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société, cadre de vie - Page 392

  • Pétrole et matières premières : prix mars 2015 (23 04 2015)

    Nous vous proposons une note d’analyse publiée le 17 avril 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20150417.html

    En mars 2015, le prix du pétrole augmente légèrement  Prix du pétrole et des matières premières importées – mars 2015

    Avertissement : Comme chaque année en mars, les coefficients de pondération ont été actualisés pour l’année en cours, conduisant à une révision des indices agrégés depuis le début de l’année.

    En mars 2015, le prix du pétrole en euros croît de nouveau (+1,1 %) mais plus modérément qu’en février (+22,5 %). Il s’établit à 51,6 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie augmentent (+2,7 %), tant pour les matières premières alimentaires (+2,6 %) que pour les matières premières industrielles (+2,7 %).

    Le prix du pétrole en euros augmente légèrement

    En mars, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) fléchit en dollars (-3,7 % après +19,6 %) dans un contexte de production mondiale encore abondante et de niveaux de stocks importants aux États-Unis. En euros, la hausse du prix du Brent est plus modérée en mars (+1,1 %) qu’en février (+22,5 %), la monnaie européenne continuant de se déprécier par rapport au dollar (–4,7 % en mars 2015).

    Les prix des matières premières industrielles restent dynamiques

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  • Filière Bois : difficultés (22 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 février 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141113898.html

     

     

    Question écrite n° 13898 de M. Yannick Vaugrenard (Loire-Atlantique - SOC)

     

    M. Yannick Vaugrenard attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur les difficultés posées par l'exportation massive de grumes, et plus particulièrement en direction des pays émergents comme la Chine. 
    Selon les chiffres de la Fédération nationale du bois (FNB), en 2013, un million de mètre cube de grumes ont été exportés, principalement en Chine, soit le double du volume exporté en 2012.

     

    Les professionnels du bois sont donc fortement inquiets de ce phénomène qui risque de déstabiliser durablement les scieries présentes en France ainsi que les territoires liés à cette activité économique. Cette filière bois est une source d'emplois et de dynamisme incontestable pour les territoires, et notamment les territoires ruraux. Les professionnels vivent d'autant plus difficilement cette situation que ce sont des petites entreprises, employant quelques dizaines de salariés. 450 000 emplois directs et indirects sont concernés, dont 50 000 emplois directs dans les scieries.

     
    Stopper ces exportations massives est donc une nécessité, tant pour l'avenir de la filière bois que pour la pérennité de cette ressource. 


    Il lui demande donc d'étudier les diverses possibilités permettant d'arrêter ces exportations massives de grumes.

     

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 05/02/2015 - page 251

     

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  • Alcool et jeunes (21 05 2015)

    Nous proposons cet article publié dans le dernier numéro d’Equilibres (n° 114 avril-mai 2015), la revue de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/114/ivresse-chez-les-jeunes.asp

    Les ivresses de plus en plus fréquentes chez les jeunes

    Les résultats du Baromètre santé Inpes 2014 indiquent qu’un nombre croissant de jeunes pratiquent l'alcoolisation massive. La hausse des consommations excessives d’alcool chez les 18-25 ans est une tendance relevée par les Baromètres santé depuis dix ans. Cette recherche d'ivresse, qui s'apparente aubinge drinking (alcoolisation massive rapide) des Anglo-saxons, est étudiée pour la première fois en France.

    Le Baromètre santé permet d’analyser l’évolution des comportements des Français vis-à-vis de l’alcool et de la représentation qu’ils s’en font. Les premiers résultats analysés concernent la manière de s'alcooliser des 18-25 ans : les jeunes ne boivent pas tous les jours (moins de 2 % ont une consommation quotidienne), mais « s'offrent » régulièrement une « cuite », prenant des risques inconsidérés à cette occasion. Cette alcoolisation ponctuelle importante (API) aussi nommée binge drinking correspond à plus de six verres d'alcool en une seule fois.

    Un phénomène générationnel qui touche de plus en plus les filles

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  • Etiquetage nutritionnel simplifié (20 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 avril 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612274.html

     

    Question écrite n° 12274 de Mme Catherine Morin-Desailly (sénateur de Seine-Maritime)

     

    Mme Catherine Morin-Desailly attire l'attention de Mme la secrétaire d'État, auprès du ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique, chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire sur la nécessité de définir un modèle national d'étiquetage nutritionnel clair et intelligible afin de lutter contre les maladies chroniques, conséquences d'une alimentation non équilibrée.

    Le surpoids et l'obésité font sont, en effet, des phénomènes croissants, tant chez les adultes que chez les enfants. Trois millions de personnes sont diabétiques et le nombre de maladies cardiovasculaires ne cesse de s'aggraver, représentant désormais la deuxième cause de mortalité en France.

    L'observatoire de la qualité de l'alimentation (OQALI) a démontré que, sur les dix dernières années, l'industrie alimentaire n'avait pas été en mesure de diminuer les taux de matières grasses saturées, de sucre ou de sel dans les aliments transformés. C'est donc intégralement sur les consommateurs que repose la responsabilité de construire une alimentation équilibrée. 

    Or, de nombreuses études montrent leur incapacité à identifier la qualité nutritionnelle de ces aliments industriels. En effet, qu'il s'agisse de l'étiquetage défini par la réglementation européenne ou des étiquetages volontaires mis en œuvre par les professionnels, leurs formats restent tous particulièrement complexes et donc inutilisables en pratique.

