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statistiques, démographie - Page 106

  • Listes électorales : nombre d’inscrits 2007-2012 (17 03 2012)

    Extraits (hors tableaux) d’une note publiée le 16 mars 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/detail.asp?reg_id=99&ref_id=elecreg.html

    Les inscriptions sur les listes électorales 2011

    Mise à jour : 16 mars 2012

    Le nombre total d'inscrits sur les listes électorales en France est passé, entre mars 2007 et mars 2012, de 42,9 à 44,3 millions, soit une augmentation de 1,4 million en 5 ans. Cette croissance du nombre des inscrits est un peu supérieure à celle de la population de 18 ans et plus de nationalité française vivant en France, que l'on estime à 1,2 million sur la même période, sur la base des enquêtes annuelles de recensement.

    Au cours de l'année 2011, 4 528 000 personnes se sont inscrites sur les listes électorales communales en France: il s'agit de personnes qui s'inscrivent pour la première fois ou bien de réinscriptions, le plus souvent suite à un déménagement. Ce chiffre est très supérieur à celui de l'année 2010 (1 676 000), ce qui s'explique par l'approche des élections présidentielles et législatives du printemps 2012.

    Sur ces 4,5 millions d'électeurs, 1 128 000 n'avaient jamais été inscrits sur les listes électorales. Parmi eux, on estime à environ 714 000 les inscriptions suite à la procédure d'inscription automatique des jeunes de 18 ans et à 414 000 les autres primo inscriptions (contre 142 000 en 2010 pour les primo inscriptions non automatiques).

    Lors de la mise à jour des listes électorales qui avait précédé les élections du printemps 2007, le nombre de mouvements observés sur les listes avait été légèrement plus élevé : 4,8 millions d'inscriptions. Mais les contextes de 2007 et de 2012 sont différents.

    D'une part, les nombreuses personnes qui, à l'automne 2006, se sont inscrites pour la première fois sur les listes électorales (plus de 800 000, hors procédure d'inscription d'office) n'ont pas eu à renouveler cette inscription cette année : elles figurent toujours sur les listes électorales.

    D'autre part, il n'y avait eu aucune élection au cours des années 2005 et 2006, alors qu'il y a eu des élections en 2010 (régionales) et en 2011 (cantonales). Or, bien souvent, les personnes qui déménagent ne s'inscrivent dans leur nouvelle commune de résidence que durant l'automne précédent un scrutin. Ceci explique que les inscriptions ont été plus étalées sur les années 2009 à 2011 qu'elles ne l'avaient été de 2004 à 2006 et donc que les inscriptions avant les élections présidentielles et législatives en 2007 avaient été plus concentrées en 2006.

  • Industrie : indice des prix (janvier 2012) (08 03 2012)

    Note d’analyse (hors graphiques et tableaux) publiée le 27 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=25&date=20120227.html

    Renchérissement des prix sur l’ensemble des marchés

    Indices de prix de production de l’industrie française

    MARCHÉ FRANÇAIS : +0,6 % en janvier

    En janvier, les prix de production de l’industrie française croissent de 0,6 % sur le marché français, après une quasi-stabilité en décembre (-0,1 %), sur un rythme comparable aux mois d’octobre et novembre (respectivement +0,5 % et +0,4 %). L’augmentation des produits pétroliers est toujours la cause principale de ce renchérissement des prix.

    Les prix des produits du raffinage se redressent

    Le prix du pétrole de la mer du Nord (Brent) se redresse en janvier de 3,4 % en dollars et de 5,2 % en euros du fait de la dépréciation de la monnaie européenne. La progression des prix des produits pétroliers est vive : +9,5 % pour le super sans plomb, +4,2 % pour le gazole et +4,7 % pour le fioul domestique.

    Les prix des denrées alimentaires sont stables

    Les prix des denrées alimentaires sont stables pour le troisième mois consécutif. Les prix de l’industrie de la viande fléchissent dans la viande de boucherie (-2,8 %) et dans la viande de volaille (-1,5 %), tandis que les prix de la confiserie et du chocolat augmentent sensiblement (+4,9 %), tirés par le cours du cacao.

