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dépendance - Page 12

  • aidants familiaux : retraite (16 03 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 23 février 2012 sur le site du Sénat (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ110317842.html

    Question écrite n° 17842 de Mme Jacqueline Alquier (Tarn - SOC) publiée dans le JO Sénat du 31/03/2011 - page 775

    Mme Jacqueline Alquier attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé santé sur les implications de la réforme des retraites sur les aidants familiaux.

    Alors que le Premier ministre avait promis en octobre 2010 que les parents d'enfants en situation de handicap pourraient continuer à partir en retraite à 65 ans, un projet de décret d'application de la loi exigerait une interruption d'activité d'au moins 30 mois consécutifs pour continuer à bénéficier d'une retraite sans décote quelque soit la durée de cotisation.

    Ainsi la majorité des aidants familiaux, le plus souvent des femmes, qui se sont arrêtés de travailler pour s'occuper d'un enfant malade ou en situation de handicap pour des périodes courtes mais répétées ne seront pas concernés.

    Même si la durée cumulée de leur inactivité va bien au-delà de 30 mois, ils devront donc chercher à poursuivre une activité professionnelle jusqu'à 67 ans. En outre, rien n'est prévu pour les aidants qui s'occupent d'un parent âgé ou en perte d'autonomie. Quant aux personnes en situation de handicap elles-mêmes, qui devaient bénéficier du même dispositif pour un départ sans décote à 65 ans, elles devront justifier d'une incapacité d'au moins 80 %, ce qui limite considérablement le dispositif alors que leur taux d'emploi est inférieur de moitié à celui de la population générale.

    Elle lui demande donc d'agir pour la suppression de ces critères restrictifs et dans le même temps de reconnaître et de valoriser l'activité des aidants familiaux en maintenant leur droit au départ à la retraite sans décote à 65 ans.

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi et de la santé publiée dans le JO Sénat du 23/02/2012 - page 514

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  • Aidants Familiaux (26 01 2012)

     

    Nous relayons volontiers l’annonce d’une Rencontre Mensuelle des Aidants familiaux organisée par le Comité Départemental d’Information et d’Action en faveur des Personnes Agées (cliquer ci-dessous pour accéder au site du CIAPA)

    http://www.ciapa.com

    A l'occasion de la Journée Nationale des Aidants, le CIAPA a créé

    "Le Rendez-vous des Aidants".

    Animé par deux Conseillères en Economie Sociale Familiale du CIAPA, il s'agit d'un lieu convivial d'échange, d'information, d'écoute... à destination des Aidants familiaux de tout le département qui accompagnent au quotidien un proche âgé en perte d'autonomie.

    Prochain Rendez-Vous Mensuel : le Vendredi 03 Février de 10h00 à 12h00 

    dans les locaux du CIAPA, au 100 avenue du Loup à Pau (bâtiment Fuchsia).

    Entrée libre et gratuite.

    Renseignements auprès du CIAPA au 05 59 80 16 37.

    Afin d'informer le plus grand nombre, nous vous remercions de bien vouloir mettre cette information à la disposition de votre Equipe et vos Usagers

  • Dépendance : réforme (point) (25 01 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 3 janvier 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-124229QE.htm

    Question n° 124229 de Mme Martine Martinel (député Socialiste de Haute-Garonne) publiée au JO le 13/12/2011 p. 12999

    Mme Martine Martinel attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur l'aide à l'autonomie des personnes dépendantes et plus particulièrement sur la prise en charge du risque de perte d'autonomie.

    Suite à l'annonce par le Gouvernement en 2007, de la réforme portant sur la dépendance, la question de la mise en place d'un « cinquième risque » a fait l'objet d'une vaste consultation qui a permis de détecter les difficultés rencontrées par les personnes concernées et leurs familles. En effet, ces rapports, analyses d'experts et consultations mettent en exergue la complexité des dispositifs, la dispersion des intervenants, la barrière administrative de l'âge (avant et après 60 ans), les inégalités de traitement sur le territoire notamment concernant l'aide personnalisée à l'autonomie (APA), et le coût relativement élevé du reste à la charge des familles.

    Bon nombre d'associations s'inquiètent aujourd'hui des nouvelles pistes de financement du Gouvernement, comme la souscription à une assurance privée, le recours sur succession, ou encore le gage sur patrimoine. Ces perspectives sont autant de mesures qui n'auront d'autre effet que d'appauvrir davantage les personnes fragiles et déjà en situation difficile.

    Elles feront peser le financement du risque sur les seuls individus concernés, alors que cette question mérite au contraire la création d'un droit universel à compensation pris en charge par la solidarité nationale, indépendant de l'âge, et prenant en compte les besoins et les moyens de chacun.

    La décision gouvernementale de reporter la réforme, pourtant promise par le Président de la République, du financement de la perte d'autonomie, est très inquiétante. Aussi, elle lui demande sa position sur le sujet.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale publiée au JO le 03/01/2012 p. 106

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  • Dépendance : prise en charge, financement

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 11 octobre 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-56834QE.htm

    Question n° 56834 de M. Jean-Michel Clément (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche de la Vienne)

    M. Jean-Michel Clément attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la situation des personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer, confrontées à une perte d'autonomie qui augmente à mesure que la maladie progresse. L'accompagnement au quotidien de celles-ci suppose l'intervention de personnels de santé et d'aides à domicile dont le coût est majoritairement supporté par les familles. Celles-ci sont mobilisées pour assister la personne malade et elles sont confrontées à une charge financière et humaine accablante. La dépendance est un risque imprévisible et universel.