     C'est dans cette optique qu'un rapport, remis en janvier 2014 à la ministre de la santé, propose une échelle nutritionnelle simple et compréhensible par tous, classant les aliments en cinq classes, sous la forme d'une échelle colorielle, afin de lui assurer une grande lisibilité. Alors que les divers formats nutritionnels existants nuisent, par leur diversité, à la compréhension et à la comparaison entre produits, cette proposition a pour ambition de fournir un modèle national unique pour les étiquetages que les professionnels pourront mettre en place à titre volontaire. Une telle mesure présente aussi un intérêt pour les industriels car elle incitera à l'amélioration de la composition des produits en valorisant leurs efforts au travers d'un positionnement plus favorable sur l'échelle nutritionnelle visible par les consommateurs.

    Il est aujourd'hui essentiel que la loi de santé publique, qui donnera les grandes orientations de santé pour les dix ans à venir, comporte un volet nutritionnel à la hauteur des enjeux que représente l'alimentation.

    Compte tenu de ces éléments, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer comment le Gouvernement entend encadrer, sur le territoire national, les modalités de mise en œuvre de cet étiquetage nutritionnel nécessaire à la prévention de telles maladies et à l'information éclairée du consommateur.

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de l'économie, de l'industrie et du numérique, chargé du commerce, de l'artisanat, de la consommation et de l'économie sociale et solidaire publiée dans le JO Sénat du 02/04/2015 p. 753

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  • Cancer colo-rectal : dépistage (17 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140110098.html

     

    Question écrite n° 10098 de M. Thierry Foucaud (sénateur de Seine-Maritime)

     

    M. Thierry Foucaud interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la mise en place de nouveaux tests immunologiques visant au dépistage du cancer colorectal.

     
    Le cancer colorectal est la deuxième cause de mortalité par cancer en France, avec 18 000 décès annuels. Il touche, chaque année, 42 000 nouveaux patients, le plus souvent après cinquante ans. 
    Des représentants de la Société nationale française de gastro-entérologie (SNFGE) lui ont fait part de leur volonté d'accélérer la mise en place de nouveaux tests immunologiques.

     
    Ce test immunologique est plus fiable, plus rapide et plus simple d'utilisation que le test utilisé actuellement, et il n'est pas plus cher que l'actuel test « Hemoccult ». Dès 2008, la Haute autorité de santé avait, d'ailleurs, émis un avis favorable sur son usage et le plan « Cancer » 2009-2013 préconisait sa mise en place rapide.

     
    En mars 2012, la secrétaire d'État chargée de la santé sous le précédent Gouvernement annonçait même sa commercialisation pour mai 2013, sans que l'appel d'offres pour l'achat de ces tests ne soit aujourd'hui lancé.

     
    La mise en place de ce test permettrait de doubler le nombre de vies sauvées, avec 5 400 vies gagnées par an, contre 2 700 actuellement avec le test « Hemoccult », selon le président honoraire de la SNFGE. Le passage au test immunologique, plus simple, moins contraignant, devrait aussi permettre d'augmenter le nombre des personnes qui s'y soumettent.

     
    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement sur cette question et, le cas échéant, le calendrier de la mise en place de ce nouveau test. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 670

     

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  • Déchets : abandon sauvage, sanctions (16 04 2015)

    Notice d’information publiée le 9 avril 2015 sur le site Service Public (cliquer ici pour accéder au site  Service Public)

    http://www.service-public.fr/actualites/007756.html?xtor=EPR-140.html

    Abandon sauvage de déchets : jusqu’à 450 euros d’amende

    Publié le 09.04.2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Peut-on être sanctionné pour abandon de déchets dans la rue ? Oui, il est interdit de déposer, abandonner, jeter ou déverser ses déchets sur la voie publique. Depuis le 26 mars 2015, l’amende maximale encourue en cas d’abandon de déchets est passée de 150 euros à 450 euros.

    Tous types de déchets sont concernés, par exemple : poubelles, mégots de cigarette, sacs plastiques, déjections (humaines ou canines), matériaux (tôle, ciment, bois…), liquides insalubres, et plus généralement tout autre objet quelle que soit sa nature.

    Si l’auteur de la contravention est verbalisé sur place, une amende forfaitaire est prévue. Son montant est fixé à :

    ·         68 euros si le paiement s’effectue sur le champ ou dans les 45 jours,

    ·         180 euros au-delà de ce délai.

    En cas de non paiement ou si la personne verbalisée conteste l’amende, le juge peut condamner le contrevenant au paiement d’une amende pouvant aller jusqu’à 450 euros (contre 150 euros avant le 26 mars 2015).

    À noter : l’abandon d’épave est puni de 1 500 euros d’amende, tout comme l’abandon de déchets transportés à l’aide d’un véhicule.

    Sur Service-public.fr

    Déchets

    Pour en savoir plus

    ·         Décret du 25 mars 2015 relatif à l’abandon d’ordures et autres objets

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit

    ·         Article R633-6 du code pénal (amende maximale)

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit

    ·         Article R635-8 du code pénal (amende en cas de transport de déchets à l’aide d’un véhicule)

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit

    ·         Article R48-1 du code de procédure pénale (amende forfaitaire)

     

    Légifrance, le service public de la diffusion du droit