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statistiques, démographie - Page 68

  • Situation française : nouveaux indicateurs ? (2/2) (08 07 2015)

    Nous proposons sur deux jours des extraits (synthèse, introduction, conclusion) d’un rapport (de Vincent Aussilloux, Julia Charrié, Matthieu Jeanneney, David Marguerit et Adélaïde Ploux-Chillès) publié par France Stratégie dans sa Note d’analyse n° 32 de juin 2015 (cliquer ici pour accéder au texte pdf de la note)

    http://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/notes_danalyse_n32_-_24.06.pdf

    SYNTHESE

    INTRODUCTION

    …/…

    1ère partie : UNE DÉMARCHE CONSTRUITE EN CONCERTATION

    2ème partie : DIX THÈMES POUR MESURER LE PROGRÈS DE NOTRE SOCIÉTÉ

    CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS

    En France, la publication du rapport Stiglitz-Sen-Fitoussi a marqué une étape importante dans la reconnaissance que le progrès de la société ne pouvait plus se mesurer sous la seule dimension de la croissance économique. Une seconde étape vient d’être franchie en avril 2015 avec l’adoption par la représentation nationale d’un texte de loi relatif à la prise en compte de "nouveaux indicateurs de richesse".

     

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  • Situation française : nouveaux indicateurs ? (1/2) (07 07 2015)

    Nous proposons sur deux jours des extraits (synthèse, introduction, conclusion) d’un rapport (de Vincent Aussilloux, Julia Charrié, Matthieu Jeanneney, David Marguerit et Adélaïde Ploux-Chillès) publié par France Stratégie dans sa Note d’analyse n° 32 de juin 2015 (cliquer ici pour accéder au texte pdf de la note)

    http://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/notes_danalyse_n32_-_24.06.pdf

    SYNTHESE : Au-delà du PIB, un tableau de bord pour la France

     

    La plupart des économistes, des représentants de la société civile et le grand public s’accordent désormais pour reconnaître que la croissance du pays ne peut être mesurée ni à l’aune d’un seul indicateur, le produit intérieur brut, ni dans une seule dimension, la croissance de la production. La difficulté est que, s’il y a consensus pour refuser le PIB comme indicateur unique, il n’existe pas de soubassement théorique indiscutable pour construire l’alternative. Malgré les nombreuses initiatives tant locales qu’internationales, une approche différente de la mesure du progrès de notre société ne s’est pas encore imposée ni en France ni dans d’autres pays.

    C’est pourquoi France Stratégie et le Conseil économique, social et environnemental ont engagé une démarche conjointe pour construire en concertation une proposition de nouvelle métrique. Cette note est un point d’étape visant à rendre compte de cette démarche, de son accueil et de ses premiers résultats. Tout indicateur statistique est forcément imparfait puisqu’il ne peut traduire fidèlement toutes les dimensions de la réalité dont il prétend rendre compte. Par extension, une liste d’indicateurs est forcément perfectible et la combinaison des thèmes et des indicateurs relève de choix pour partie subjectifs, même si elle s’appuie sur des arguments rationnels. Une approche fondée sur un indicateur synthétique unique pour remplacer ou compléter le PIB, à l’instar de l’indice de développement humain (IDH) créé par le PNUD, présente des faiblesses évidentes qui ont conduit à privilégier ici une liste d’indicateurs, un pour chaque thème clé de la mesure du progrès.

    Ces indicateurs doivent être en nombre limité – dix au maximum – de manière à ce qu’ils puissent être repris dans le débat public et par là influencer les choix de politiques publiques.

    Tableau récapitulatif des thèmes et des indicateurs retenus :

     

    Thèmes

    Indicateurs

     

    Travail

    Taux d’emploi

    Economique

    Investissement

    Patrimoine productif

     

    Stabilité financière

    Dette publique et privée

     

    Santé

    Espérance de vie en bonne santé

    Social

    Qualité de vie

    Satisfaction à l’égard de la vie

     

    Inégalités

    Écarts de revenus

     

    Education

    Part des diplômés

     

    Climat

    Consommation carbone

    Environnemental

    Biodiversité

    Abondance des oiseaux

     

    Ressources naturelles

    Recyclage des déchets

     

    INTRODUCTION

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  • Climat des affaires : juin 2015 (30 06 2015)

    Note d’analyse économique publiée le 23 juin 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20150623.html

    En juin 2015, le climat des affaires reste favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Selon les chefs d’entreprise interrogés en juin 2015, le climat des affaires reste favorable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L’indicateur qui le synthétise est stable, supérieur à sa moyenne de long terme depuis le début de l’année.

    Une activité prévue supérieure à sa moyenne

    Un peu plus de chefs d’entreprise indiquent que leur activité a baissé, le solde correspondant revenant quasiment à son niveau moyen. Par secteur, la situation est contrastée : le solde est toujours très haut dans le commerce automobile, mais reste sous son niveau moyen dans le commerce de détail.

    Concernant leurs anticipations, les chefs d’entreprise sont dans l’expectative : le solde relatif aux ventes prévues se replie, ceux relatifs aux intentions de commandes et aux perspectives générales d’activité sont quasi stables. Néanmoins chacun des trois soldes reste au-dessus de sa moyenne de longue période.

    Les stocks se regarnissent, mais leur niveau est encore jugé inférieur à la normale.

    Les chefs d’entreprise sont moins nombreux qu’en mai à prévoir des baisses de prix au cours des prochains mois.

