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prevention - Page 31

  • Fenêtres : chutes d’enfants (22 05 2014)

    Fiche-conseil publiée le 7 avril 2014 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/70000/cp/14/cp140407-defenestrations.asp

    Chutes d’enfants par la fenêtre Appel à la vigilance des parents : 4 fois sur 5, un adulte est présent

    Le printemps et les beaux jours arrivent et avec les premières chaleurs, les risques de chutes par la fenêtre augmentent. Selon l’enquête Défenestrations 2013, l’Institut de veille sanitaire (InVS), en collaboration avec l’hôpital Necker Enfants malades, a enregistré durant sept mois d’enquête, en Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Nord-Pas-de-Calais, 76 « chutes accidentelles de grande hauteur » (défenestrations) chez les enfants de moins de 15 ans (taux d’incidence 1,9/100 000). Elles ont été suivies de 9 décès. 8 personnes ont par ailleurs présenté des séquelles à un mois (dont 3 sévères).

    Les enfants de moins de 6 ans particulièrement touchés

    Les chutes accidentelles de grande hauteur concernent surtout les enfants de moins de 6 ans (62 %), majoritairement des garçons (70 %). Dans la moitié des cas, la chute a eu lieu alors que l’ouverture disposait d’une protection, qui a donc été inefficace. De même, quatre fois sur cinq, un adulte était présent dans le logement au moment de la chute. Un meuble se trouvait sous l’ouverture dans plus de la moitié des cas.

    Ces résultats sont semblables à ceux des enquêtes réalisées en 2005 et 2006. On doit toutefois mentionner que le nombre de cas a diminué entre 2006 et 2013, de 106 à 76, les décès passant de 10 à 9 et les séquelles sévères de 7 à 3.

    Soyez vigilant et sécurisez votre habitat

    A la veille des beaux jours, poursuivant ses actions de prévention sur le sujet, l’Inpes diffuse deux affiches pour prévenir les risques de défenestration auprès des crèches, PMI, pédiatres, centres d’actions communales et préfectures. Elles sont également téléchargeables sur www.inpes.sante.fr et disponibles gratuitement sur demande auprès de l’Inpes.

    Les conseils à retenir :

    ·         il ne faut  jamais laisser un enfant seul, ou sous la responsabilité d’un autre enfant ou adolescent, près d’une fenêtre ouverte ou sur un balcon,

    ·         il ne faut jamais laisser des meubles ou objets sous une fenêtre : les enfants peuvent s’en servir pour accéder à leur ouverture.

    Verrous, poignées verrouillables, entrebâilleurs, bloc-portes, barrières qui font office de garde-corps… ne suffisent pas et ne remplacent jamais la vigilance d’un adulte.

     

    « Il faut se mettre dans la tête d’un enfant, il entend des bruits à l’extérieur et cherchera à voir ce qui se passe. S’il y a un conseil à retenir, c’est de ne jamais laisser un enfant seul quand une fenêtre est ouverte » rappelle Thanh Le Luong, directrice générale de l’Institut National de prévention et d’éducation à la santé (Inpes).

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  • Suicide : adolescents, prévention (09 05 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 février 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131209572.html

    Question écrite n° 09572 de Mme Patricia Schillinger (sénateur du Haut-Rhin)

     

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le suicide des adolescents. Le nombre de suicides d'adolescents augmente régulièrement depuis les années 70. Aujourd'hui, ce sont près de 1 000 décès par an, pour 80 000 tentatives. Avec 15 % du total des décès, le suicide représente la deuxième cause de mortalité chez les moins de 20 ans, loin derrière les accidents de la circulation, 40 % du total des décès de cette classe d'âge. Si les filles sont plus nombreuses que les garçons à tenter de se suicider, ces derniers arrivent plus souvent à leurs fins.

     

    Les causes de ces morts tragiquement volontaires sont complexes, multifactorielles et toujours singulières. Par conséquent, elle lui demande quelle politique de prévention du suicide chez les jeunes elle envisage de mener. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/02/2014 p.531

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  • Consommation d’alcool : prévention, repères (31 03 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 13 mars 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130607115.html

    Question écrite n° 07115 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

    M. Roland Courteau appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la question de la mise en place d'une vaste campagne d'information sur les repères de consommation d'alcool. 

    En effet, cette campagne apparaît essentielle: au-delà des actions de la filière vin, une campagne nationale, menée par l'institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES), permettrait d'assurer une meilleure connaissance de ces repères issus des recommandations de l'organisation mondiale pour la santé (OMS) et rappelés dans le programme national nutrition santé 2011-2015 (3 verres maximum par jour pour un homme, 2 verres maximum par jour pour une femme).

     

    C'est pourquoi il aimerait savoir si le Gouvernement envisage de mettre en place une telle campagne.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 13/03/2014 p. 693

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  • Pesticides dans les aliments (04 01 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 28 novembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ120901738.html

    Question écrite n° 01738 de M. Roland Courteau (sénateur socialiste de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre des affaires sociales et de la santé que, selon les chercheurs de l'université britannique d'Aston, l'addition de certains pesticides, lorsqu'il en subsiste des traces dans les aliments, peut être dangereuse.

