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société, cadre de vie - Page 389

  • Enseignement moral et civique : rentrée 2015 (03 09 2015)

    Note d’information publiée le 25 juin 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/education-nouvel-enseignement-moral-civique-rentree-2015.html?xtor=EPR-56.html

    Education : un nouvel enseignement moral et civique à la rentrée 2015

    Le ministère en charge de l’éducation nationale publie au Bulletin officiel du 25 juin 2015 les arrêtés fixant les horaires et les programmes pour l’enseignement moral et civique mis en place à la rentrée de septembre 2015.

    L’introduction de l’enseignement moral et civique s’inscrit dans le cadre de la refondation de l’École, initiée dès l’été 2012. En avril 2013, un rapport avait été remis au ministre pour un "enseignement laïque de la morale". Lors de la remise du rapport, le ministre avait précisé les orientations retenues : mise en place d’un enseignement à horaire dédié consacré à la morale laïque, évaluation des élèves sur ces enseignements. Le Conseil supérieur des programmes a été chargé d’élaborer le programme de ce nouvel enseignement. Les programmes visent à développer le principe d’autonomie (penser et agir par soi-même et avec les autres), à expliciter le bien-fondé des règles qui régissent les comportements individuels et collectifs, à reconnaître le pluralisme des opinions, à construire du lien social. Les valeurs et les normes transmises par cet enseignement peuvent être classées en trois catégories :

    ·         principe d’autonomie et coexistence des libertés : la liberté de conscience, d’expression et de choix du sens que chacun donne à sa vie, l’ouverture aux autres et la tolérance

    ·         principe de discipline et principe de la communauté des citoyens : respect des droits et de la loi, égale considération des personnes, refus de toute discrimination, solidarité, entraide, coopération, sens de l’intérêt général, participation à la vie démocratique

    ·         dialogue et confrontation des idées, développement de l’esprit critique, intérêt porté à la recherche de la vérité.

     

    A la suite des attentats de janvier 2015, la ministre en charge de l’éducation nationale a lancé la "mobilisation de l’école pour les valeurs de la République". Dans ce cadre, est créé un parcours citoyen de l’école maternelle à la terminale. Le nouvel enseignement moral et civique fait partie de ce parcours à côté d’autres actions éducatives (éducation aux médias, semaine contre le racisme et l’antisémitisme, valorisation de l’engagement associatif, etc.).

  • Antibiotiques : fortes prescriptions (26 08 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 mai 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214199.html

     

    Question écrite n° 14199 de Mme Patricia Schillinger (sénateur du Haut-Rhin)

     

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la forte prescription d'antibiotiques en France. Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques dans son rapport intitulé « Panorama de la santé : Europe 2014 », la prescription d'antibiotiques en France est supérieure de 41 % à la moyenne européenne.

     
    Cet excès a des répercussions néfastes sur le système de santé français avec un coût qui s'accroît pour l'assurance maladie bien que l'origine de la pathologie traitée ne justifie pas toujours l'utilisation d'antibiotiques mais également en raison de l'apparition de résistances de plus en plus nombreuses des germes aux thérapeutiques censés les éliminer. Un plan national d'alerte sur les antibiotiques 2011-2016 a été mis en place, qui vise à promouvoir la recherche afin de disposer de nouvelles substances et à diminuer la consommation de 25 % sur cinq ans. Les campagnes de sensibilisation au bon usage de ces médicaments ont permis une baisse de leur consommation de 10,7 % entre 2000 et 2013 mais l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) observe un revirement depuis 2009, avec une hausse de 5,9 %.

     

    Si la consommation semble stabilisée dans les hôpitaux, les prescriptions de ville se sont quant à elles accrues ces cinq dernières années. Cet usage intensif inquiète les experts car il conduit à un « développement des situations d'impasse thérapeutique », selon un membre de l'ANSM, alors que les études pour la mise au point de nouvelles molécules restent marginales malgré les appels de l'Organisation mondiale de la santé à intensifier ces recherches. L'OMS recense 25 000 personnes qui décèdent chaque année au sein de l'Union européenne des suites d'une infection résistante aux antibiotiques.

     

    Par conséquent, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles sont les intentions du Gouvernement pour remédier à cette situation. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 28/05/2015 p. 1243

     

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  • Démographie : la population de l’Union européenne en 2015 (25 08 2015)

    Note d’analyse statistique publiée le 11 08 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/demographie-population-union-europeenne-2015.html?xtor=EPR-56.html

    L’Office statistique de l’Union européenne, Eurostat, a récemment publié les chiffres estimés de la population de l’Union européenne (UE) en 2015.

    Selon cette étude, la population de l’UE est estimée à 508,2 millions de résidents au 1er janvier 2015. L’Allemagne (81,2 millions de résidents), la France (66,4 millions), le Royaume-Uni (64,8 millions) et l’Italie (60,8 millions) sont les États membres les plus peuplés de l’UE. Ensemble, ils réunissent plus de la moitié de la population de l’UE (53,8%), représentant respectivement 16%, 13,1%, 12,7% et 12% des résidents de l’UE.

    Entre le 1er janvier 2014 et le 1er janvier 2015, la population de l’UE a augmenté d’un peu plus d’un million de personnes, passant de 506,9 millions à 508,2 millions. Cette hausse s’explique par l’accroissement naturel de la population (+200 000 personnes) et le solde migratoire.

