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société, cadre de vie - Page 454

  • Transports et développement durable : brèves n°32 (09 03 2013)

    (Relevé publié dans ce blog, le 9 ou 10 de chaque mois depuis septembre 2010)

    Panorama inédit n° 63 (28 12 2012) réalisé par Mme Christine Raynard, chargée de mission au Département Développement Durable (DDD) du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/panorama-des-transports-n%C2%B0-63.html

    Panorama inédit du Centre d'analyse stratégique sur les transports (décembre 2012)

    1) A Amsterdam, la société Hopper propose un service de scooters-taxis électriques, en partenariat avec la municipalité et le ministère de l’Environnement.

    Une centaine de deux-roues couleur vert fluo de moins de 50 cm3 et d’une autonomie de 130 kilomètres sont proposés. Aux Pays-Bas, le port du casque n’est pas obligatoire pour ce type de cylindrées, ce qui facilite le travail des chauffeurs qui n’ont donc pas à imposer le casque à leurs clients, avec de plus le problème du réglage en fonction du tour de tête.

    Le prix d’une course s’élève à 2,50 euros, quelle que soit la durée du trajet et la distance parcourue. Ce prix très bas s’explique par la pose de quatre tablettes numériques sur le « top case » destinées à la diffusion de publicités. Un GPS permet aux annonceurs de visualiser à quel endroit du parcours leurs annonces ont été vues par les passants.
    Ce mode de transport urbain permet de réduire les émissions polluantes et les nuisances sonores dans la capitale hollandaise.
     

    2) La société belge WeWatt, en partenariat avec SNCF Gares & Connexions, expérimente depuis début décembre le « WeBike » en gare de Paris-Montparnasse.

    WeBike est la combinaison d’un bureau et d’un vélo d’appartement. Il se présente comme une table haute équipée de sièges et de pédales. Il permet à son utilisateur de créer sa propre énergie pour recharger son téléphone portable, ordinateur ou tablette, tout en faisant du sport avant de prendre son train.

    Selon WeWatt, une personne peut générer jusqu’à 30 watts d’électricité en pédalant normalement. Un générateur transforme cette énergie, pouvant fournir 220 volts à la sortie.
    Ce système est expérimenté à Paris-Montparnasse pendant six mois. Six appareils en libre-service, situés près des guichets de vente sont à disposition des clients. Ce nouveau service pourra être déployé dans d’autres gares françaises si le succès est au rendez-vous.

    3) Dans le cadre du Plan Climat, un projet vient d'être déposé pour couvrir une partie du périphérique parisien d’un toit de panneaux solaires. Une telle structure présenterait plusieurs avantages. Elle permettrait :

    ·    de réduire les nuisances sonores qui touchent quotidiennement près de 100.000 riverains, selon Bruitparif, observatoire du bruit en Ile-de-France ;

    ·    d’augmenter la part d'énergies renouvelables dans la consommation énergétique globale du territoire parisien ;

    et enfin de financer le projet grâce à la revente de l'énergie produite par les panneaux solaires.

  • Prise en charge de personnes âgées dépendantes (08 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120701039.html

    Question écrite n° 01039 de M. Bernard Piras (Drôme - SOC)

    M. Bernard Piras attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur la prise en charge des personnes âgées dépendantes.

     

    En effet, il s'avère que notre pays est particulièrement déficitaire et en retard dans ce domaine que ce soit en termes de structures d'accueil, de formation du personnel soignant, ou en matière de quotas de personnel par établissement.

    Cette situation conduit à une prise en charge de mauvaise qualité dans certaines structures, et à la constitution de longues listes d'attente faute d'établissement pouvant accueillir.

    Dans le même temps, de nombreux projets sont en attente faute de financement de l'État. 

    Il lui demande de lui indiquer les mesures qu'elle entend prendre pour remédier à tous ces dysfonctionnements.

    Réponse du Ministère chargé des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 21/02/2013 – p. 620

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  • Enquête Retraités (05 03 2013)

    Nous relayons volontiers cet appel à participer à une enquête chez les retraités de plus de 60 ans publié dans le bulletin mensuel AU FIL DES JOURS n°77 du 1er mars 2013, bulletin interne d'informations commun à la Fédération Nationale des Associations de Retraités  FNAR  et à l'Union Française des Retraités UFR (cliquer ici pour accéder au site de la FNAR)

    http://www.fnar.info/.html

    Voici le lien pour accéder directement au questionnaire si vous le souhaitez :

    https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGRKWlU4NnZVbkplalJOWkZQY3VlQnc6MQ

     

    AVEZ-VOUS CINQ MINUTES ?

    Dans le cadre de l’année Européenne sur le vieillissement actif et en bonne santé, ILC-France (International Longevity Centre- France) lance un projet de recherche sur la vie des retraités de plus de  60 ans en France. Les données recueillies seront comparées à celles de 14 pays dans le monde. Il est très important d’y participer nombreux. 1000 réponses, une utopie ? Participez tous à cette recherche. Il suffit de répondre à un questionnaire anonyme qui prend 5 minutes.  

    Le questionnaire est en ligne sur le site d’ILC-France (www.ilcfrance.org). Il vous suffira de cliquer sur le lien que vous trouverez en première page du site, rubrique « Actualités » sans avoir besoin de le recopier. Un grand merci de nous accompagner dans cette recherche qui peut nous apporter des arguments fabuleux pour faire de cette période une nouvelle aventure.