     
    L'étude qu'ils viennent de remettre montre que des substances classées inoffensives peuvent endommager certaines cellules du système nerveux lorsqu'elles sont combinées.

     
    C'est le cas du pyriméthanil, du cyprodinil et du fludioxonil que l'on retrouve sur certains fruits, notamment. 

    Ainsi les chercheurs considèrent que les réactions des cellules face à ces pesticides attestent d'un risque de vulnérabilité accrue à certaines maladies, notamment les maladies d'Alzheimer, de Parkinson ou la sclérose en plaques.

     
    Par ailleurs, des risques cancérigènes sont aussi évoqués.

     
    Or, il lui fait remarquer que cet effet cocktail n'est pas pris en compte par les textes communautaires. Ainsi le règlement REACH analyse les effets des substances chimiques seulement produit par produit.

     
    Il semblerait par ailleurs que la Commission européenne ait refusé de se pencher sur cette question de l'effet cocktail.

     
    Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître son sentiment sur cette question. Il lui demande également si des recherches ont été engagées par l'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l'alimentation, de l'environnement et du travail et avec quels résultats, et enfin quelles initiatives elle entend prendre en direction de l'Union européenne sur ce sujet. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 28/11/2013 p. 3428

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  • OGM : expérimentations plein champ (23 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 septembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130707580.html

    Question écrite n° 07580 de M. Gérard Bailly (sénateur UMP du Jura)

    M. Gérard Bailly appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt sur l'annonce récente de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) qui s'est vu obligé d'arrêter les essais en plein champ d'organismes génétiquement modifiés (OGM).

     

    Il lui fait part de sa profonde surprise d'apprendre que le ministère de l'agriculture n'a pas renouvelé son autorisation pour une période de cinq ans. Il est extrêmement surprenant d'arrêter ainsi la recherche dans un domaine où la France était en pointe, avec le gaspillage d'argent public que cela traduit quand on sait qu'environ quatre-vingts essais menés par des instituts de recherche financés par des fonds publics ont été détruits en Europe depuis 1999. Dans le même temps, on laisse entrer dans notre pays des produits et aliments pour le bétail à base d'OGM sans que cela interpelle ...

     
    Il aimerait que soit clarifiée la politique du Gouvernement à l'égard des OGM : soit ils sont nocifs et c'est scientifiquement prouvé et on explique clairement pourquoi cette recherche n'a plus de sens et ne mérite plus de financement public ; soit on estime qu'ils peuvent être une réponse aux problèmes d'alimentation mondiale et qu'ils pourraient permettre d'éviter le recours aux insecticides et de pallier le réchauffement de la planète et, en conséquence, on ne met pas fin brutalement à tant d'années d'efforts et d'investissements. L'important, c'est une information claire et cohérente.

     
    Il lui demande donc de lui dire, comme il s'y était engagé lors d'une séance de questions orales au Sénat le 6 février 2013, où en sont les protocoles d'autorisation des OGM et la clarification juridique promise à l'échelle de l'Union européenne. Il aimerait ensuite avoir confirmation des intentions du Gouvernement à ce sujet : arrêter définitivement la recherche ou non.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 19/09/2013 p. 2704

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  • Virus de l’hiver : conseils pour un hiver en bonne santé (4/4) (14 12 2013)

    Nous proposons ces 4 prochains jours des indications importantes lues dans le dossier de presse publié le 6 décembre 2013 sur le site de l’Institut de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au document intégral)

    http://www.inpes.fr/70000/cp/13/cp131206-virus-hiver.asp

    http://www.inpes.fr/70000/dp/13/dp131206.pdf

    Sommaire

    Des millions de Français touchés chaque année par les virus de l’hiver     

    L’hiver et ses virus    

    Des conséquences économiques et sociales à ne pas négliger          

    Les principaux modes de transmission des virus de l’hiver      

    Les mains, vecteurs de transmission des virus de l’hiver           

    Se laver les mains régulièrement, le premier réflexe à adopter cet hiver    

    Comment se laver les mains efficacement pour réduire la transmission des virus ?

    Le lavage des mains, pas encore un réflexe pour les Français              

    Les autres gestes de prévention pour une meilleure protection de soi et des autres

    Limiter les contacts directs                    

    Eviter les lieux fréquentés                               

    Eternuer et tousser en se couvrant la bouche

    Porter un masque                        

    Se faire vacciner contre la grippe                             

    Grippe, gastro-entérite… : quelles sont les maladies qui peuvent gâcher notre hiver ?

    Qu’est-ce que la gastro-entérite ?                                 

    Qu’est-ce que la grippe ?                                     

    Quelles sont les autres infections respiratoires ?   

    3 questions à Thanh Le Luong, directrice générale de l’Inpes.    

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