    La croissance des prix des « autres produits industriels » est modérée.

    L’augmentation des prix des « autres produits industriels » (+0,3 %) fait suite à deux mois de stabilité (-0,1 % et 0,0 % respectivement en novembre et décembre). Les prix des produits du verre (+1,1 %), du ciment et du plâtre (+3,3 %) et des ouvrages en béton (+2,1 %) ont été modifiés à la hausse en début d’année, après plusieurs mois de stabilité.

    MARCHÉS EXTÉRIEURS : +0,6 % en janvier

    Les prix des produits industriels destinés aux marchés extérieurs croissent de 0,6 %. Cette évolution rompt avec une quasi-stabilité depuis avril 2011. La vive progression des prix des produits du raffinage (+8,8 %) contribue plus à ce redressement, mais les prix de l’industrie textile (+1,6 %) et ceux des produits pharmaceutiques (+1,7 %) augmentent également.

    ENSEMBLE DES MARCHÉS : +0,6 % en janvier

    Pour l’ensemble des marchés, la hausse est de 0,6 % et de 3,5 % sur un an.

    Indices de prix d’importation des produits industriels : +1,2 % en janvier

    Les prix d’achat à l’importation des produits industriels se redressent nettement en janvier (+1,2 %), après une légère baisse en décembre (-0,2 %). Cette hausse, principalement imputable au renchérissement des achats de produits énergétiques, s’inscrit également dans un contexte de dépréciation de la monnaie européenne par rapport au dollar.

  • Fracture du col du fémur : prise en charge 1998-2009 (2/2) (07 03 2012)

    Suite des Extraits du Rapport de Philippe OBERLIN et Marie-Claude MOUQUET, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé publié dans la brochure Etudes et Résultats n°774 du 30 septembre 2011 (cliquer ci-dessous pour accéder au site de la DREES ou au texte complet pdf du rapport)

     

    http://www.sante.gouv.fr/no-774-les-modalites-de-prise-en-charge-des-fractures-du-col-du-femur-en-france-de-1998-a-2009.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er774.pdf

    Les modalités de prise en charge des fractures du col du fémur en France de 1998 à 2009

    ENCADRE n°1 Base nationale PMSI-MCO et fractures de l’extrémité supérieure du fémur (FESF)

    ENCADRE n°2 La prise en charge thérapeutique des FESF

    ENCADRE n°3 Les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS) dans le traitement des FESF

     

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  • Fracture du col du fémur : prise en charge 1998-2009 (1/2) (06 03 2012)

    Extraits du Rapport de Philippe OBERLIN et Marie-Claude MOUQUET, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé publié dans la brochure Etudes et Résultats n°774 du 30 septembre 2011 (cliquer ici pour accéder au site de la DREES ou au texte complet pdf du rapport)

     

    http://www.sante.gouv.fr/no-774-les-modalites-de-prise-en-charge-des-fractures-du-col-du-femur-en-france-de-1998-a-2009.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er774.pdf

    Les modalités de prise en charge des fractures du col du fémur en France de 1998 à 2009

     

    Synthèse

     

    En 2009, les 79 200 fractures de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) ont été traitées essentiellement dans des hôpitaux publics et la part de ceux-ci a régulièrement augmenté depuis 1998. Cela est vraisemblablement dû au fait qu’il s’agit d’une pathologie d’urgence à durée de séjour relativement longue, les caractéristiques démographiques des patients étant par ailleurs sensiblement les mêmes dans tous les types d’établissements.

    En 2009, 36 % des FESF ont été classées en fractures trochantériennes et 64 % en fractures cervicales ou de localisation non précisée. Un patient sur deux a eu une ostéosynthèse et deux sur cinq une prothèse.

    Les recommandations de traitement de la Haute Autorité de santé (HAS) semblent globalement suivies. En effet, en 2009, les patients victimes d’une fracture trochantérienne ont été traités près de neuf fois sur dix par ostéosynthèse. Pour les fractures cervicales ou non précisées, six patients sur dix ont eu une prothèse, le plus souvent céphalique. Néanmoins, la probabilité de mise en place d’une prothèse totale de hanche est, toutes choses égales par ailleurs, plus élevée pour les patients hospitalisés dans le secteur privé à but lucratif, et ceci quelle que soit la localisation de la fracture. Les pratiques diffèrent aussi selon les régions.

