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société, cadre de vie - Page 391

  • Chefs d’entreprises : investissements pour 2015 (07 05 2015)

    Nous proposons une note d’analyse économique publiée le 6 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=15&date=20150506.html

    Les chefs d’entreprises de l’industrie manufacturière anticipent une hausse de 7 % de leur investissement en 2015 : Enquête sur les investissements dans l’industrie – Avril 2015

    Interrogés en avril 2015, les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière déclarent que leur investissement a progressé de 2 % en valeur en 2014, conformément à leur estimation de janvier dernier.

    Pour 2015, les industriels prévoient d’investir davantage

    Pour 2015, les chefs d’entreprise de l’industrie manufacturière anticipent une progression de 7 % de leur investissement. Ils relèvent de 4 points leur estimation de janvier 2015. Cette révision à la hausse concerne tous les grands secteurs excepté celui des biens d’équipements (–2 points). La révision est particulièrement marquée pour la fabrication de matériels de transport (+9 points) ; elle est plus modérée pour l’agro-alimentaire (+4 points) et les « autres industries » (+3 points).

    Les industriels prévoient une hausse de leur investissement au second semestre 2015

    En avril 2015, les industriels sont quasiment aussi nombreux à prévoir une augmentation qu’une baisse de leur investissement au cours du premier semestre 2015. Pour le second semestre 2015, les industriels sont plus nombreux à prévoir une augmentation qu’une baisse de leur investissement. Le solde d’opinion correspondant (+10) est supérieur à son niveau moyen (+5).

     

    L’indicateur de révision des investissements reste positif en avril

    L’indicateur de révision des investissements reste positif en avril. Il est calculé à partir des montants d’investissements déclarés à chaque enquête par les entreprises de l’industrie manufacturière (hors industrie agro-alimentaire et cokéfaction-raffinage). Cet indicateur est bien corrélé avec la variation trimestrielle de l’investissement des entreprises non-financières.

    Des investissements visant surtout à renouveler et à moderniser les équipements

     

    La destination des investissements ne se modifierait que légèrement en 2015 par rapport à 2014. La part des investissements destinés au renouvellement ou à la modernisation des équipements serait au-dessus de sa moyenne de longue période ; à l’inverse, celle des investissements consacrés à l’introduction de nouveaux produits ou à l’extension de la capacité productive resterait en deçà.

  • Adolescents : Cannabis, tabac, alcool en hausse (30 04 2015)

    Note de synthèse publiée le 22 avril 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/cannabis-tabac-alcool-consommation-adolescents-hausse-20150422.html

    Cannabis, tabac, alcool : la consommation des adolescents en hausse

    La consommation de cannabis est repartie à la hausse chez les adolescents de 17 ans entre 2011 et 2014, après plusieurs années de baisse. Dans le même temps, les usages réguliers de tabac et d’alcool progressent légèrement. C’est ce que révèlent les premiers résultats de l’enquête menée lors des journées Défense et citoyenneté de mars 2014, publiés par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) en avril 2015.

    Entre 2011 et 2014, l’expérimentation du cannabis augmente, dans des proportions comparables pour les garçons et les filles (elle passe de 44% à 49,8% des garçons, de 38,9% à 45,8% des filles). Les niveaux de consommation augmentent également. En 2014, 38,2% des jeunes de 17 ans ont fumé du cannabis au moins une fois dans l’année et 9,2% sont des consommateurs réguliers (plus de 10 fois dans le mois). Parmi ceux ayant consommé dans l’année, 25,7% des garçons et 17,3% des filles présentent un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance au cannabis. Au total, cela représente 8% des adolescents de 17 ans en 2014 (contre 5,3% en 2011).

    Sur la même période, l’expérimentation du tabac se stabilise (68,4%) et celle de l’alcool baisse (91% en 2011, 89,3% en 2014). L’usage quotidien du tabac progresse légèrement, passant de 31,5% à 32,4%. La consommation régulière d’alcool (au moins dix consommations au cours du mois) passe de 10,5% à 12,3%, mais les ivresses diminuent. En 2014, 58,9% des jeunes de 17 ans déclarent avoir déjà été ivres, 25,3% (contre 27,8% en 2011) ont connu au moins trois ivresses alcooliques dans l’année. Il en est de même des alcoolisations ponctuelles importantes (au moins 5 verres en une occasion), qui régressent sensiblement entre 2011 et 2014.

     

    Parallèlement à ces évolutions, la part des adolescents de 17 ans n’ayant expérimenté aucun de ces trois produits poursuit sa progression : 8% en 2014, contre 6,6% en 2011 et 5,1% en 2008.

  • Pharmaciens : inquiétudes (29 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140913008.html

     

    Question écrite n° 13008 de Mme Caroline Cayeux (sénateur de l’Oise)

     

    Mme Caroline Cayeux attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la fin du monopole officinal pour tous les médicaments en accès libre et d'autres qualifiés de produits « frontière ». Permettre à la grande distribution de vendre des médicaments ne peut qu'encourager une hausse de la consommation et de l'automédication. La cohérence dans le suivi des patients, la confiance et la proximité du pharmacien d'officine sont plébiscités par toutes les enquêtes d'opinion.

    Par ailleurs, la sécurité et l'accès aux médicaments doivent être régulés par une loi relative à la santé publique et non par une loi relative à la consommation. La profession s'inquiète et s'interroge sur la façon dont les patients pourront être médicalement conseillés.

    C'est pourquoi elle lui demande de bien vouloir lui faire connaître les intentions du Gouvernement, eu égard aux exigences de la santé publique.

