Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

statistiques, démographie - Page 69

  • Immobilier : prix des logements anciens (1er T. 2015) (04 06 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 28 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=96&date=20150528.html

    Les prix des logements anciens arrêtent de diminuer au 1er trimestre 2015, mais restent en baisse sur un an (–1,9 %)

    Indices Notaires-Insee des prix des logements anciens – Premier trimestre 2015

    Au premier trimestre 2015, les prix des logements anciens se redressent légèrement (+0,3 % par rapport au trimestre précédent en données provisoires corrigées des variations saisonnières, après –1,3 %). Ce léger rebond est dû à celui des prix des maisons (+0,6 %, après -1,6 %). Les prix des appartements, eux, baissent de nouveau, quoique plus modérément que fin 2014 (-0,2 % après –0,8 %).

    Sur un an, les prix des logements anciens continuent de baisser d’environ 2 %, suivant leur tendance depuis fin 2012 : –1,9 % au premier trimestre 2015 comparé au même trimestre de 2014, après –2,5 % au quatrième trimestre 2014. Cette baisse est plus importante pour les appartements (–2,5 % sur un an) que pour les maisons (-1,5 %).

    La baisse continue en Île-de-France

    En Île-de-France, la baisse des prix des logements anciens se poursuit à un rythme proche de celui observé depuis deux ans : –0,4 % sur le trimestre, –2,1 % sur un an.

    Légère hausse en province

    En province, les prix augmentent légèrement au premier trimestre 2015 (+0,6 %), après une forte baisse au quatrième trimestre 2014 (–1,5 %). Cette hausse concerne les maisons (+0,7 %) et les appartements (+0,4 %).

    Sur un an, les prix restent cependant orientés à la baisse (–1,8 % au total en province). Cette baisse est plus marquée pour les appartements (–2,4 %) que pour les maisons (–1,5 %).

    Le volume annuel de transactions se stabilise au premier trimestre 2015

    Après avoir baissé depuis juin 2014, le volume annuel de transactions se stabilise au premier trimestre 2015 : en mars, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois est estimé à 698 000, contre 691 000 en décembre 2014.

    Ce chiffre reste inférieur au nombre de transactions cumulées sur un an en mars 2014 (732 000, soit –4,6 %).

    Révisions 

     

    L’indice est révisé pour prendre en compte les transactions des périodes couvertes qui n'avaient pas encore été enregistrées lors la publication précédente.

  • Confiance des ménages : mai 2015 (02 06 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques d’une note d’analyse publiée le 27 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=20&date=20150527.html

    En mai 2015, la confiance des ménages se replie légèrement (-1 point)

    En mai 2015, la confiance des ménages est en léger repli ; après avoir progressé de 8 points entre octobre 2014 et avril 2015, l’indicateur qui la synthétise perd 1 point pour se situer à 93 en mai 2015. Il reste donc en dessous de sa moyenne de longue période (100).

    Situation personnelle

    Situation financière : en recul

    En mai, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée se détériore légèrement (–2 points). Celle sur leur situation financière personnelle future est stable, le solde correspondant restant à son niveau le plus haut depuis novembre 2010. Ces deux soldes demeurent en dessous de leur moyenne de longue période.

    Les ménages sont moins nombreux à considérer comme opportun de faire des achats importants ; en effet, après une hausse cumulée de 16 points depuis septembre 2014, le solde correspondant perd 3 points en mai. Il retrouve ainsi sa moyenne de longue période.

    Capacité d’épargne : chute

    En mai, l’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne actuelle se dégrade fortement : le solde correspondant perd 11 points et atteint son plus bas niveau depuis mars 2012, passant ainsi en dessous de sa moyenne de longue période. De même, le solde d’opinion concernant leur capacité d’épargne future chute (–9 points), mais demeure au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Beaucoup moins de ménages estiment qu’il est opportun d’épargner : le solde correspondant diminue de 12 points, atteignant son plus bas niveau depuis octobre 2009. Il est ainsi largement inférieur à sa moyenne de long terme.

    Contexte économique en France

    Niveau de vie en France : légère amélioration

    En mai, l’opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France est quasi stable (+1 point) et se maintient donc à son plus haut niveau depuis octobre 2007. Leur opinion sur le niveau de vie futur s’améliore légèrement (+2 points). Ces deux soldes restent cependant nettement en dessous de leur moyenne de longue période.

    Chômage : craintes en légère baisse

    En mai, les ménages sont un peu moins nombreux qu’en avril à considérer que le chômage va augmenter : le solde correspondant recule de 2 points. Il reste néanmoins largement au-dessus de sa moyenne de long terme.

    Inflation passée ressentie au plus bas

    En mai, à nouveau moins de ménages considèrent que les prix ont augmenté (–4 points). Le solde correspondant est à son plus bas niveau depuis que la série existe (1972).

     

    Au contraire, les ménages sont de nouveau plus nombreux à anticiper une augmentation des prix : le solde correspondant s’élève de 3 points. Il se maintient néanmoins en dessous de sa moyenne de long terme.

  • Industrie du Bâtiment : climat mai 2015 (28 05 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 22 mai sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=56&date=20150522.html

    En mai 2015, le climat conjoncturel reste dégradé dans l’industrie du bâtiment

    Selon les chefs d’entreprise du bâtiment interrogés en mai 2015, le climat des affaires reste dégradé. L’indicateur qui le synthétise est quasi stable (+1 point à 89). Il demeure largement en dessous de sa moyenne de long terme (100). L’indicateur de retournement se maintient en zone d’incertitude conjoncturelle.