    Or, les récents travaux du Sénat tendent à faire reposer la prise en charge de ce risque sur la prévoyance individuelle. Cette approche est inadaptée tant aux capacités économiques des ménages qu'à la nature du risque à assurer. Ainsi un nombre croissant de Français ne peuvent souscrire une complémentaire santé alors que le risque est certain et immédiat. Le recours à la solidarité nationale est ainsi la seule manière d'assurer le risque dépendance. La responsabilité du ministre de la santé est immense dans l'organisation de notre système de soins. De sa décision dépend le quotidien de millions de Français.

    C'est pourquoi il lui demande quand et comment le Gouvernement envisage de mettre en place une 5ème branche de la protection sociale reposant sur la solidarité nationale pour prendre en charge la dépendance.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale  publiée au JO le 11/10/2011 p. 10876

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  • Réforme de la dépendance : chantier miné (06 09 2011)

    Extraits d’un article de M. Samuel Laurent publié le 14 juin 2011 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/06/14/reforme-sur-la-dependance-les-pistes-d-un-chantier-mine_1535896_823448.html#ens_id=1567962.html

    NDLR : après la déclaration récente du Premier Ministre concluant au report à début 2012 ( ?) du débat sur la prise en charge de la Dépendance, nous avons jugé utile de vous proposer des extraits de cet article datant de près de 3 mois.

    …/…trouver des remèdes à la dépendance pose une série de problèmes, dont le principal est le financement…/…

    Tout public ou tout privé ?../… Créer une nouvelle branche type assurance-maladie coûterait en effet autour de 10 milliards d'euros au minimum.…/… Autre solution, proposer une privatisation intégrale du financement de la dépendance, qui serait confiée à des assureurs privés. Selon ses promoteurs, ce système reviendrait à cotiser 33 euros minimum par mois à partir de 50 ans, pour une rente de 300 à 700 euros mensuels à la fin de sa vie…/…

    Taxer les petites successions ?.../… le Conseil économique, social et environnemental (CESE) évoque une taxe de 1 % sur les mutations à titre gratuit, qui sont les donations ou les successions actuellement exonérées de prélèvements…/…

    Augmenter la CSG des retraités ? …/…il s'agit d'aligner la contribution sociale généralisée (CSG) payée par les retraités sur celle que versent les actifs. Les retraités payent actuellement 6,6 % de CSG, contre 7,5 % pour les actifs…/…

    Une journée travaillée supplémentaire ? Autre approche, proposée par l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin…/… une nouvelle journée de solidarité…/…

    Augmenter les cotisations d'assurance vieillesse ? Autre piste, exclue par le CESE mais préconisée par d'autres acteurs, une hausse d'un demi-point des cotisations retraite…/…

    Une TVA sociale ? …/…la solution d'une hausse de la TVA ne semble plus envisagée sérieusement. Pourtant, la gauche, elle, évoque la possibilité de rétablir une TVA normale dans la restauration pour financer partiellement la réforme de la dépendance…/…

    Ces questions se doublent d'incertitudes croissantes sur le calendrier de la réforme…/….

     

  • Dépendance : reflexion sur la prise en charge (26 08 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 2 aout 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-111037QE.htm

    Question n° 111037 de M. Dominique Baert (député SRCDG du Nord)

    M. Dominique Baert attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés d'accès de personnes âgées dépendantes, mais ne disposant que de faibles ressources, aux maisons médicalisées de retraite.

    Malgré l'APA, bien des familles, aux ressources modestes, se trouvent en grandes difficultés financières, compte tenu du prix de journée qu'elles ont à acquitter, dès lors que l'un de ses membres doit être placé dans un établissement hospitalier ad hoc. Un de ses concitoyens lui citait ainsi un paradoxe dans la couverture sociale. Ainsi, dans un couple de retraités encore jeunes, mais où l'épouse est malheureusement durement touchée par une maladie d'Alzheimer à progression rapide, si cette dame est hospitalisée, que ce soit en hospitalisation privée ou publique, le couple n'a aucune dépense à prendre en charge, eu égard à sa couverture sociale.

    Mais qu'en revanche, cette dame rejoigne la « maison de retraite » médicalisée contiguë à l'établissement hospitalier, en dépit des prises en charge par l'APA le couple devra faire face à des dépenses très lourdes, incompatibles avec le niveau des retraites perçues par le ménage, et même avec les ressources, très modestes, de la seule fille du couple.

    Que faire alors ? Comment la solidarité nationale peut-elle faire en sorte que chacun, selon ses besoins d'accompagnement, puisse accéder aux mêmes prestations, humaines et de qualité, quelles que soient ses ressources ? Cette situation n'est pas que rare. Avec l'allongement de la durée de la vie, elle est appelée à se multiplier.

    Elle témoigne d'une problématique essentielle, à savoir la couverture des besoins nés de la dépendance, et la nécessité, dans la couverture de ce risque, de prendre en considération la capacité contributive des familles ; ce dont actuellement la méthodologie comptable des EHPAD ne tient pas compte, puisque la tarification ne se fait que par le prix de journée.

    Il demande donc instamment au Gouvernement de se saisir de ce douloureux problème, avant que dans notre pays ne se creuse une injustice majeure : l'inégalité d'accès à l'accompagnement de la dépendance.

    Réponse du Ministère des Solidarités et de la cohésion sociale publiée au JO le  02/08/2011 p. 8447

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