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programme

  • AVC : HAS et rééducation (05 08 2022)

    Nous vous proposons aujourd’hui un extrait d’une note de synthèse publiée le 4 juillet 2022 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/jcms/p_3150692/fr/reeducation-a-la-phase-chronique-d-un-avc-de-l-adulte-pertinence-indications-et-modalites#xtor=EPR-1-[L'actu%20de%20la%20HAS]-20220722.html

    Cliquer ici pour ouvrir le texte (pdf) de la note de synthèse de la HAS :

    https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-06/_reco_321_synthese_avc_mel_v0.pdf

     

    Rééducation à la phase chronique de l’AVC de l’adulte : pertinence, indications et modalités

    (Bonnes pratiques, recommandations de la HAS)

     

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  • Association Nationale des Hospitaliers Retraités (section 64) : notre actualité (28 11 2021)

    Association Nationale des Hospitaliers Retraités (section 64) : notre actualité

    Dans cette période toujours soumises aux aléas sanitaires (5e vague du Covid 19, apparition du variant Omicron), notre section maintient son (ses) activité(s). Au menu ces temps-ci :

    1) Repas-concert dans le madiranais (samedi 21 novembre)

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  • Autisme : 4e plan (26 02 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 février 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ17120170S.html

     

    Question orale n° 0170S de M. Pascal Savoldelli (sénateur du Val-de-Marne)

    Pascal Savoldelli. Madame la secrétaire d'État, ma question porte sur la réalisation du quatrième plan Autisme, qui relève de la compétence de l'État.

    Selon le récent rapport de la Cour des comptes sur ce sujet, seuls 15 % des enfants autistes bénéficient aujourd'hui d'un diagnostic et d'interventions précoces. On est donc dans une situation inquiétante, où les besoins sont très loin d'être pourvus. Quand je rencontre les associations et les familles, je constate beaucoup de colère, une colère qui est légitime, mais qui, à mon sens, n'est pas ignorée par le Gouvernement.

    En juillet, puis en septembre 2017, aux côtés du Président de la République, vous avez en effet annoncé, madame la secrétaire d'État, l'élaboration d'un nouveau plan Autisme. Je dois néanmoins vous avouer que les familles sont inquiètes, car rien n'est sorti de concret pour le moment.

    En attendant, et pour ne citer que cet exemple, le conseil départemental du Val-de-Marne s'est engagé à cofinancer 520 nouvelles places dans les structures d'accueil pour personnes handicapées, avec une priorité pour les enfants autistes. Voilà du concret !

    En déplacement à Bordeaux, il y a quelques jours, vous avez dévoilé, madame la secrétaire d'État, quelques premiers axes de ce plan, concernant notamment le dépistage, mais aussi la formation d'auxiliaires de vie scolaire. Cela n'est pourtant pas suffisamment précis, et c'est pourquoi je vous interroge aujourd'hui. Qu'en est-il des mesures concrètes ? Les familles, les personnels soignants et toutes les personnes concernées ont le droit de le savoir.

    Enfin, j'ai une demande particulière relative à la réforme de l'allocation aux adultes handicapés, l'AAH. Sa revalorisation était un combat de longue date des parlementaires communistes ; je me félicite donc que le Gouvernement ait accepté de l'augmenter de 100 euros d'ici à 2019. Toutefois, de par votre réforme, un bénéficiaire commencera à perdre de son allocation si son conjoint dispose d'un revenu de 1 126 euros par mois. C'est ensuite dégressif et, à partir de 2 200 euros de revenu pour le conjoint, la personne handicapée n'aura plus rien !

    Jusqu'à 50 % des personnes handicapées seraient pénalisées. Admettez, madame la secrétaire d'État, qu'on ne peut pas accepter cela.

    Voici donc ma seconde question : le Gouvernement va-t-il mettre fin à la prise en compte des revenus du conjoint dans le calcul de l'AAH ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du Premier ministre, chargé des personnes handicapées publiée dans le JO Sénat du 14/02/2018 p. 1427

     

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  • Cardiologie : Plan Coeur (10 02 2016)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 4 février 2016 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150415935.html

     

    Question écrite n° 15935 de Mme Patricia Schillinger (sénateur du Haut-Rhin)

     

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur le livre blanc pour un plan cœur, remis par la fédération française de cardiologie à l'automne 2014. Chaque année, 147 000 Français meurent de maladies cardiovasculaires. Cela représente plus de 400 morts par jour. Dans l'hexagone, c'est la première cause de mortalité chez les femmes. Les maladies cardiovasculaires sont à l'origine de 10 % des séjours hospitaliers et constituent 30 % des affections de longue durée prises en charge par la caisse nationale d'assurance maladie. La fédération estime à 23,4 millions le nombre de morts liées à des maladies cardiovasculaires dans le monde en 2030.

