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société, cadre de vie - Page 383

  • Intercommunalité : données au 1er janvier 2015 (21 03 2015)

    Note d’information publiée le 5 mars 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique) 

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/intercommunalite-donnees-au-1er-janvier-2015.html?xtor=EPR-56.html

     

    La Direction générale des collectivités locales (DGCL) a publié, le 27 février 2015, les données chiffrées de l’intercommunalité au 1er janvier 2015.

    A cette date, on compte 2 133 établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre sur le territoire français dont 11 métropoles, 9 communautés urbaines, 226 communautés d’agglomération, 1 884 communautés de communes et 3 syndicats d’agglomération nouvelle. Le nombre de communes isolées s’élève à 70 sur le territoire national soit une population de 4 034 615 habitants. Un grand nombre de ces communes isolées sont en Ile-de-France. Elles devraient être intégrées dans la métropole du Grand Paris en 2016.

    La réforme territoriale du 16 décembre 2010 a fixé l’objectif de simplifier et d’achever la carte de l’intercommunalité, en raison de l’émiettement communal et de la taille souvent modeste des communes françaises. Elle rend obligatoire l’appartenance à un EPCI à compter du 1er juillet 2013. La loi du 27 janvier 2014 de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (loi "MAPTAM") a modifié le paysage de l’intercommunalité, notamment s’agissant des métropoles. En application de cette loi, les EPCI à fiscalité propre formant un ensemble de plus de 400 000 habitants dans une aire urbaine de plus de 650 000 habitants ont été transformés par décret en une métropole le 1er janvier 2015 (les métropoles du Grand Paris et d’Aix-Marseille seront mises en place au 1er janvier 2016)

  • Avocats : Taux de TVA applicable aux Prestations (20 03 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 février 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150114410.html

     

    Question écrite n° 14410 de M. François Commeinhes (sénateur de l’Hérault)

     

    M. François Commeinhes attire l'attention de M. le ministre des finances et des comptes publics sur la réglementation applicable au taux de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les prestations d'avocat. Les dispositions actuelles du code général des impôts instaurent en effet une différence de traitement entre les entreprises et les particuliers concernant le droit à déductibilité de la TVA sur les honoraires d'avocat. Si les entreprises peuvent en bénéficier, les consommateurs particuliers conservent cette taxe à leur charge.

     
    Alors même que le droit à un procès équitable énoncé à l'article 47 de la Charte des droits fondamentaux inclut notamment le fait que chaque partie doit avoir des chances égales de présenter sa cause et aucune ne doit avoir un avantage substantiel sur l'autre, l'application de cette réglementation apparaît dès lors discriminatoire et est de nature à constituer une barrière de plus à l'accès à la justice pour le consommateur en rendant de facto le coût pour ce dernier 20 % plus cher que pour une entreprise.

     
    Faciliter l'accès à la justice pour les particuliers est pourtant un prérequis nécessaire à l'effectivité des droits des justiciables qui devraient être en mesure de pouvoir les exercer facilement. S'il apparaît opportun de rappeler que les frais de justice constituent indéniablement un investissement non négligeable pour le consommateur, la réglementation fiscale actuelle entraîne un renchérissement non justifiable du coût de l'accès à la justice. Cette situation qui désavantage nettement les consommateurs par rapport aux entreprises apparaît d'autant moins acceptable dans les litiges de consommation opposant les consommateurs aux professionnels, les moyens dont disposent ces derniers, notamment en termes d'expertise, créant déjà un déséquilibre, et ce d'autant plus que les associations de consommateurs n'ont pas la possibilité d'assister en justice les particuliers. 

    Compte tenu de ces éléments, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il entend prendre pour que la réglementation fiscale respecte l'égalité des armes entre les parties à un procès.

     

    Réponse du Ministère des finances et des comptes publics publiée dans le JO Sénat du 05/02/2015 p. 262

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  • Tabac et e-cigarette (19 03 2015)

    Note d’information publiée le 10 mars 2015 sur le site Vie Publique  (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/tabac-e-cigarette-evolution-comportements-20150310.html?xtor=EPR-56.html

    Tabac et e-cigarette : l’évolution des comportements

    le 10 03 2015

    L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) a présenté en février 2015 les résultats du baromètre santé 2014 sur l’évolution récente du tabagisme (consommation, tentatives d’arrêt, etc.) et du phénomène de la cigarette électronique ("e-cigarette").

    Selon le baromètre 2014, le nombre de personnes déclarant fumer régulièrement ou occasionnellement est resté stable (34%) par rapport à 2010. En 2014, le tabagisme reste plus fréquent chez les hommes (38%) que chez les femmes (30%), mais l’écart se réduit avec le temps. Le nombre de femmes fumant quotidiennement est en baisse, passant de 26% en 2010 à 24% en 2014, alors que le nombre d’hommes fumant au quotidien est resté stable (32%). Enfin, le nombre de personnes fumant quotidiennement et ayant essayé d’arrêter dans l’année est en hausse : 29% en 2014 contre 25% en 2010. Cette hausse est particulièrement importante chez les 15-24 ans : 54% en 2014 contre 41% en 2010.