     .../…

    Des établissements publics prépondérants pour la prise en charge

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  • Confiance des ménages (février 2012) (02 03 2012)

    Note d’analyse (hors tableaux et graphiques) publiée le 24 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=20&date=20120224.html

    En février 2012, la confiance des ménages est stable

    En février 2012, la confiance des ménages est stable : l’indicateur qui la synthétise gagne un point par rapport à janvier. Il reste nettement inférieur à sa moyenne de longue période.

    Situation personnelle

    Situation financière : des perspectives plus favorables

    En février, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée recule de 2 points. En revanche, celle sur leur situation financière personnelle future progresse de 2 points, tout en demeurant inférieure à sa moyenne de longue période. Les ménages sont également plus nombreux qu’en janvier à considérer comme opportun de faire des achats importants (+5 points).

    Capacité d’épargne : en légère hausse

    L’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne actuelle reste stable en février, leur opinion sur leur capacité à épargner dans les mois à venir augmente légèrement (+2 points).

    Les ménages sont plus nombreux qu’en janvier à estimer que le moment est favorable pour épargner : le solde correspondant gagne 3 points et dépasse ainsi sa moyenne de longue période.

    Contexte économique en France

    Niveau de vie en France : des anticipations moins pessimistes

    En février, l’opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France repart à la baisse (–2 points). En revanche, les perspectives d’évolution du niveau de vie continuent de progresser : +4 points en février, soit +10 points depuis son plus bas niveau atteint en novembre. Ces soldes restent inférieurs à leur moyenne de longue période.

    Chômage : des anticipations quasi stables

    En février, les ménages sont quasiment aussi nombreux qu’en janvier à anticiper une augmentation du chômage. Le solde correspondant perd 1 point, demeurant nettement au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Inflation perçue : en hausse

    En février, les ménages sont plus nombreux qu’en janvier à estimer que l’inflation passée a augmenté (+2 points). Leur opinion en matière d’inflation future est également en hausse (+2 points).

  • Croissance du PIB : 4e trimestre 2011 (21 02 2012)

    Note d'analyse publiée le 15 février 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=26&date=20120215.html

    Au quatrième trimestre 2011 le PIB progresse de 0,2 %, ce qui porte sa croissance annuelle à 1,7 %

    Comptes nationaux trimestriels - Premiers résultats du 4e trimestre 2011

    Au quatrième trimestre 2011, le PIB en volume* croît de 0,2 % après +0,3 % au troisième trimestre. En moyenne annuelle, la croissance est de 1,7 % en 2011, après +1,4 % en 2010.

    Les dépenses de consommation des ménages ralentissent légèrement en fin d’année (+0,2 % après +0,3 %), tandis que la formation brute de capital fixe (FBCF) accélère (+0,9 % après +0,2 %). Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) contribue de nouveau positivement à la croissance du PIB : +0,3 point après +0,2 point. Les exportations augmentent au même rythme qu’à l’été (+1,2 %) alors que les importations reculent (-1,2 % après +0,7 %). Par conséquent, le solde du commerce extérieur contribue positivement à la croissance : +0,7 point après +0,1 point. Cet effet est plus que compensé par les variations de stocks qui contribuent pour -0,8 point à l’évolution de l’activité, après une contribution neutre.

    La production totale accélère légèrement

    La hausse de la production de biens et services est un peu plus marquée qu’au trimestre précédent (+0,4 % après +0,3 %). La production rebondit notamment dans la fabrication de matériels de transport (+4,6 % après –2,1 %), principalement aéronautiques, et en cokéfaction-raffinage (+3,9 % après –1,5 %). En revanche la production recule dans les autres branches manufacturières et dans l’énergie-eau-déchets. En moyenne sur l’année, la production totale progresse de 2,2 % (après +1,6 % en 2010).

    L’investissement accélère 

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