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medicaments - Page 9

  • Prix médicaments (2000-2010) (1/3) (02 08 2012)

    Nous proposons sur 3 jours des Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note de Mme Typhaine Auray, de la division des Prix à la Consommation de l’INSEE, publiée le 18 juillet 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l‘INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1408.html

    Résumé

    L’Insee suit deux types de prix à la consommation pour les médicaments : le prix “brut”, qui est le prix de marché hors remboursement de sécurité sociale et le prix “net”, qui correspond à la partie résiduelle du prix acquittée par le consommateur après prise en charge de tout ou partie du coût par la sécurité sociale (hors mutuelles).

    Entre 2000 et 2010, le prix “brut” de l’ensemble des médicaments remboursables et non remboursables baisse en moyenne de 1,8 % par an. Dans le même temps, le prix “net” de ces médicaments augmente en moyenne de 0,6 % par an entre 2000 et 2010. Ces évolutions opposées s’expliquent par les différentes mesures de déremboursement partiel ou total intervenues durant la période, ainsi que par la forte progression du prix des médicaments non remboursables.

    Sommaire

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  • EHPAD : forfait soins, médicaments (25 07 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 8 mai 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-59018QE.htm

    Question n° 59018 de M. Yvan Lachaud (député Nouveau Centre du Gard)

    M. Yvan Lachaud attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les dispositions relatives aux médicaments contenues dans l'article 45 du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2009.

    Cette mesure réintroduit les médicaments dans les prestations de soins pratiquées par les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes et sera, à terme, dommageable aux personnes hébergées dans les EHPAD.

    En effet, la mise en concurrence que ces établissements mettront en œuvre conduira à ce que les pharmaciens les moins disants obtiennent le marché de la distribution des médicaments, au détriment de la qualité des prestations.

    Or il serait inacceptable que le médicament devienne la variable d'ajustement budgétaire des EHPAD. Il souhaite donc savoir quelles mesures elle envisage de prendre sur ce sujet.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 08/05/2012 p. 3658

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  • Médicaments : conditionnement (04 06 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le10 mai 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120322812.html


    Question écrite n° 22812 de M. Roland Povinelli (sénateur socialiste des Bouches-du-Rhône) publiée dans le JO Sénat du 08/03/2012 - page 625

    M. Roland Povinelli attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la santé sur l'impact du conditionnement des médicaments par rapport aux indications, posologie et durée de traitement.

    En effet, près d'un médicament sur deux remboursé ne serait pas consommé. Ce reliquat de médicaments représente un danger. Il peut être à l'origine de dérives (automédication, abus de traitements sans prescription) qui peuvent altérer la santé des personnes. Une bonne partie de ce gaspillage se retrouve également dans les décharges avec une pollution certaine mais inconnue quant à sa nature et à son importance.

    Il lui demande de bien vouloir envisager un système de conditionnement qui permettrait de ne délivrer que la stricte quantité prescrite ce qui permettrait de réaliser de conséquentes économies sur nos dépenses de santé et d'assurer la protection de la population.

    Réponse du Secrétariat d'État chargé de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/05/2012 - page 1172

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  • Médicaments génériques (25 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 7 février 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-120139QE.htm

    Question n° 120139 de M. Jean-Paul Dupré (député Socialiste de l’Aude)

    M. Jean-Paul Dupré attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le prix des médicaments génériques. Tandis qu'un Français sur quatre déclare renoncer à se soigner en raison du développement de la précarité et de la charge croissante des dépenses de santé qui pèsent sur les assurés - franchises médicales, déremboursements, dépassements d'honoraires...- on constate dans le même temps que les médicaments génériques sont trois fois plus chers en France que chez nos voisins européens.

    Cette situation parfaitement anormale révèle une fois de plus l'urgente nécessité qu'il y a de prendre rapidement des mesures ambitieuses visant à réguler le prix des médicaments et notamment des médicaments génériques.

    Il lui demande s'il est dans l'intention du Gouvernement de prendre enfin des mesures en ce sens.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 07/02/2012  p. 1148

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  • EHPAD : forfait soins (04 02 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiée le 25 janvier 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ci pour  accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-91210QE.htm

    Question n° 91210 de M. Jean-Yves Le Déaut (député socialiste, radical, citoyen et divers gauche de Meurthe-et-Moselle)

    M. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les inquiétudes des pharmaciens d'officine ruraux quant aux conséquences de la mise en œuvre des réformes introduites par la loi de financement de la sécurité sociale sur les EHPAD, et plus précisément en ce qui concerne l'intégration des médicaments dans le forfait soins.

    Ces professionnels lui ont fait part de leurs craintes de se voir écartés du dispositif pour des raisons économiques, au détriment de la qualité des prestations. Ils redoutent également qu'une telle mesure ne crée d'importantes inégalités de traitement entre les personnes soignées à domicile qui pourraient avoir accès à l'ensemble des produits remboursables sur simple prescription et les personnes résidant en établissement, qui risqueraient de subir une discrimination en fonction de la gravité des pathologies qui les affectent.

    Il lui demande donc de lui indiquer quelles mesures entend prendre le Gouvernement afin de rassurer ces professionnels.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 25/01/2011 p. 773

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  • prévention cardio-vasculaire (17 12 2010)

    Prévention cardio-vasculaire : vers une évolution de la prescription des statines

    Note publiée dans la lettre n° 24 de novembre-décembre 2010 de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la Haute Autorité de Santé)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_990431/prevention-cardio-vasculaire-vers-une-evolution-de-la-prescription-des-statines.html

    Les traitements de l’hypercholestérolémie, dont l’objectif principal est la prévention de la mortalité et de la morbidité cardio-vasculaire, sont les médicaments les plus prescrits en France. Leur remboursement représente 1 milliard d’euros pour l’Assurance maladie. À la demande du ministère de la Santé, la HAS a donc réalisé une évaluation médico-économique de ces traitements. Elle s’est penchée en particulier sur les statines (rosuvastatine, atorvastatine, pravastatine, simvastatine et fluvastatine), qui sont les traitements médicamenteux de première intention en prévention primaire comme secondaire des décès et événements cardio-vasculaires. Elles réduisent la mortalité toutes causes de 10 % et les événements cardio-vasculaires de 15 à 23 % en fonction du type d’événement.

    « Notre analyse met en évidence que toutes ces molécules n’ont pas la même efficience [rapport coût/efficacité] en fonction des profils de patients », explique Fabienne Midy, chef de projet au service évaluation économique et de santé publique de la HAS. Aujourd’hui, les pratiques de prescriptions ne tiennent pas compte de cette notion médicale et économique. Deux types de statines sont majoritairement prescrites par les médecins, quel que soit le profil des patients : la rosuvastatine et l’atorvastatine. « Ces deux molécules, plus récentes que les autres, sont les plus puissantes pour réduire les taux de LDL-c*. Mais elles devraient être réservées aux cas les plus sévères, qui nécessitent une réduction du taux de LDL-c supérieure ou égale à 40 %, précise Emmanuelle Cohn-Zanchetta, chef de projet au service évaluation des médicaments de la HAS.
    En deçà de 40 %, si un traitement est jugé nécessaire, la simvastatine et la pravastatine suffisent. Et ce, à moindre coût. Surtout sous leur forme générique. »

    * LDL-c : Low-density lipoprotein cholesterol.