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évolution - Page 21

  • Produits de grande consommation : prix septembre 2012 (16 10 2012)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 11 octobre 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20121011.html

    En septembre 2012, les prix des produits de grande consommation se replient de 0,2 % ; ils augmentent de 1,2 % sur un an

    Indice des prix dans la grande distribution – Septembre 2012

    Dans la grande distribution, les prix des produits de grande consommation sont en baisse de 0,2 % en septembre 2012 après une hausse de 0,2 % en août et en juillet.

    Sur un an, les prix augmentent de 1,2 % dans la grande distribution

    En septembre 2012, les prix sont supérieurs de 1,2 % à ceux de l’an dernier. Ils augmentaient de 3,1 % sur un an en septembre 2011.

    Les prix se sont repliés de 0,2 % dans les hypermarchés comme dans les supermarchés

     

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  • Espaces agricoles : artificialisation (17 10 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 octobre 2012 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12070004S.html


    Question orale sans débat n° 0004S de M. Antoine Lefèvre (Aisne - UMP)

    Monsieur le ministre, je souhaite attirer votre attention sur l'artificialisation des espaces agricoles, qui ne cesse d'augmenter.

    En décembre dernier, déjà, à l'occasion de la semaine de la préservation de l'espace foncier agricole, organisée par les Jeunes agriculteurs, des chiffres alarmants ont été rendus publics : la France perd 26 mètres carrés de terre agricole par seconde, soit près de 80 000 hectares par an, ce qui fait un département tous les cinq ans !

    Cette évolution est deux fois plus rapide que dans les années soixante, où quelque 40 000 hectares étaient urbanisés chaque année.

    Dans l'Aisne, 57,3 % du territoire est occupé par des terres cultivées ; cette proportion est de 60,2 % dans l'ensemble de la Picardie.

    Le président d'une société d'aménagement foncier et d'établissement rural, une SAFER, m'a confirmé que la France consommait deux fois plus de terres périurbaines que nos partenaires européens, notamment allemands.

    L'homme s'est historiquement installé sur des terres fertiles, et les villes ont grossi autour de ces premières implantations.

    Les sols de très bonne qualité agronomique représentent déjà un tiers des surfaces artificialisées. Notre collègue Yvon Collin, dans l'excellent rapport d'information sur le défi alimentaire à l'horizon 2050 qu'il a récemment rédigé au nom de la délégation à la prospective, souligne que, à ce rythme, la surface agricole naturelle aura reculé de 3,4 millions d'hectares en 2050, ce qui représente 12 % de la surface occupée actuellement par les exploitations.

    Il est par ailleurs clair que, devant l'ampleur de l'extension urbaine, certains acquéreurs n'hésitent pas à spéculer sur le changement d'usage des terres.

    C'est la raison pour laquelle certains maires de zones rurales, et aussi nombre d'agriculteurs, soutenaient la loi du 20 mars 2012 relative à la majoration des droits à construire, qui pouvait faire espérer un apaisement de la pression immobilière sur les zones agricoles périurbaines.

    Au contraire, la tendance récente est à la hausse du prix de la terre agricole : en 2011, la disponibilité des terres libres s'amenuisant, les prix ont été poussés à la hausse, rendant d'autant plus difficile l'installation de nouveaux agriculteurs.

    Cette tendance à la hausse semble inéluctable à long terme, la terre agricole étant de plus en plus prisée tant pour sa production que pour sa qualité de valeur refuge pour les investisseurs. Son prix a augmenté de 40 % depuis 1997 pour s'établir à 5 430 euros par hectare en moyenne.

    Les SAFER disposent de moyens pour sauvegarder les terres agricoles, mais leur action se heurte à l'opacité des ventes de parts de société agricole. Dans ces transactions, en effet, ni l'État, ni les collectivités locales, ni les SAFER ne sont informés de l'identité des acquéreurs.

    Monsieur le ministre, quelle est l'ampleur du marché des parts de société agricole et qu'en est-il de l'éventuel danger d'achats massifs de terres françaises par des acteurs financiers ou des fonds étrangers, dont s'inquiète à juste titre la fédération nationale des SAFER ?

    À l'occasion de la préparation de la conférence environnementale des 14 et 15 septembre dernier, la fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles, ou FNSEA, se serait montrée volontariste sur une politique de préservation du foncier agricole.

    En sera-t-il question dans le futur projet de loi sur l'urbanisme qui devrait être présenté par Mme la ministre de l'égalité des territoires et du logement au cours de l'année 2013 ?

    J'ajoute que, dans son communiqué de presse tout récent, l'Assemblée permanente des chambres d'agriculture insiste sur « l'urgence de freiner le processus de consommation des sols qui entraîne une perte de production, une baisse de potentiel de la biodiversité et une accumulation des contraintes sur le foncier agricole ».

    À l'heure où la demande alimentaire mondiale ne cesse d'augmenter, l'enjeu stratégique que représente l'espace agricole en commande une gestion durable.

    En outre, la fin programmée du « tout pétrole » promet un bel avenir aux agrocarburants ; il faudra donc produire davantage et, pour cela, posséder la terre !

