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statistiques, démographie - Page 68

  • Chômage : évolution 2008-2014 selon régions (19 11 2015)

    Nous proposons cette synthèse d’une analyse de l’INSEE sur l’évolution du chômage entre 2008 et 2014 dans les 13 nouvelles régions françaises publiée le 4 novembre 2015 sur le site Vie-Publique (cliquer ci-dessous pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/nouvelles-regions-fortes-disparites-evolution-du-chomage-20151104.html?xtor=EPR-56.html

    Nouvelles régions : de fortes disparités dans l’évolution du chômage

    Comment évolue le taux de chômage, depuis la crise financière de 2008, dans les territoires qui formeront les 13 nouvelles régions métropolitaines à compter du 1er janvier 2016 ? C’est à cette question que répond l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans une étude de novembre 2015.

    Entre 2008 et 2014, le taux de chômage en France métropolitaine a augmenté de 2,8 points, passant de 7,1% à 9,9%. Toutes les régions ont enregistré une hausse du chômage, mais selon des rythmes différents :

    • En Île-de-France, Auvergne Rhône-Alpes et Bourgogne Franche-Comté, le taux de chômage (6,5%) était inférieur à la moyenne en 2008, et la hausse constatée (environ + 2,5 points) a été plus contenue que dans l’ensemble de la France métropolitaine.
    • En Alsace Champagne-Ardenne Lorraine, Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, Centre-Val de Loire, Bretagne et Pays de la Loire, le taux de chômage a augmenté légèrement plus que la moyenne, alors que la situation initiale était relativement favorable.
    • Dans les extrêmes Sud et Nord (Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse, Normandie et Nord-Pas-de-Calais Picardie), le taux de chômage, initialement supérieur à la moyenne, s’accroît plus fortement qu’en France métropolitaine.

    Depuis 2008, les jeunes (15-24 ans) ont été plus touchés par la montée du chômage (+ 5,1 points) que les autres tranches d’âge. En 2014, les disparités régionales sont très fortes : le taux de chômage des jeunes varie de 17,1% en Île-de-France à 31,8% en Nord-Pas-de-Calais Picardie. Les situations, déjà hétérogènes en 2008, ont évolué différemment selon les régions. En Auvergne Rhône-Alpes et en Île-de-France, le chômage des jeunes était relativement faible avant 2008 et la hausse demeure contenue (autour de 4 points). Aux extrêmes Nord et Sud-Est, partant d’une situation plutôt défavorable, l’augmentation est modérée. A contrario, dans cinq régions, le taux de chômage des jeunes s’accroît sensiblement (6 points ou plus). Il s’agit du Centre-Val de Loire, des Pays de la Loire, du Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, de la Corse et de l’Aquitaine Limousin Poitou-Charentes.

  • Economie : nouveaux indicateurs d’évaluation (17 11 2015)

    Nous proposons cette note d’information publiée le 29 octobre sur le site Vie-Publique (cliquer ci-dessous pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/situation-economie-evaluation-selon-nouveaux-indicateurs-20151029.html?xtor=EPR-56.html

    Economie française : une évaluation selon de nouveaux indicateurs

    Le gouvernement publie, pour la première fois en octobre 2015, un rapport dans lequel est évaluée la situation économique de la France en fonction de nouveaux indicateurs de richesse, différents des indicateurs classiques tels le Produit intérieur brut (PIB).

    Dix indicateurs sont retenus dans le rapport :

    taux d’emploi

    inégalités de revenus

    effort de recherche

    pauvreté en conditions de vie

    endettement (dette publique, dette des entreprises et des ménages)

    sorties précoces du système scolaire

    espérance de vie en bonne santé

    empreinte carbone

    satisfaction dans la vie

    artificialisation des sols

     

    Au-delà de la simple production de richesses, ces indicateurs sont censés mesurer l’impact des politiques publiques conduites par l’État sur la qualité de vie et le développement durable. Pour chaque indicateur, le rapport décrit son évolution récente et compare la position de la France à celle de ses partenaires européens. Par ailleurs, le rapport propose des évaluations, en fonction de ces indicateurs, pour six réformes en cours : le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) et le volet entreprises du Pacte de responsabilité et de solidarité, le volet ménages du Pacte et la création de la prime d’activité, le Plan très haut débit, le plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, la réforme du collège, la loi relative à la transition énergétique pour une croissance verte.