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 673

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  • Industrie : conjoncture avril 2015 (28 05 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 23 avril 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=11&date=20150423.html

    En avril 2015, le climat des affaires dans l’industrie manufacturière s’améliore

    Industrie manufacturière

    Selon les chefs d'entreprise interrogés en avril 2015, le climat conjoncturel dans l’industrie s’améliore : l’indicateur qui le synthétise gagne deux points et se situe à un niveau (101) légèrement supérieur à sa moyenne de longue période (100).

    Le solde d’opinion des industriels sur leur activité passée rebondit et se situe à un niveau proche de sa moyenne de longue période. Celui relatif aux perspectives personnelles diminue mais reste à un niveau encore supérieur à sa moyenne de long terme.

    Les carnets de commandes globaux et les carnets de commandes étrangers s’améliorent par rapport au mois de mars : pour les premiers, le solde correspondant rejoint sa moyenne de long terme ; pour les seconds, il reste supérieur et atteint son niveau le plus haut depuis juillet 2011.

    Le solde sur les perspectives générales de production, qui représente l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, continue de progresser. Il gagne 3 points et se situe nettement au-dessus de sa moyenne de long terme, à son niveau le plus élevé depuis juillet 2011.

    Enfin, un peu moins d’industriels jugent les stocks de produits finis inférieurs à la normale, mais le solde correspondant reste inférieur à sa moyenne.

    Analyse par sous-secteurs

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  • Frelon asiatique (27 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 2 avril 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15010998S.html

     

    Question orale sans débat n° 0998S de Mme Françoise Gatel (Ille-et-Vilaine - UDI-UC)

    publiée dans le JO Sénat du 29/01/2015 - page 175

    Mme Françoise Gatel attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la lutte contre le fléau que représente le frelon asiatique. 
    Le frelon asiatique est un insecte colonisateur et nuisible, dont l'espèce a été déclarée invasive depuis déjà plusieurs années. L'évolution du nombre de foyers a considérablement progressé et son impact environnemental (notamment sur la santé des abeilles et la biodiversité) est désormais avéré.

     

    Ce prédateur, classé depuis 2012 comme danger sanitaire au titre du code rural et « espèce exotique envahissante » au titre du code de l'environnement français, menace de plus en plus la santé publique et touche l'ensemble du territoire. D'après les chiffres de 2013, 70 % du territoire français sont aujourd'hui colonisés et, tout particulièrement, le Grand Ouest. 
    Or, la prise en charge, par les particuliers, des frais de destruction des nids situés sur leur propriété atteint ses limites du fait de son coût élevé et de son caractère itératif. Les personnes concernées sont alors parfois contraintes de s'abstenir - engendrant des risques sanitaires et contribuant, malgré elles, au développement du phénomène - ou de solliciter l'aide des communes.

     
    Compte tenu de l'ampleur du phénomène, qui menace indéniablement la santé publique (quinze morts sont à déplorer chaque année) et l'éco-système, il reviendrait légitimement à l'État de prendre en charge les frais de lutte contre ce fléau, pour l'ensemble de sa population et de son territoire. 
    Elle lui demande donc quelles dispositions seront prises pour lutter contre ce grave phénomène d'invasion qui porte atteinte à la santé publique.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du Premier ministre, chargé de la réforme de l'État et de la simplification publiée dans le JO Sénat du 25/03/2015 p.2865

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  • Médecins : dépassements d’honoraires (24 04 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 mars 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141013248.html

     

    Question écrite n° 13248 de M. Michel Le Scouarnec (sénateur du Morbihan)

     

    M. Michel Le Scouarnec attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur les dépassements d'honoraires pratiqués par les médecins. En effet, le montant total des dépassements d'honoraires a augmenté de 2,9 % en 2013 pour atteindre 2,7 milliards d'euros. Pourtant, la signature du contrat d'accès aux soins (CAS) entre l'assurance maladie et les médecins pour faire reculer les dépassements d'honoraires devait remédier à cette situation. Un an après son entrée en vigueur, il semblerait que ce contrat soit passé à côté de son objectif. En réalité, ce dispositif aurait ouvert les vannes en autorisant des praticiens jusque-là tenus de respecter les tarifs de l'assurance maladie à pratiquer des dépassements d'honoraires.

     

    Dans un rapport relatif aux relations conventionnelles entre l'assurance maladie et les professions libérales de santé, réalisé à la demande de la commission des affaires sociales du Sénat et rendu public en juin 2014, la Cour des comptes déplorait qu'à l'entrée en vigueur du CAS, « 27 % des signataires provenaient du secteur 1 », signifiant qu'il y avait plus de médecins facturant des dépassements d'honoraires. Certes, conformément à l'accord, ceux-ci sont désormais encadrés et le taux moyen de dépassement s'est stabilisé autour de 56 %. Mais ces deux données ne représentent pas grand-chose au regard de l'afflux de nouveaux médecins appliquant des dépassements. Cette évolution à la hausse va encore compliquer l'accès aux soins. Les patients vont avoir plus de mal à se soigner aux tarifs de l'assurance maladie.

     

    Dans beaucoup de zones du territoire, le choix sera encore plus restreint, laissant craindre que seuls des praticiens appliquant des dépassements d'honoraires seront présents sur un bassin de vie. Or, nombre de nos concitoyens n'ont pas les moyens d'adhérer à une complémentaire santé pouvant prendre en charge ces frais supplémentaires, rompant ainsi l'égal accès aux soins pour tous et partout. L'aggravation prévisible de la situation montre qu'il est urgent d'envisager de nouvelles mesures pour un meilleur plafonnement des dépassements et surtout une revalorisation des tarifs de base des médecins. C'est pourquoi il lui demande les dispositions envisagées en la matière.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 26/03/2015 p. 673

     

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