    La préservation du potentiel agricole est une notion nouvelle et primordiale à prendre en compte. Ainsi, certains proposent que la taxe sur le changement de destination des espaces agricoles soit augmentée au moins de 10 % à 15 %, seuil qui serait dissuasif, mais aussi que les nouvelles commissions départementales de classement des terres mises en place par la loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche, dite LMA, du 27 juillet 2010 donnent un avis plus contraignant que simplement consultatif.

    Monsieur le ministre, je souhaiterais que vous puissiez apporter des garanties sur votre volonté de limiter l'accaparement des terres agricoles.

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agro-alimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 03/10/2012 - page 3375

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  • Prix alimentaires mondiaux : flambée (29 08 2012)

    Prix alimentaires mondiaux : flambée

    Extraits d’un article de Monsieur Eric de La Chesnais publié le 9 août 2012 sur le site du Figaro (cliquer ci-dessous pour accéder au site du Figaro)

    http://bourse.lefigaro.fr/devises-matieres-premieres/actu-conseils/les-prix-alimentaires-flambent-dans-le-monde-259993.html

    Après trois mois de fléchissement, l’indice FAO des prix des produits alimentaires a bondi de 6% en juillet 2012. En cause : la sécheresse qui sévit aux Etats-Unis et en Russie…/…

     

    Les méfaits de la sécheresse affectant les récoltes de maïs aux États-Unis et celles de blé en Russie ont fait grimper les prix de ces deux céréales respectivement de 23% et de 19% le mois dernier…/… Les pluies intempestives au Brésil, premier exportateur mondial de sucre, ont entravé la récolte de canne à sucre,…/…

    Enfin, la viande, pour le troisième mois d’affilée enregistre une diminution des cours à 168 points en juillet, soit une baisse de 1,7%.

  • Industrie France : avril 2012 (04 07 2012)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 20 juin 2012 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=91&date=20120620.html

    Les commandes dans l'industrie augmentent en avril 2012 (+1,7 %)

    Au mois d’avril 2012, les commandes sont en hausse (+1,7 %) dans l’industrie hors matériels de transport (mais y compris automobile). Elles étaient stables en mars (+0,0 %). Les commandes augmentent surtout à l’exportation (+2,8 %).

    Au premier trimestre 2012, les commandes augmentent de 1,6 %

    Au cours des trois derniers mois (T/T-1), les commandes augmentent dans les « autres industries » (+2,9 %) et dans l’automobile (+2,8 %). En revanche, elles diminuent dans les équipements électriques, électroniques, informatiques et autres machines (-3,4 %).

    Sur cette même période, les commandes en provenance de l’étranger sont quasi stables (+0,2 %).

    Les commandes hors matériels de transport autres qu'automobile

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  • Les métiers en 2020 (11 05 2012)

    Synthèse d’une étude menée conjointement par le CAS et la DARES et publiée le 15 mars 2012 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ci-dessous pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/les-metiers-en-2020-note-cas-dares.html

    Les exercices de prospective des métiers et des qualifications, menés conjointement par le Centre d’analyse stratégique (CAS) et la Dares depuis la fin des années 90, permettent d’examiner les perspectives d’évolution à moyen terme de l’emploi par métiers. Entre 2010 et 2020, le nombre de postes à pourvoir devrait se maintenir à un niveau élevé, en raison principalement des départs en fin de carrière.

    ·         Les métiers en 2020 : progression et féminisation des emplois les plus qualifiés ; dynamisme des métiers d’aide et de soins aux personnes

    Ce quatrième exercice présente des projections de postes à pourvoir par métiers à l’horizon 2020, en fonction des départs en fin de carrière attendus dans les dix ans mais aussi du nombre possible de créations d’emploi à cet horizon. Fondées sur un jeu d’hypothèses macroéconomiques relativement prudentes, ces projections laissent entrevoir les tendances suivantes.

    Le nombre de postes à pourvoir restera élevé du fait de nombreux départs en fin de carrière entre 2010 et 2020

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  • Conjoncture : avril 2012 (25 04 2012)

    Conjoncture : enquête avril 2012

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 23 avril sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=62&date=20120423.html

    En avril 2012, le climat conjoncturel est morose mais se redresse légèrement dans les services

    Ensemble des services

    D’après les chefs d’entreprise interrogés en avril 2012, la conjoncture dans les services reste morose. Après s’être légèrement amélioré en mars, l’indicateur synthétique du climat des affaires se stabilise en avril, et s’établit à 93, soit toujours en dessous de sa moyenne de long terme (100). Toutefois, l’indicateur de retournement se redresse et signale un climat conjoncturel favorable.

    Les entrepreneurs estiment que l’activité a ralenti sur la période récente, mais leurs anticipations d’activité pour les mois à venir se redressent légèrement. Les chefs d’entreprise s’attendent à ce que la demande soit plus favorable ces prochains mois.

    Ils estiment que leur résultat d’exploitation s’est dégradé sur la période récente, et restent pessimistes dans leurs anticipations pour les prochains mois.

    Les perspectives générales restent moroses mais se redressent par rapport au mois de mars : elles gagnent trois points.

    Toujours peu de créations d’emploi

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