     

    Le rapport a été préparé en application de la loi du 13 avril 2015 visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse. Son article unique prévoit que, le premier mardi d’octobre de chaque année, le gouvernement remet au Parlement, un rapport présentant l’évolution, à moyen terme, d’indicateurs de qualité de vie et de développement durable, ainsi qu’une évaluation qualitative ou quantitative de l’impact des principales réformes engagées l’année précédente et envisagées pour l’année suivante.

  • Ménages : patrimoine 2015 (2/3) (12 11 2015)

    Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note détaillée de Rosalinda Coppoletta-Solotareff, Aline Ferrante, Maud Romani, division Revenus et Patrimoine des ménages, Insee publiée le 5 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE) http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1574.html Le patrimoine des ménages début 2015 - Repli des valeurs risquées au profit des produits sécurisés

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  • Ménages : patrimoine 2015 (1/3) (11 11 2015=

    Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note détaillée de Rosalinda Coppoletta-Solotareff, Aline Ferrante, Maud Romani, division Revenus et Patrimoine des ménages, Insee publiée le 5 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1574.html

    Le patrimoine des ménages début 2015 - Repli des valeurs risquées au profit des produits sécurisés

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  • Climat des affaires (commerce, réparation auto) : octobre 2015 (27 10 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 22 octobre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20151022.html

     En octobre 2015, le climat des affaires est au plus haut depuis 7 ans dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Selon les chefs d'entreprise interrogés en octobre 2015, le climat des affaires est de plus en plus favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L'indicateur qui le synthétise augmente d'un point et se situe à 110, niveau qu'il n'avait plus atteint depuis début 2008. Il est désormais nettement supérieur à sa moyenne de long terme (100).

    Une activité passée et prévue jugée bien orientée

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  • Transport routier : statistiques 2014 (10 09 2015)

    Note d’information publiée le 28 août 2015 sur le site Vie-Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/transport-routier-circulation-accidents-emissions-polluants-2014.html?xtor=EPR-56.html

    Dans l’édition 2014 des comptes des transports, publiée en août 2015, le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie retrace notamment l’évolution récente du trafic routier et de ses impacts (accidents corporels, émissions de gaz à effet de serre).

    En 2014, la circulation routière a augmenté à un rythme un peu plus élevé que sa moyenne annuelle depuis 2008 (+0,8%, contre +0,5%). La circulation des voitures particulières (75% de la circulation totale) a augmenté de 1%, celle des véhicules utilitaires légers de 0,6%, sans doute en lien avec le développement du commerce électronique et des services aux personnes. La circulation des véhicules lourds a de nouveau baissé (-1,1%) malgré une augmentation de la circulation des bus et des poids lourds étrangers. Le pavillon français enregistre une baisse de -4,5%.

    Pour la première fois depuis 2001, le nombre de tués sur les routes de France métropolitaine a cessé de diminuer. Avec 3 384 tués, la mortalité repart à la hausse (+3,5%), après une très forte baisse en 2013 (-10,5%). Les piétons et les cyclistes sont les usagers pour lesquels la mortalité ne diminue pas depuis 2010.

     

    En dépit de la hausse de la circulation routière, les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont continué à baisser. La consommation d’énergie dans le transport routier (voyageurs ou marchandises) est restée quasi stable (0,1%) du fait de l’amélioration des performances des moteurs, et de la "diésélisation" du parc de voitures particulières (62,2% du parc) qui s’est poursuivie à un rythme ralenti en 2014. La diésélisation du parc pousse à la hausse les émissions de particules (PM10) et des oxydes d’azote (NOx), mais elle a largement contribué à la baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) depuis 20 ans. La croissance du taux d’incorporation des agro-carburants en 2014 (+0,8 point) a aussi participé à la baisse des émissions de GES.