    L’opinion sur l’emploi est proche de son niveau moyen

    Chacun des deux soldes relatif à l’emploi passé et prévu est quasi inchangé, juste sous son niveau moyen.

    Commerce de détail : Une activité passée de nouveau jugée peu dynamique

    Dans le commerce généraliste, les détaillants sont plus nombreux qu’en mai à déclarer une baisse de leurs ventes passées, alors que dans le commerce spécialisé, ils sont moins nombreux. Cependant chacun des deux soldes reste inférieur à sa moyenne de long terme.

    Dans l’ensemble du commerce de détail, les anticipations sont un peu moins optimistes qu’en mai : chacun des deux soldes relatifs aux perspectives de ventes et aux intentions de commandes se replie légèrement, étant désormais proche de sa moyenne. Toutefois, dans le commerce spécialisé, le solde sur les intentions de commande se redresse et passe au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Que les détaillants soient généralistes ou spécialisés, ils sont moins nombreux à prévoir des baisses de prix pour les prochains mois.

    Commerce et réparation automobiles : une activité jugée encore bien orientée

    Selon les commerçants automobiles, l’activité passée est restée bien orientée : bien que le solde correspondant baisse un peu, il demeure très haut. Les anticipations restent optimistes : les deux soldes relatifs aux ventes prévues et aux intentions de commandes varient légèrement mais demeurent élevés.

    Les commerçants automobiles sont un peu plus nombreux qu’en mai à prévoir des hausses de prix sur les prochains mois.

     

    Les soldes relatifs à l’emploi passé et prévu fléchissent mais restent nettement au-dessus de leur moyenne.

  • Prix consommation : mai 2015 (18 06 2015)

    Note d’analyse publiée le 11 juin 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20150611.html

    Les prix à la consommation augmentent de 0,2 % en mai 2015  et de 0,3 % sur un an

    Indice des prix à la consommation – Mai 2015

    Évolution mensuelle : +0,2 % ; variation sur un an : +0,3 %

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  • Emplois en 2022 (11 06 2015)

    Note de synthèse publiée le 28 avril 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/emploi-quels-metiers-horizon-2022.html?xtor=EPR-56.html

    Emploi : quels métiers à l’horizon 2022 ?

    France Stratégie a remis le 28 avril 2015 au ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, les résultats d’une étude prospective sur le marché du travail intitulée "Les emplois en 2022".

    Entre 2012 et 2022, la croissance de la population active devrait se poursuivre à un rythme rapide (+1,2 million d’actifs) pour atteindre 29,5 millions de personnes en 2022. Sur la même période, 735 000 à 832 000 postes seraient à pourvoir par an en moyenne. En effet, 620 000 départs pour fin de carrière devraient être enregistrés chaque année (contre un peu plus de 400 000 sur la période 1993-2001), auxquels devraient s’ajouter de 115 000 à 212 000 créations nettes d’emploi selon le contexte économique.

    S’agissant des secteurs d’activité et des métiers, les tendances aujourd’hui à l’oeuvre devraient se confirmer :

    ·         La tertiarisation des emplois devrait continuer de s’appuyer sur une forte progression des métiers du commerce et des services de soins et d’aide aux personnes qui ferait plus que compenser la baisse des emplois administratifs dans la fonction publique et des emplois de secrétaires. Les métiers industriels se stabiliseraient ou reculeraient (pertes d’emplois moins fortes que par le passé parmi les ouvriers non qualifiés de l’industrie, et créations pour certains métiers d’ouvriers qualifiés). Les métiers agricoles poursuivraient leur repli.

    ·         Une relative polarisation de l’emploi vers les deux extrémités de l’échelle des qualifications devrait se poursuivre, au détriment des métiers intermédiaires. Ainsi, l’emploi devrait fortement progresser dans les métiers très qualifiés (principalement les métiers de cadres). La part des postes d’ouvriers et employés qualifiés devrait diminuer. Celle des postes d’ouvriers et employés devrait se stabiliser, la création d’emplois dans les métiers d’aide à la personne et de services (employés de l’hôtellerie-restauration, agents de gardiennage et de sécurité) compensant les destructions d’emplois d’ouvriers peu qualifiés.

     

    ·         Certains métiers, peu créateurs d’emplois, offriraient des postes à pourvoir en raison de nombreux départs en fin de carrière : les agents d’entretien, les aides à domicile, les enseignants, les aides-soignants et infirmiers, les cadres des services administratifs, comptables et financiers, les conducteurs de véhicules et les vendeurs.

  • Commerce de détail et hôtellerie : vente en baisse (mars 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 29 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=94&date=20150529.html

    En mars 2015, le volume des ventes diminue dans le commerce de détail et dans l’hébergement-restauration

    Les indices commentés dans ce numéro d’Informations Rapides sont corrigés des variations saisonnières et des effets de calendrier (CVS-CJO). Hormis les indices issus de l’enquête Emagsa, ils sont « en volume » (hors taxes) c'est-à-dire calculés en éliminant l'impact des variations de prix. Le commentaire présente les évolutions des sous-secteurs par contribution décroissante. La contribution d’un sous-secteur prend en compte son poids et l’ampleur de son évolution.

    En mars 2015, le volume des ventes diminue dans le commerce de détail hors automobiles et motocycles (–0,7 %) et dans l’hébergement et restauration (–2,2 %). À l’inverse, il progresse dans le commerce et réparation d’automobiles et de motocycles (+0,7 %) et, plus légèrement, dans les services aux ménages (+0,2 %).

    Repli du commerce de détail hors automobiles et motocycles

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