    Au cours de cette période, la population a augmenté dans 16 États membres de l’UE et diminué dans 12 autres. La plus forte croissance démographique a été observée au Luxembourg (+23,9 pour 1 000 résidents), loin devant la Suède (+10,6‰), Malte (+9,3‰), l’Autriche (+9,1‰) et le Danemark (+7,5‰). À l’opposé, les plus fortes baisses ont été enregistrées à Chypre (-12,9‰), en Grèce (-8,4‰), en Lettonie (-7,7‰) et en Lituanie (-7,6‰)

    Source EUROSTAT :

     

    http://ec.europa.eu/eurostat/web/products-press-releases/-/3-10072015-AP.html

  • Nouveaux rythmes scolaires : financements pérennes (24 08 2015)

    Réforme des nouveaux rythmes scolaires : financements pérennes

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 juillet 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140913083.html

    Question écrite n° 13083 de Mme Danielle Michel (sénateur des Landes)

     

    Mme Danielle Michel appelle l'attention de M. le Premier ministre sur la création d'un financement pérenne des nouvelles activités périscolaires.

     
    Il existe dans notre pays un large consensus sur la nécessité d'une refonte des rythmes scolaires, en particulier sur le bienfait d'augmenter le nombre de matinées de cours, période pendant laquelle les enfants sont les plus réceptifs aux apprentissages.

     
    Or, notre organisation du temps scolaire sur quatre jours imposait aux élèves une charge de travail quotidienne parmi les plus élevées du monde, sur une des années scolaires les plus courtes. C'est pourquoi la réforme des rythmes scolaires initiée par le décret du n° 2013-77 du 24 janvier 2013 est venue réduire cette concentration anormale du temps qui nuit aux apprentissages, en premier lieu pour les enfants les plus fragiles socialement et scolairement. 

    Cette réforme ambitieuse qui doit permettre d'organiser les temps éducatifs au travers d'un projet global s'applique depuis la rentrée à toutes les communes. 

    En outre, la mise en œuvre de la nouvelle semaine a comme conséquence le déploiement ou le redéploiement d'activités périscolaires. Ces activités représentent un complément éducatif indispensable auquel auront accès plus d'enfants qu'auparavant, notamment ceux qui n'avaient pas la possibilité de les pratiquer en dehors de l'école.

     
    Cette avancée très positive exige un effort financier durable des collectivités dans la période budgétaire extrêmement contrainte que nous connaissons. La création d'un fonds d'amorçage visant à accompagner les communes dans la mise en œuvre de la réforme, dès la rentrée 2013, a ainsi fait l'objet de l'article 67 de la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République. En plus d'une compensation forfaitaire de 50 €, il a été prévu que les communes éligibles à la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) dite «cible» ou à la dotation de solidarité rurale (DSR) dite «cible» perçoivent 40 euros supplémentaires par élève dans le cadre d'une majoration forfaitaire. 

    Au total, c'est donc une aide de 90 euros par élève qui a été versée à ces communes pour l'année scolaire 2013-2014, contribuant ainsi à réduire les inégalités sociales et territoriales. 
    Comme annoncé par le Premier ministre en octobre 2013, ce dispositif d'aides a été reconduit, pour toutes les communes et dans les mêmes conditions, pour l'année scolaire 2014-2015. 

    Il s'agit cependant toujours d'un dispositif transitoire. Faisant suite aux travaux menés par la mission sénatoriale d'information sur la réforme des rythmes scolaires, elle s'interroge sur la possibilité de créer une dotation pérenne de compensation de la réforme des rythmes scolaires, modulée en fonction des réalités propres à chaque territoire qui viendrait prendre le relais du fonds d'amorçage.

     

    Réponse du Ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche publiée dans le JO Sénat du 30/07/2015 p.1819

     

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  • Violences et incivilités en milieu hospitalier (21 08 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 4 juin 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150114487.html

     

    Question écrite n° 14487 de Mme Frédérique Espagnac (sénateur des Pyrénées-Atlantiques)

     

    Mme Frédérique Espagnac attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les actes d'incivilité et les actes de violence auxquels sont de plus en plus exposés les professionnels de santé et notamment ceux exerçant en milieu hospitalier. En effet, ces professionnels (médecins, infirmiers, aides-soignants ou personnels d'accueil) sont confrontés à une recrudescence des actes de violence physique ou verbale.

     

    Dans ce contexte, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quels dispositifs pourraient être envisagés pour réduire les risques de violence rencontrés par les personnels hospitaliers.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 04/06/2015 p. 1312

     

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  • Stabilité du PIB au 2e trimestre 2015 (20 08 2015)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note de synthèse économique publiée le 14 août 2015 par l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=26&date=20150814.html

    Comptes nationaux trimestriels - Premiers résultats du 2e trimestre 2015

    Au deuxième trimestre 2015, le PIB en volume est stable : 0,0 %, après +0,7 % au premier trimestre.

    Les dépenses de consommation des ménages ralentissent fortement (+0,1 % après +0,9 %) tandis que leur formation brute de capital fixe fléchit de nouveau (–1,6 % après –1,1 %). L'investissement des entreprises et des administrations publiques ralentit également. Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) décélère fortement : elle contribue à l’évolution du PIB pour +0,1 point au deuxième trimestre 2015 (après +0,6 point début 2015).

    Les importations ralentissent (+0,6 % après +2,2 %), tandis que les exportations accélèrent (+1,7 % après +1,3 %). In fine, le solde extérieur contribue positivement à l’évolution du PIB (+0,3 point, après –0,3 point). À l’inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (–0,4 point, après +0,3 point le trimestre précédent).

    La production totale est quasi stable

     

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