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société, cadre de vie - Page 450

  • Réforme des Retraites (17 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 15 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13030122G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0122G de Mme Catherine Procaccia (sénatrice UMP du Val-de-Marne)

    Après avoir tant critiqué la réforme des retraites engagée par François Fillon en la qualifiant d'injuste et de non financée, le Président de la République annonce – et je m'en réjouis – que le Gouvernement est enfin prêt à faire « des choix courageux » pour assurer « l'avenir de nos régimes de retraite ». 

    Ces choix, quels seront-ils ? Le rapport du Conseil d'orientation des retraites souligne que, pour éviter la faillite du système, il nous faut trouver 20 milliards d'euros d'ici à 2020. J'insiste sur ce montant, car ce sont 47 milliards d'euros qui auraient été nécessaires si nous n'avions pas engagé la réforme en 2010.

    Vous reconnaissez enfin que l'allongement de l'espérance de vie doit être pris en considération. Ce fait ne date pourtant ni d'hier ni de mai 2012 !

    Madame la ministre, vous avez déclaré dimanche que des efforts seraient demandés à tous les Français. Puisque toucher à l'âge des départs à la retraite semble complètement tabou, à quels efforts pensez-vous ? Le Gouvernement doit être clair et honnête envers les Français. Oserez-vous leur annoncer qu'ils devront cotiser plus de 41,5 années ? Ils vont faire le calcul et ils verront que les 62 ans ne sont qu'un leurre ! Pourtant, cela ne suffira pas, vous le savez ! 

    En faisant sauter, le verrou des 62 ans l'été dernier, vous avez donné un signal contradictoire aux Français et dépensé 3 milliards d'euros. Vous avez ainsi contraint les régimes complémentaires à décider de désindexer les pensions.

    Après avoir instauré à l'automne une nouvelle contribution à la charge des retraités, allez-vous continuer à les paupériser ? Contrairement à ce que vous aimez faire croire, ils sont loin d'être des nantis.

    Madame la ministre, je vous poserai trois questions précises.

    Premièrement, que comptez-vous faire avec les salariés des régimes spéciaux ? Vont-ils continuer à être exemptés des futurs efforts, à pouvoir partir à la retraite à 52 ans, comme les cheminots, ou à 57 ans, comme les autres agents de la SNCF et de la RATP ?

    Deuxièmement, prendrez-vous aujourd'hui l'engagement de présenter votre réforme devant le Parlement, et non de légiférer par ordonnance, comme le suggère le porte-parole du Gouvernement ?

    Troisièmement, lorsque vous étiez députée, vous souhaitiez une réforme garantie financièrement jusqu'en 2030. Celle que vous allez nous proposer aura-t-elle les ambitions de celle que vous nous réclamiez ?

    Réponse du Ministre des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15 mars 2013

     

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  • Pétrole et matières premières : prix mars 2013 (16 04 2013)

    Note d’analyse publiée le 12 avril 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20130412.html

    Prix du pétrole et des matières premières importées – Mars 2013

    En mars, le prix du pétrole en euros s’est replié (-2,9 % après +3,4 % en février) atteignant 84,7 € par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières hors énergie importées en France restent stables (-0,2 % après +0,1 % en février).

    Le prix du pétrole cesse d’augmenter

    En mars, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) en dollars a reculé nettement (-5,8 % après +3,8 %). Il s’est établi à 109,7 $ le baril. En euros, le recul du prix du Brent est moins marqué (-2,9 % après +3,4 %), du fait d’une dépréciation de la monnaie européenne vis-à-vis du dollar (-3,0 %).

    Les prix des matières premières industrielles importées diminuent

     

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  • OGM : étiquetage « nourri sans OGM (15 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiée le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204536.html

     

    Question écrite n° 04536 de M. Alain Fauconnier  (sénateur socialiste de l’Aveyron)

    M. Alain Fauconnier attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur l'étiquetage « Nourri sans OGM ». L'UFC-Que Choisir vient de rendre public, un an jour pour jour après la publication du décret autorisant la mention « Nourri sans OGM » sur les produits d'origine animale, les résultats de son enquête épinglant la trop faible présence en magasin de cet étiquetage pourtant réclamé par les consommateurs.

    Ainsi, dans le sud du département de l'Aveyron, l'UFC-Que Choisir a diligenté une enquête dans cinq grandes surfaces pour vérifier la disponibilité et la valorisation des produits portant la mention « Nourri sans OGM ». Or force est de regretter que l'appétit pour des produits « Sans OGM » n'a pas été rassasié. En ce qui concerne les marques nationales, si les rayons de la grande distribution alignent des dizaines de références parmi les aliments recherchés, s'agissant en revanche du « Nourri sans OGM », les enquêteurs n'ont trouvé dans ces magasins que trois produits alimentaires : les volailles et les œufs des Fermiers de Loué, ainsi que le saumon fumé sous vide de Labeyrie.