    Voici le lien pour accéder directement au questionnaire si vous le souhaitez :

    https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGRKWlU4NnZVbkplalJOWkZQY3VlQnc6MQ

    Professeur Françoise Forette, Docteur Marie-Anne Brieu

    ILC-France, 49 rue Mirabeau 75016 Paris - info@ilcfrance.org  - tél : 01 55 74 67 09

  • Filière Viande (04 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020107G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0107G de M. Jean-Jacques Mirassou (sénateur socialiste de la Haute-Garonne)

    M. Jean-Jacques Mirassou. Ma question s'adresse à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt et concerne le dossier de la fraude à la viande, qui inquiète à juste titre nos compatriotes dans le contexte d'un fort emballement médiatique. 

    Je tiens d'abord à souligner et à saluer le fait que le Gouvernement a agi, tout particulièrement les ministres concernés, MM. Le Foll, Hamon et Garot, dans le cadre de leurs prérogatives respectives, avec rapidité, fermeté, discernement et transparence. (Applaudissements sur les travées du groupe socialiste et du groupe écologiste.) C'était indispensable pour démontrer au consommateur que sa confiance dans les pouvoirs publics français est pleinement justifiée.

    Parallèlement, il faut constater que les méandres européens empruntés par les viandes transformées sont extrêmement complexes. Ce dossier démontre, parce qu'il y a eu manifestement rupture de traçabilité, que les dispositifs de contrôle sont à améliorer. Il est absolument indispensable que le consommateur, dernier maillon de la chaîne, sache ce qu'il y a dans son assiette.

    Plus localement, il était également impératif de rassurer les salariés de la société Spanghero, la population de Castelnaudary, les élus locaux concernés et les parlementaires de l'Aude, et de répondre à leurs interrogations sur la pérennité des emplois de la société visée. De ce point de vue, la suspension de l'agrément, qui n'a pas dépassé quatre jours, était pleinement justifiée et s'inscrivait dans cette logique.

    Les enquêtes sanitaires, administratives et vétérinaires permettront quant à elles de savoir ce qui s'est passé, d'en tirer les conséquences et de prendre des sanctions contre les auteurs de cette fraude.

    Plus généralement, cette affaire s'inscrit dans le cadre d'un commerce alimentaire qui s'est lancé dans une recherche frénétique du profit et où des produits de base de l'alimentation humaine sont désignés par le terme tristement révélateur de « minerai ». C'est ainsi que, en six mois, la vente de 750 tonnes de viande de cheval à la place de viande de bœuf aurait dégagé un surprofit de 550 000 euros !

    Beaucoup reste donc à faire pour parvenir à une solution satisfaisante permettant de garantir non seulement les intérêts des salariés de la filière, mais aussi et surtout ceux des consommateurs. 

    Monsieur le ministre, pouvez-vous faire le point sur l'actualité de ce dossier compliqué, dont l'évolution est très rapide ? Quelles sont les pistes de travail que vous entendez privilégier pour qu'une telle affaire ne se reproduise pas ?

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 22/02/2013 p. 1482

     

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  • Permanence des soins : organisation en Meuse (02 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623701.html

    Question écrite n° 23701 de M. Christian Namy (Meuse - UCR)

    M. Christian Namy attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nouvelle organisation de la permanence des soins en Meuse, menée par l'agence régionale de santé (ARS) de Lorraine, qui suscite colère et indignation auprès des médecins.

    Ainsi, le 16 avril 2012 a été mise en place la nouvelle sectorisation dans le cadre de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), l'ARS faisant fi des propositions du CDOM 55 (Conseil départemental de l'ordre des médecins) proposant de confier la nuit profonde aux services d'urgence comme dans 50 % des départements.

    Jusqu'alors divisée en dix-neuf secteurs géographiques de garde de nuit (de minuit à 7 h 30), la Meuse, département rural de 152 généralistes dont l'âge moyen est de 52 ans, n'en compte plus aujourd'hui que sept ; l'augmentation de la taille des secteurs conduit inévitablement à un accroissement de la distance d'accès aux soins et/ou des délais d'intervention (des déplacements pouvant aller au-delà de 100 km aller-retour avec un risque d'accidents sur les routes de campagne), à une efficience diminuée, sans coordination avec les pharmacies, à une qualité des soins dégradée.

    En outre, cette nouvelle organisation, provoquant l'explosion des demandes d'exemption de garde pour raison d'âge ou pour raisons médicales, aggrave la désertification médicale de notre département rural à la fois en décourageant d'éventuelles installations mais aussi en poussant les médecins installés à cesser leur activité de garde, et même libérale pour certains.

    Enfin, dans le cadre de cette nouvelle sectorisation, les praticiens déplorent le non-respect du « volontariat et du non-volontariat », base sur laquelle sont fondées la permanence des soins libérale et les réquisitions par le préfet. Par conséquent, il lui demande quelles sont ses intentions pour remédier à cette situation qui ne peut perdurer.

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO du Sénat du 17 janvier 2013, p. 134

     

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  • Economie Française : climat (février 2013) (28 02 2013)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 20 février 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=105&date=20130220.html

    Le climat des affaires en France reste défavorable en février 2013

    Indicateurs de climat des affaires et de retournement conjoncturel – Février 2013

    Le climat des affaires reste dégradé…

    L’indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, est stable en février et s’établit à 87 points. Il est nettement en dessous de sa moyenne de longue période (100). Les indicateurs sectoriels restent également à des niveaux bas en février. L’indicateur du climat des affaires dans l’industrie gagne trois points, tandis que dans les services, l’indicateur synthétique retrouve son niveau de novembre après une hausse en janvier. Les indicateurs du climat des affaires dans le bâtiment et le commerce de détail sont quasi stables.

    … dans une dynamique encore défavorable

    L'indicateur de retournement calculé au niveau France reste en zone défavorable.