    Concernant le vapotage, le baromètre 2014 indique que 6% des 15-75 ans sont des vapoteurs (environ 3 millions de personnes), dont 3% de manière quotidienne. 98% des vapoteurs sont ou ont été des fumeurs et 86% des vapoteurs utilisent des cigarettes électroniques avec nicotine. Selon l’Inpes, "il est donc possible d’estimer le nombre d’ex-fumeurs ayant arrêtés le tabac, au moins temporairement, avec la e-cigarette à 0,9% des 15-75 ans (15% d’ex-fumeurs parmi les 6% de vapoteurs), soit environ 400 000 personnes".

     

    Le projet de loi relatif à la santé, soumis au Parlement en avril 2015, intégrera plusieurs mesures relatives au tabagisme et au vapotage : le paquet neutre de cigarettes pour lutter contre le marketing, l’interdiction de la publicité pour les cigarettes électroniques et l’interdiction de vapoter dans certains lieux publics, la mise en place sur tous les paquets de cigarettes d’un pictogramme "femmes enceintes" pour rappeler les dangers du tabac pendant la grossesse, etc.

  • Promotion de l’agriculture paysanne locale et biologique (18 03 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er janvier 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141013300.html

    Question écrite n° 13300 de M. Jean-Vincent Placé (sénateur Essonne)

     

    M. Jean-Vincent Placé interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement, sur l'avenir de l'agriculture paysanne locale et biologique en France.

     
    L'agriculture est en péril en France, les chiffres l'attestent de façon dramatique. Alors qu'il y avait 3,8 millions d'agriculteurs en 1963, ils ne sont plus que 966 000 en 2013. Ils représentent 3,3 % de la population active contre 24 % il y a cinquante ans. À cette époque, l'agriculture représentait 10 % du PIB contre seulement 1,6 % aujourd'hui. D'un autre côté, la profession, bien qu'elle se perde, se féminise avec 25 % de femmes chefs d'exploitation.

     
    Ce qui est particulièrement frappant, c'est que le secteur diminue mais parallèlement est devenu exportateur, la balance commerciale de l'agriculture est de 4,9 milliards d'euros en 2013 (contre un déficit de 730 millions en 1963). Cette dernière information pose la question de la provenance des produits alimentaires vendus en France et l'avenir de ce secteur clef pour l'économie nationale. 

    L'agriculture a muté au cours des dernières années, mais pas uniquement dans le sens de la mécanisation et de l'industrialisation. En effet, avec l'aide des outils numériques, l'agriculture biologique et locale se développe. Les associations de maintien de l'agriculture paysanne ou autres organismes similaires deviennent très populaires auprès de consommateurs-citoyens soucieux de promouvoir l'agriculture locale, les produits « bios » de qualité, et ainsi lutter contre la pollution, les intermédiaires peu scrupuleux ou encore les dangers sanitaires liés à une alimentation industrielle. Des plateformes de e-commerce se multiplient pour faciliter un lien direct entre producteurs et consommateurs, en toute liberté. Par exemple, après seulement deux ans et demi d'activité, « La Ruche qui dit oui » compte plus de 2 500 producteurs et plus de 50 000 membres dans leurs réseaux. Véritables filières d'avenir, les circuits courts permettent de dynamiser ce secteur économique, tout en réduisant l'impact écologique lié au transport et en respectant un entrepreneuriat social et solidaire.

     
    Face à ce dynamisme encore naissant de l'agriculture locale et à l'engouement des consommateurs, il lui demande quels outils sont mis en place pour promouvoir l'agriculture paysanne locale et biologique.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 01/01/2015 p.16

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  • Produits de grande consommation : prix février 2015 (17 03 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 12 mars 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20150312.html

    En février 2015, les prix des produits de grande consommation sont stables dans la grande distribution

    Indice des prix dans la grande distribution – Février 2015

    En février 2015, les prix des produits de grande consommation sont stables dans toutes les formes de vente. Dans la grande distribution, cette stabilité suit quatre mois consécutifs de baisse au rythme mensuel de —0,1 %.

    Dans la grande distribution étendue (y compris supérettes et magasins populaires), les prix des produits de grande consommation sont également stables en février 2015 après plusieurs mois de léger recul.

    De même, hors grande distribution, les prix des produits de grande consommation sont inchangés en février 2015 après une baisse de 0,1 % en janvier.

    Sur un an, les prix des produits de grande consommation reculent de 1,0 % dans la grande distribution

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  • Fin de vie : avis du Comité consultatif national d’Ethique (16 03 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130707338.html

     

    Question écrite n° 07338 de M. Gérard Cornu (sénateur d’Eure-et-Loir)

     

    M. Gérard Cornu attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'engagement n° 21 du président de la République lors de sa campagne électorale, précisant qu'un malade en phase terminale pourrait, « dans des conditions précises et strictes, bénéficier d'une assistance médicalisée pour terminer sa fin de vie dans la dignité ». Le président de la République avait une fois élu saisi pour avis le Comité consultatif national d'éthique (CCNE).

     

    Dans l'avis rendu en juillet 2013 par cette instance, une nette majorité de ses quarante membres recommande de ne pas légaliser l'assistance au suicide et l'euthanasie, et fait une série de propositions visant à améliorer la fin de vie - dans l'esprit que défendait le député Léonetti, à l'origine de la loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie. 

    Il souhaiterait savoir si le Gouvernement envisage ou non de donner corps à l'engagement de campagne n° 21 du président de la République.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 05/03/2015 p. 484

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