    En outre, pour ce qui est des marques de distributeurs (MDD), sur les cinq enseignes visitées, pas moins de trois font l'impasse sur le « Sans OGM ». Dans ce triste palmarès, une seule enseigne se distingue en proposant des produits « Sans OGM » sous ses marques propres : Simply market du groupe Auchan pour les volailles. Si l'indisponibilité actuelle de produits laitiers « Sans OGM » peut s'expliquer par la longueur de la mise en place de cette filière, pour les autres aliments en revanche les professionnels ne peuvent arguer de la récente entrée en vigueur de la réglementation, puisque les contours des modalités de communication du « Sans OGM » étaient connus dès 2008.

    De plus, sur le « sans visibilité » du « Sans OGM », aucun magasin de Millau et Saint-Affrique n'aide les consommateurs à trouver les produits « Sans OGM » dans les rayons. Quant aux étiquetages figurant sur les produits eux-mêmes, si les produits de marque Auchan bénéficient d'un marquage bien visible, la mention « Nourri sans OGM » des Fermiers de Loué ou de Labeyrie se remarque à peine. En outre, l'enquête de l'UFC-Que Choisir Millau / Saint-Affrique souligne qu'il n'y a pas de différence de prix entre les deux filières. En effet, au niveau national, les prix du jambon et du saumon fumé sous vide « Nourris sans OGM » sont respectivement 4 % moins cher et 0,3 % plus cher que leurs homologues conventionnels !

    Par conséquent, il le remercie de bien vouloir lui indiquer la position du Gouvernement dans ce domaine.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 14/03/2013 p. 870


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  • Inflation : mars 2013 (13 04 2013)

    Note d’analyse publiée le 11 avril 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20130411.html

    Hausse des prix à la consommation de 0,8 % en mars 2013 ; augmentation de 1,0 % sur un an

    Évolution mensuelle : +0,8 % ; variation sur un an : +1,0 %

    En mars 2013, l’indice des prix à la consommation (IPC) croît de 0,8 % après avoir augmenté de 0,3 % en février. Sur un an, il s’accroît de 1,0 % en mars, comme en février. Hors tabac, l’IPC est également en hausse de 0,8 % en mars (+0,9 % sur un an, comme en février). Corrigé des variations saisonnières, il augmente de 0,3 % en mars et de 1,0 % sur un an (après +1,1 % en février 2013). En mars 2013, la hausse des prix provient, pour l’essentiel, de celles des produits manufacturés après la fin des soldes d’hiver et, dans une moindre mesure, de celles de certains services liés aux vacances d’hiver ainsi que de l’augmentation saisonnière des prix des produits frais. A contrario, les prix de l’énergie, notamment ceux des produits pétroliers, se sont repliés en mars.

    Rebond des prix des produits manufacturés après les soldes d’hiver

     

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  • Hygiène bucco-dentaire : politique (12 04 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 mars 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121102860.html

     

    Question écrite n° 02860 de Mme Michelle Demessine (sénateur CRC du Nord)

    Mme Michelle Demessine attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la politique du Gouvernement en matière d'hygiène bucco-dentaire.

    En effet, dans un rapport en date de juillet 2010, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) indique que « les pathologies dentaires non soignées entraînent des conséquences sanitaires collectives : pathologies générales aggravées, difficultés d'insertion, problèmes esthétiques d'où perte d'image de soi et relations sociales difficiles, dégradation de l'état général des personnes âgées dépendantes ». 

    L'IGAS pointe du doigt « un retard français en matière de prévention et d'hygiène bucco-dentaire flagrant malgré les actions menées par l'assurance maladie et les chirurgiens-dentistes ». Elle souligne « qu'il existe des gains de santé potentiels importants dans l'amélioration du comportement des personnes en matière d'hygiène bucco-dentaire ». 

    Elle souhaiterait donc savoir quelles mesures entend prendre le Gouvernement pour que l'État s'investisse pleinement dans une politique d'hygiène bucco-dentaire.

    Réponse du <ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO Sénat du 14 03 2013, p. 868

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  • Economie France : ventes en janvier 2013 (11 04 2013)

    Note d’analyse (hors tableaux et graphiques) publiée le 3 avril 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=94&date=20130403.html

    En janvier 2013, le volume des ventes diminue dans le commerce et réparation d’automobiles et motocycles, l’hébergement et restauration et les services aux ménages

    Avertissement : à partir de la campagne de janvier 2013, les indices de chiffre d’affaires et de volume des ventes sont calculés en base et référence 100 en 2010.

    Les indices commentés dans ce numéro d’Informations Rapides sont corrigés des variations saisonnières et des effets de calendrier (CVS-CJO). Hormis les indices issus de l’enquête Emagsa, ils sont « en volume », c'est-à-dire calculés en éliminant l'impact des variations de prix.

    En janvier 2013, le volume des ventes diminue par rapport au mois précédent dans le commerce et réparation d’automobiles et de motocycles (–1,6 %), l’hébergement et restauration (–1,6 %) et les services aux ménages (–1,0 %). À l’inverse, il progresse très légèrement dans le commerce de détail hors automobiles et motocycles (+0,2 %).

    Légère hausse du commerce de détail hors automobiles et motocycles

     

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