondit dans les « autres industries » (+1,2 % après −1,3 %)

    La production se redresse nettement dans la métallurgie et produits métalliques (+2,1 % après −1,3 %), dans la pharmacie (+3,9 % après −1,3 %) et dans le textile, habillement, cuir et chaussure (+5,1 % après −4,4 %). Elle augmente plus modérément dans les autres industries manufacturières y c. réparation et installation (+0,4 % après −2,2 %), dans le bois, papier et imprimerie (+0,9 % après −0,2 %), dans le caoutchouc, plastique et minéraux non métalliques (+0,2 % après −0,1 %). À l'inverse, la production continue de baisser dans la chimie (−0,6 % après −0,8 %).

     

    La production se redresse nettement dans les biens d'équipement (+3,9 % après −3,9 %)

    La production se redresse fermement dans les machines et équipements n.c.a. (+6,6 % après −5,5 %), dans les équipements électriques (+3,6 % après −4,9 %) et plus modérément, dans les produits informatiques, électroniques et optiques (+1,6 % après −1,9 %).

     

    La production augmente dans les industries agroalimentaires (+0,7 % après −1,7 %)

    La production est portée notamment par la hausse des boissons alcooliques distillées.

     

    La production remonte doucement dans les matériels de transport (+0,5 % après −2,5 %)

    La production augmente dans l'automobile (+2,9 % après −0,4 %) et continue de baisser dans les autres matériels de transport (−1,3 % après −4,0 %).

     

    La production est en légère hausse dans les industries extractives, énergie, eau (+0,3 % après une stabilité)

    La production augmente notamment dans l'électricité, gaz, vapeur et air conditionné (+0,3 % après −0,3 %)

    .

    La production fléchit dans la cokéfaction et raffinage (−1,8 % après +0,8 %)

    La production se replie dans la cokéfaction et raffinage (−1,8 %) après une hausse en septembre.

     

    L'évolution de l'indice manufacturier de septembre 2018 est révisée à la hausse

    L'évolution de l'indice manufacturier entre août et septembre 2018 est relevée de 0,2 point, principalement en raison de la révision des données brutes. Elle est ainsi révisée de −2,1 % à −1,9 %. L'évolution de l'ensemble de l'industrie entre août et septembre est également révisée à la hausse de 0,2 point et s'établit à −1,6 %.