     

    Le livre blanc propose différentes actions qui s'articulent autour de sept axes principaux : mieux répondre à l'urgence, accompagner les cardiaques dans la réadaptation, lutter contre les inégalités dans la prise en charge, faciliter les démarches administratives des malades cardiaques congénitaux, se réinsérer après la maladie, développer une politique de recherche prioritaire en santé cardiovasculaire et améliorer les systèmes de prévention.

     

    Par conséquent, elle souhaiterait savoir si le Gouvernement entend prendre certaines des mesures proposées dans le livre blanc pour un plan coeur afin de lutter contre ce fléau.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

    publiée dans le JO Sénat du 04/02/2016 - page 421

     

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  • Maladies neuro-dégénératives (30 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214012.html

    Question écrite n° 14012 de M. Daniel Laurent (sénateur de Charente-Maritime)

     

    M. Daniel Laurent attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur le plan pour les maladies neuro-dégénératives 2014-2019. Les familles et associations se réjouissent que les avancées apportées par les plans Alzheimer successifs puissent profiter aux personnes touchées par d'autres pathologies.

     

    Toutefois, en annonçant une liste de pathologies, non exhaustive et susceptible d'évoluer, le Gouvernement dévoile un plan sans pour autant en définir le périmètre. Si une approche commune peut être pertinente, et favoriser une compétence transversale à toutes ces pathologies, notamment en matière de recherche, les besoins des personnes malades, liés à leur âge ou à la prédominance des troubles moteurs ou cognitifs par exemple, ne peuvent être envisagés sous un seul et même angle.

     

    Le budget consacré à ce plan inquiète également : 470 millions d'euros, dont 270 millions d'euros seulement pour le volet sanitaire et médico-social, sont aujourd'hui censés répondre aux besoins de plus de 1 million de personnes malades, et de plus de 4 millions de personnes en y intégrant notamment leurs aidants familiaux. Cette somme apparaît insuffisante pour un plan de cette ampleur. Par ailleurs, aucune information n'a été apportée sur les sources du financement, le calendrier et les objectifs à court terme.

     

    En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui apporter les précisions idoines sur la mise en œuvre du plan.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2299

     

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  • Repas équilibrés : La fabrique à menus (08 05 2014)

    Repas équilibrés : La fabrique à menus

    Note d’information publiée le 15 avril 2014 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/telephonie_sante/index.asp

    La Fabrique à menus, un nouvel outil pour manger équilibré à la disposition de tous les Français

    La question existentielle « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » devrait cesser d’être un casse-tête pour les Français en panne d’idées. Prévoir ses menus pour une, deux, huit personnes… sur plusieurs jours, une semaine… pour le déjeuner, le dîner… en tenant compte des ingrédients de saison… puis faire ses courses en conséquence, grâce à une liste consignant tous les produits nécessaires… On en rêvait, le site manger-bouger l’a rendu possible. Son nouvel outil, baptisé « La Fabrique à menus » est un générateur de repas, développé avec la collaboration de nutritionnistes et d’informaticiens chevronnés... Il est à utiliser sans modération et permet de planifier jusqu’à une semaine de menus variés, sains, économiques et savoureux. L’outil intègre les conseils du PNNS, les saisons, la variété des goûts et des saveurs, le temps disponible à la préparation des repas, etc. Il est gratuitement à disposition de tous les Français et modulable pour s’adapter au plus près de leurs besoins.

    Avoir une alimentation favorable à sa santé, en accord avec les conseils du Programme national nutrition-santé (PNNS), devient plus facile. La Fabrique à menus permet de générer à l’envi des listes de menus pour une période allant de 2 à 7 jours, car une alimentation équilibrée se construit sur plusieurs jours. L’outil développé sur le site mangerbouger est une aide pratique à « bien manger ». Il constitue une véritable opportunité, à la fois pour faire évoluer les habitudes alimentaires des Français et pour répondre aux attentes d’une population de plus en plus connectée. 

    Une campagne de communication pour donner le coup d’envoi de La Fabrique à menus

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