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ménages - Page 3

  • Ménages et environnement (2/3) (17 11 2017)

    Nous vous proposons sur 3 jours cette fiche pratique publiée en octobre 2017 sur le site du Ministère du Développement Durable (cliquer ici pour accéder au texte complet du Rapport)

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/Produits_editoriaux/Publications/Datalab/2017/Datalab-25-menages-environnement-cc-ed-2017-oct2017.pdf

    MENAGES ET ENVIRONNEMENT : Chiffres-clés (octobre 2017)

    Sommaire

    Dépenses des ménages

    Empreinte Carbone des ménages

    Empreinte Eau des Ménages

    Habitat et consommation d’espace

    Habitat et usage de l’eau

    Habitat et consommation d’énergie

    Habitat et émission de gaz à effet de serre

    Les Français et la rénovation énergétique de leur logement

    Répartition modale du transport intérieur de passagers

    Émissions de CO2 liées à la circulation des voitures particulières

    Utilisation des transports en commun

    Dépenses alimentaires des ménages

    Gaspillage alimentaire

    Entretien et réparation des produits

    Recyclage des déchets ménagers et assimilés

     

    Habitat et consommation d’énergie

    En 2015, la consommation finale d’énergie du secteur résidentiel atteint 472 térawatt-heure (TWh), soit une hausse de 10 % par rapport à 1985. Après une croissance soutenue dans les années 1990 (+ 22 % entre 1985 et 2001), elle diminue progressivement depuis le début des années 2000 (- 9 % entre 2002 et 2015), tandis que le nombre de résidences principales continue d’augmenter.

    En trente ans, la consommation liée au chauffage, premier usage énergétique, a baissé de 2 %, passant de 330 TWh en 1985 (77 % de la consommation finale d’énergie du secteur résidentiel), à 323 TWh en 2015 (68 %).

    Dans le même temps, la consommation finale d’énergie liée aux autres usages augmente (respectivement + 18 % et + 17 % pour les usages eau chaude sanitaire et cuisson). La consommation liée à l’usage spécifique électricité connaît la plus forte augmentation (+ 111 % sur la période observée). En passant de 8 % de la consommation finale d’énergie en 1985 à 16 % en 2015, elle devient le deuxième facteur de consommation finale d’énergie du secteur résidentiel. L’essor des technologies de l’information et de la communication contribue à cette évolution. À titre d’exemple, d’après l’Insee, la part des ménages équipés en ordinateur est passée de 45 % en 2004 à 77 % en 2013.

    Afin de répondre à l’enjeu d’efficacité énergétique, la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte fixe pour objectif de rénover énergétiquement 500 000 logements par an à compter de 2017, dont au moins la moitié est occupée par des ménages aux revenus modestes. Elle vise ainsi une baisse de 15 % de la précarité énergétique d’ici 2020. Elle prévoit également qu’avant 2025, tous les bâtiments privés résidentiels dont la consommation en énergie primaire est supérieure à 330 kWh/m² et par an d’énergie primaire (ce qui correspond aux étiquettes DPE « F » et « G ») devront avoir fait l’objet d’une rénovation énergétique.

    Habitat et émission de gaz à effet de serre

     

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  • Ménages et environnement (1/3) (16 11 2017)

    Nous vous proposons sur trois jours cette fiche pratique publiée en octobre 2017 sur le site du Ministère du Développement Durable (cliquer ici pour accéder au texte complet du Rapport)

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/Produits_editoriaux/Publications/Datalab/2017/Datalab-25-menages-environnement-cc-ed-2017-oct2017.pdf

     

    MENAGES ET ENVIRONNEMENT : Chiffres-clés (octobre 2017)

    Sommaire

    Dépenses des ménages

    Empreinte Carbone des ménages

    Empreinte Eau des Ménages

    Habitat et consommation d’espace

    Habitat et usage de l’eau

    Habitat et consommation d’énergie

    Habitat et émission de gaz à effet de serre

    Les Français et la rénovation énergétique de leur logement

    Répartition modale du transport intérieur de passagers

    Émissions de CO2 liées à la circulation des voitures particulières

    Utilisation des transports en commun

    Dépenses alimentaires des ménages

    Gaspillage alimentaire

    Entretien et réparation des produits

    Recyclage des déchets ménagers et assimilés

     

    Dépenses des ménages

    En France, la dépense de consommation finale des ménages augmente régulièrement depuis cinquante ans. En volume, elle a triplé depuis 1960, passant de 5 281 euros par habitant à 17 074 euros par habitant en 2016. En 2015, ce montant était légèrement supérieur à la moyenne européenne (UE-28) – (16 820 euros par habitant contre 14 504 euros).

    En 2016, le logement (incluant les dépenses « contraintes » : loyer, consommation d’énergie…) constitue ainsi le premier poste de dépenses des ménages français, suivi de l’alimentation dont la part dans le total des dépenses de consommation des ménages a nettement diminué sur la période observée (28 % en 1960 contre 16 % en 2016), puis des dépenses consacrées aux loisirs, et de celles dédiées aux transports.