    Les entrepreneurs restent pessimistes sur leur activité

    En mai 2015, les entrepreneurs sont un peu plus nombreux qu’en avril à anticiper une baisse de leur activité pour les trois prochains mois. Ils sont quasiment autant à annoncer une baisse sur les trois mois précédents. Les soldes d’opinion concernant l’activité passée et prévue sont très inférieurs à leur moyenne de longue période.

    Pessimisme un peu moindre sur l’emploi

    En mai, les entrepreneurs sont un peu moins nombreux qu’en avril à signaler une baisse de leurs effectifs passés ou à venir ; les soldes d’opinion correspondants restent cependant très inférieurs à leur moyenne de long terme. 

    Des carnets de commandes encore jugés inférieurs à la normale

    Le jugement des entrepreneurs sur leurs carnets de commande reste dégradé. Le solde correspondant est quasi stable en mai, demeurant à un très bas niveau depuis octobre 2014. Le nombre de mois couverts par ces commandes est quasi stable (6,5 mois), à un niveau supérieur à sa moyenne de long terme (5,4 mois).

    Le taux d’utilisation des capacités de production au plus bas depuis 2009

    Taux d'utilisation des capacités de production

    En mai 2015, le taux d’utilisation des capacités de production est quasi stable, après avoir nettement baissé depuis début 2014. Il est à son niveau le plus bas depuis début 2009. Parallèlement, les goulots de production concernent un entrepreneur sur six, contre un sur trois en moyenne depuis 1993.

    Des prix très serrés

     

    En mai, les chefs d’entreprise sont quasiment aussi nombreux qu’en avril à signaler des baisses de prix. Le solde d’opinion correspondant reste très inférieur à sa moyenne de longue période.

  • Pétrole et matières premières : prix avril 2015 (26 05 2015)

    Note de synthèse publiée le 19 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20150519.html

    En avril 2015, le prix du pétrole accélère

    En avril 2015, le prix du pétrole en euros augmente de nouveau (+6,4 %), pour s’établir à 54,9 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie diminuent (-1,1 %), tant pour les matières premières alimentaires (–1,9 %) que pour les matières premières industrielles (–0,5 %).

    Le prix du pétrole en euros accélère

     

    Lire la suite

  • Population Europe : proportion d’enfants (21 05 2015)

    Note de synthèse publiée le 30 avril 2015 sur le site Vie Publique (cliquer ici pour accéder au site Vie Publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/population-proportion-enfants-europe-1994-2050.html?xtor=EPR-56.html

     

    Population : la proportion d’enfants en Europe (1994-2050)

    A l’occasion de la Semaine européenne de la jeunesse organisée du 27 avril au 10 mai 2015, Eurostat présente notamment une sélection d’indicateurs statistiques sur les enfants (âgés de 0 à 14 ans) dans l’Union européenne (UE).

    Au sein de l’Union européenne, les enfants représentent 15,6% de la population totale en 2014, contre 18,6% en 1994. En 2014, l’UE compte 10 millions d’enfants de moins qu’en 1994. La part des enfants dans la population totale a diminué ces 20 dernières années dans tous les États membres, à l’exception du Danemark. En 2014, les Etats membres enregistrant la plus forte proportion d’enfants sont l’Irlande (22%), suivie de la France (18,6%), du Royaume-Uni (17,6%), du Danemark (17,2%), de la Suède (17,1%) et de la Belgique (17%). A l’inverse, les parts les plus faibles d’enfants sont observées en Allemagne (13,1%), en Bulgarie (13,7%) et en Italie (13,9%).

     

    Selon Eurostat, la part des enfants dans l’UE devrait diminuer légèrement dans les années à venir, passant de 15,6% en 2014 à 15% en 2050. Les hausses attendues dans 9 Etats membres (Belgique, Bulgarie, République Tchèque, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Slovénie, Suède) ne devraient en effet pas compenser les évolutions des autres Etats membres (stagnation à 16,4% en Finlande, baisses dans 18 Etats membres)

  • Production manufacturière : mars 2015 (12 05 2015)

    Note d’analyse publiée le 7 mai 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=10&date=20150507.html

    En mars 2015, la production manufacturière augmente légèrement (+0,3 %)

    Toutes les données sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (CVS-CJO).

    N. B. 1 : dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution à l’évolution globale de l’indice de la production industrielle. La contribution d’une sous-branche prend en compte son poids et l’ampleur de son évolution.

    N. B. 2 : ce numéro ne comprend pas de comparaison France/zone euro en raison d’un problème d’accès aux données.

    En mars 2015, la production en volume augmente de nouveau dans l’industrie manufacturière (+0,3 % après +0,5 %) alors qu’elle se replie dans l’ensemble de l’industrie (–0,3 % après +0,5 %).

    La production manufacturière des trois derniers mois augmente (+0,8 %)

    Au cours du premier trimestre 2015, la production augmente dans l’industrie manufacturière (+0,8 %) et plus nettement encore dans l’ensemble de l’industrie (+1,4 %).

    Sur cette période, la production progresse dans les industries extractives, énergie, eau (+4,1 %), les matériels de transport (+4,3 %), les autres produits industriels (+0,7 %), la cokéfaction et raffinage (+7,7 %) et les industries agricoles et alimentaires (+0,5 %). En revanche, la production recule dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (–1,5 %).

    Sur un an, la production manufacturière est stable

    Lire la suite