Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note détaillée de Rosalinda Coppoletta-Solotareff, Aline Ferrante, Maud Romani, division Revenus et Patrimoine des ménages, Insee publiée le 5 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE) http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1574.html Le patrimoine des ménages début 2015 - Repli des valeurs risquées au profit des produits sécurisés
statistiques, démographie - Page 66
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Ménages : patrimoine 2015 (2/3) (12 11 2015)
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Ménages : patrimoine 2015 (1/3) (11 11 2015=
Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note détaillée de Rosalinda Coppoletta-Solotareff, Aline Ferrante, Maud Romani, division Revenus et Patrimoine des ménages, Insee publiée le 5 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE)
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1574.html
Le patrimoine des ménages début 2015 - Repli des valeurs risquées au profit des produits sécurisés
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Climat des affaires (commerce, réparation auto) : octobre 2015 (27 10 2015)
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20151022.html
En octobre 2015, le climat des affaires est au plus haut depuis 7 ans dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles
Selon les chefs d'entreprise interrogés en octobre 2015, le climat des affaires est de plus en plus favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L'indicateur qui le synthétise augmente d'un point et se situe à 110, niveau qu'il n'avait plus atteint depuis début 2008. Il est désormais nettement supérieur à sa moyenne de long terme (100).
Une activité passée et prévue jugée bien orientée
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Transport routier : statistiques 2014 (10 09 2015)
http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/transport-routier-circulation-accidents-emissions-polluants-2014.html?xtor=EPR-56.html
Dans l’édition 2014 des comptes des transports, publiée en août 2015, le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie retrace notamment l’évolution récente du trafic routier et de ses impacts (accidents corporels, émissions de gaz à effet de serre).
En 2014, la circulation routière a augmenté à un rythme un peu plus élevé que sa moyenne annuelle depuis 2008 (+0,8%, contre +0,5%). La circulation des voitures particulières (75% de la circulation totale) a augmenté de 1%, celle des véhicules utilitaires légers de 0,6%, sans doute en lien avec le développement du commerce électronique et des services aux personnes. La circulation des véhicules lourds a de nouveau baissé (-1,1%) malgré une augmentation de la circulation des bus et des poids lourds étrangers. Le pavillon français enregistre une baisse de -4,5%.
Pour la première fois depuis 2001, le nombre de tués sur les routes de France métropolitaine a cessé de diminuer. Avec 3 384 tués, la mortalité repart à la hausse (+3,5%), après une très forte baisse en 2013 (-10,5%). Les piétons et les cyclistes sont les usagers pour lesquels la mortalité ne diminue pas depuis 2010.
En dépit de la hausse de la circulation routière, les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont continué à baisser. La consommation d’énergie dans le transport routier (voyageurs ou marchandises) est restée quasi stable (0,1%) du fait de l’amélioration des performances des moteurs, et de la "diésélisation" du parc de voitures particulières (62,2% du parc) qui s’est poursuivie à un rythme ralenti en 2014. La diésélisation du parc pousse à la hausse les émissions de particules (PM10) et des oxydes d’azote (NOx), mais elle a largement contribué à la baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) depuis 20 ans. La croissance du taux d’incorporation des agro-carburants en 2014 (+0,8 point) a aussi participé à la baisse des émissions de GES.
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Démographie : la population de l’Union européenne en 2015 (25 08 2015)
L’Office statistique de l’Union européenne, Eurostat, a récemment publié les chiffres estimés de la population de l’Union européenne (UE) en 2015.
Selon cette étude, la population de l’UE est estimée à 508,2 millions de résidents au 1er janvier 2015. L’Allemagne (81,2 millions de résidents), la France (66,4 millions), le Royaume-Uni (64,8 millions) et l’Italie (60,8 millions) sont les États membres les plus peuplés de l’UE. Ensemble, ils réunissent plus de la moitié de la population de l’UE (53,8%), représentant respectivement 16%, 13,1%, 12,7% et 12% des résidents de l’UE.
Entre le 1er janvier 2014 et le 1er janvier 2015, la population de l’UE a augmenté d’un peu plus d’un million de personnes, passant de 506,9 millions à 508,2 millions. Cette hausse s’explique par l’accroissement naturel de la population (+200 000 personnes) et le solde migratoire.
Au cours de cette période, la population a augmenté dans 16 États membres de l’UE et diminué dans 12 autres. La plus forte croissance démographique a été observée au Luxembourg (+23,9 pour 1 000 résidents), loin devant la Suède (+10,6‰), Malte (+9,3‰), l’Autriche (+9,1‰) et le Danemark (+7,5‰). À l’opposé, les plus fortes baisses ont été enregistrées à Chypre (-12,9‰), en Grèce (-8,4‰), en Lettonie (-7,7‰) et en Lituanie (-7,6‰)
Source EUROSTAT :
http://ec.europa.eu/eurostat/web/products-press-releases/-/3-10072015-AP.html
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Stabilité du PIB au 2e trimestre 2015 (20 08 2015)
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=26&date=20150814.html
Comptes nationaux trimestriels - Premiers résultats du 2e trimestre 2015
Au deuxième trimestre 2015, le PIB en volume est stable : 0,0 %, après +0,7 % au premier trimestre.
Les dépenses de consommation des ménages ralentissent fortement (+0,1 % après +0,9 %) tandis que leur formation brute de capital fixe fléchit de nouveau (–1,6 % après –1,1 %). L'investissement des entreprises et des administrations publiques ralentit également. Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) décélère fortement : elle contribue à l’évolution du PIB pour +0,1 point au deuxième trimestre 2015 (après +0,6 point début 2015).
Les importations ralentissent (+0,6 % après +2,2 %), tandis que les exportations accélèrent (+1,7 % après +1,3 %). In fine, le solde extérieur contribue positivement à l’évolution du PIB (+0,3 point, après –0,3 point). À l’inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (–0,4 point, après +0,3 point le trimestre précédent).
La production totale est quasi stable
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