    Avec l’apparition dans les années 1990 de la téléphonie mobile et d’internet, la part des produits des technologies de l’information et de la communication est passée de 0,1 % en 1960 à 5 % en 2016. Cette hausse n’a pas d’équivalent parmi les autres catégories de dépenses. Elle illustre l’impact des évolutions sociétales sur les modes de consommation des ménages.

    Empreinte Carbone des ménages

     

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  • Consommation des ménages : juin (16 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui (hors tableaux et graphiques) cette note d’analyse publiée le 28 juillet 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2908290.html

    La consommation des ménages en biens se replie en juin 2017 (−0,8 %) mais rebondit sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 %).

    En juin 2017, les dépenses de consommation des ménages en biens diminuent de 0,8 % en volume*, après deux mois consécutifs de hausse. Cependant, elles rebondissent sur l'ensemble du 2e trimestre (+0,4 % après −0,4 %).

    (*Les volumes sont mesurés aux prix de l'année précédente chaînés (en milliards d'euros 2010) et corrigés des variations saisonnières et des effets des jours ouvrables (CVS-CJO).

     

    Sommaire

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

     

    1.Biens fabriqués : net repli en juin, légère hausse sur le trimestre.

    En juin 2017, les achats de biens fabriqués se contractent (−1,0 % après +1,2 %). Sur l'ensemble du trimestre, ils augmentent très légèrement (+0,2 %) : le recul des dépenses en textile-habillement atténue le rebond des achats de véhicules et le dynamisme des achats de biens d'équipement du logement.

    2.Biens durables : repli en juin, accélération sur le trimestre

    En juin, la consommation en biens d'équipement du logement, notamment en produits électroniques grand public, baisse pour le troisième mois consécutif. Elle ralentit sur l'ensemble du trimestre (+0,9 % après +1,8 %).

    Les achats d'automobiles sont quasi stables en juin : le repli en véhicules neufs est compensé par une accélération des achats de véhicules d'occasion et de deux-roues. Sur l'ensemble du trimestre, les achats d'automobiles rebondissent (+1,0 % après −0,9 %).

    3.Habillement-textile : baisse en juin et sur le trimestre

    En juin, les dépenses en habillement-textile se replient fortement (−4,7 %). La baisse est moins marquée sur l'ensemble du trimestre (−0,4 %).

    4.Autres biens fabriqués : légère hausse en juin, repli sur le trimestre

    En juin, les achats en « autres biens fabriqués » se redressent légèrement (+0,3 % après −0,1 %), principalement grâce au rebond des dépenses en quincaillerie-bricolage. Sur l'ensemble du trimestre, ces achats se replient (−0,4 % après une stabilité au premier trimestre).

    5.Alimentaire : nouvelle baisse en juin, légère accélération sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation totale de produits alimentaires diminue nettement (−0,8 % après −0,1 % en mai). Toutefois, la consommation de tabac est en hausse. Sur l'ensemble du deuxième trimestre, les dépenses alimentaires accélèrent légèrement (+0,6 % après +0,4 %).

    6.Énergie : légère baisse en juin, léger rebond sur le trimestre

    En juin 2017, la consommation d'énergie se replie légèrement (−0,2 %), après deux mois de hausse soutenue. Les dépenses en gaz et électricité diminuent ; celles en produits raffinés augmentent (+0,7 %) du fait de la très forte hausse des achats de fioul tandis que la consommation de tous les autres carburants recule. Sur l'ensemble du trimestre, les dépenses d'énergie rebondissent légèrement (+0,5 %), après une forte baisse au premier trimestre (−3,2 %).

    7.L'évolution de mai 2017 est légèrement abaissée

    Par rapport à l'estimation précédente, l'évolution des dépenses de consommation des ménages en biens en mai 2017 est abaissée de 0,1 point, à +0,9 %. Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées et les coefficients de correction des variations saisonnières ont été actualisés.

  • Conjoncture Juin 2017 : enquête ménages (30 06 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse statistique publiée le 28 juin 2017 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2883442

    INFORMATIONS RAPIDES n° 170, Paru le : 28/06/2017

    En juin 2017, la confiance des ménages dans la situation économique s'améliore fortement : l'indicateur qui la synthétise gagne 5 points (après +2 points en mai) et atteint 108, son plus haut niveau depuis juin 2007. Il se situe ainsi nettement au-dessus de sa moyenne de longue période (100). Un pic d'optimisme a également été constaté lors des élections présidentielles précédentes

    Situation personnelle

    Situation financière personnelle : nette amélioration

    En juin, l'opinion des ménages sur leur situation financière passée s'améliore fortement : le solde correspondant gagne 5 points et s'éloigne davantage de sa moyenne de longue période. L'opinion des ménages sur leur situation financière future s'améliore pour le deuxième mois consécutif : le solde correspondant gagne 2 points et bascule au-dessus de sa moyenne de long terme. Ces deux soldes sont à leur plus haut niveau depuis l'été 2007.

    Après avoir chuté en mai, la proportion de ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants se redresse en juin : le solde correspondant gagne 11 points et retrouve son niveau de février 2017, nettement au-dessus de sa moyenne de longue période.

    Capacité d'épargne future : légère hausse

    En juin, le solde d'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne future s'améliore de 3 points et redevient positif pour la première fois depuis avril 2015. L'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne actuelle est inchangée. Ces deux soldes se situent au-dessus de leur moyenne de long terme.

    La part de ménages estimant qu'il est opportun d'épargner est presque inchangée : le solde correspondant gagne 1 point mais demeure nettement inférieur à sa moyenne de longue période.

    Contexte économique en France

    Niveau de vie en France : nouveau regain d'optimisme

    En juin 2017, le solde d'opinion des ménages sur le niveau de vie futur en France continue de grimper : il gagne 15 points (après +7 points en mai) et retrouve un niveau inédit depuis mai 2007. Le solde d'opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France s'améliore de nouveau (+5 points après +6 points), à son plus haut niveau depuis début 2003. Les deux soldes excèdent un peu plus leur moyenne de longue période.

    Chômage : nouvelle baisse des craintes

    Les craintes des ménages au sujet du chômage diminuent de nouveau en juin, pour le troisième mois consécutif. Le solde correspondant recule de 9 points et se situe à son plus bas niveau depuis début 2008, bien au-dessous de sa moyenne de long terme.

    Inflation anticipée en baisse

    En juin, les ménages sont moins nombreux à estimer que les prix augmenteront au cours des douze prochains mois : le solde correspondant baisse de 5 points, et s'éloigne de sa moyenne de longue période.

    Les ménages sont aussi nombreux qu'en mai à estimer que les prix ont augmenté au cours des douze derniers mois ; le solde correspondant reste bien en deçà de son niveau moyen de long terme.

  • Consommation : budget des ménages (11 02 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 18 janvier 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/consommation-menages-consacrent-7-3-leur-budget-annuel-leur-apparence-physique.html

    Consommation : les ménages consacrent 7,3% de leur budget annuel à leur apparence physique

    Dans une étude publiée le 10 janvier 2017, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) analyse les dépenses des Français pour leur apparence physique (vêtements, soins de beauté, coiffure, bijoux, sacs, etc.)

    En 2015, les ménages ont dépensé 3 000 euros en moyenne pour leur budget "apparence physique". Depuis 1960, la part de ce budget s’est réduite de moitié passant de 14,1% à 7,3%.

    • Les ménages ont notamment fortement diminué leurs dépenses de vêtements.

    En 1960, la part des vêtements atteignait 66% du budget "apparence physique", elle ne représente plus que 41% en 2015, soit 1 230 euros en moyenne par ménage.

    Plusieurs facteurs expliquent ces chiffres. A partir de 1974, le volume des achats de vêtements s’est stabilisé tandis qu’apparaissaient de nouveaux besoins concurrents (loisirs, produits high-tech et surtout produits de beauté). Depuis la crise économique de 2008, le volume des dépenses vestimentaires s’est même contracté. Selon l’Insee, les ménages ont freiné certains achats non essentiels comme les vêtements, contraints par des dépenses "pré-engagées", notamment celles liées au logement et aux assurances. A cela, s’ajoutent l’évolution des prix des vêtements dans un contexte mondialisé (produits importés toujours moins chers) et de nouvelles habitudes de consommation (achats entre particuliers et par internet ou pendant les soldes et promotions).

    • Si les ménages dépensent moins en habillement, tel n’est pas le cas en revanche pour les soins et biens personnels (parfums, coiffure, cosmétiques, rasoirs, épilateurs, etc.).

    La part de ces dépenses a cru constamment depuis 55 ans, avec le développement de l’offre de soins. Elle représente désormais 32% du budget "apparence physique" (contre 9% en 1960), soit 965 euros en moyenne par ménage en 2015. Parmi ces dépenses, l’étude relève en particulier la progression des soins réalisés par soi-même par rapport aux soins réalisés par les professionnels. Cette progression s’explique en partie par la hausse importante des prix des soins professionnels, et notamment des services en salons de coiffure, qui a eu pour effet de réduire le nombre de clients. En 2000, une personne se rendait 6 fois par an en moyenne chez le coiffeur contre 4,5 fois en 2010.

    • Quant aux dépenses en effets personnels (bijoux, montres, sacs, lunettes de soleil), elles s’élèvent à 12% du budget "apparence physique" (contre 6% en 1960), soit 360 euros par an par ménage. Elles ont progressé au même rythme que la consommation des ménages.

    Comparés aux autres Européens, les Français dépensent moins pour leur apparence physique, loin derrière les Italiens et les Britanniques.

    Mots clés Société

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    Sur la toile publique

  • Ménages : patrimoine 2015 (3/3) (13 11 2015)

    Nous proposons sur 3 jours des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note détaillée de Rosalinda Coppoletta-Solotareff, Aline Ferrante, Maud Romani, division Revenus et Patrimoine des ménages, Insee publiée le 5 novembre 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INSEE) http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1574.html Le patrimoine des ménages début 2015 - Repli des valeurs risquées au profit des produits sécurisés

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