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retraiteshospitaliers64 - Page 342

  • Papiers personnels : durée de conservation (08 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui, à titre de rappel, cette note d’information publiée le 21 juin 2017 sur le site du ministère de l’économie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’économie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/delais-conservation-papiers-personnels?xtor=ES-39-[BI_110_20190226]-20190226-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/delais-conservation-papiers-personnels]-472132.html 

    Savez-vous combien de temps conserver vos papiers personnels ?

    Quittances de loyer, contrat d’assurance, contrat de prêt immobilier, talons de chèques, jugement de divorce, factures d’électricité, bulletins de salaires... les documents de la vie quotidienne sont nombreux. Leur délai légal de conservation varie selon la nature du document. Quelques rappels des délais par type de documents.

    La conservation des documents personnels a pour objectif de permettre de prouver l’existence d’un droit ou le respect d’une obligation. Les délais de conservation varient en fonction de la nature des pièces. Certains documents administratifs doivent être conservés à vie, d’autres ont des délais de conservation plus courts prévus par la réglementation.

    Durée de conservation des documents liés à votre situation familiale

     

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  • Urgences hospitalières (07 03 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 février 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700421.html

    Question écrite n° 00421 de M. Jean Pierre Vogel (sénateur de la Sarthe)

    Jean Pierre Vogel demande à Mme la ministre des solidarités et de la santé de bien vouloir lui exposer la stratégie de ses services pour répondre à la situation dramatique des urgences des établissements hospitaliers français. La difficulté pour les médecins et services hospitaliers de garantir un service de qualité aux patients amenés à se rendre dans les structures précitées est chronique dans notre pays. On a un système hospitalier qui est à saturation.

     
    Les urgences ont mauvaise réputation : on y attend, longtemps parfois et en cas de crise sanitaire et d'afflux de patients, elles forment un goulot d'étranglement que le système de santé ne peut résorber. Améliorer la fluidité des urgences et diminuer les temps de passage nécessitent de repenser globalement le système par une meilleure coordination avec la médecine ambulatoire, une adaptation des services d'urgence et une réorganisation hospitalière. Il est urgent de sortir des clichés du type "les patients n'ont rien à faire aux urgences". Ils y viennent faute d'alternative. La réponse de l'État doit être de réorganiser le premier recours en soins non programmés et d'urgence. Les services d'urgence, c'est la partie émergée de l'iceberg. Mais tous les services d'hospitalisations, les médecins libéraux tirent aussi la sonnette d'alarme. En effet, le bilan s'aggrave. Les déserts médicaux se sont agrandis (l'Ordre des médecins prévoit une baisse de 25% du nombre des généralistes entre 2007 et 2025), les dépassements d'honoraires n'ont pas régressé, et les refus de soins sont en hausse. Un bilan négatif concernant les inégalités de santé.

     
    Aujourd'hui, jusqu'à un tiers des Français ont des difficultés d'accès géographique à trois spécialités (pédiatres, gynécologues, ophtalmologistes), et un quart aux médecins généralistes. Dès lors que l'on souhaiterait se soigner au tarif de la sécurité sociale, ce sont plus de huit Français sur dix qui manquent de gynécologues et d'ophtalmologistes sans dépassements d'honoraires à moins de quarante-cinq minutes de leur domicile. La première cause est géographique. Malgré la multiplication des mesures incitatives à destination des médecins, la répartition géographique des professionnels de santé s'est dégradée. En quatre ans, 27 % des Français ont vu leur accès géographique aux généralistes reculer, et jusqu'à 59% pour les gynécologues. La deuxième cause est liée aux tarifs : les dépassements d'honoraires ont continué à croître depuis 2012. Faute de pouvoir se faire soigner chez leur médecin de ville, les patients se rabattent trop souvent sur les services d'urgences des hôpitaux. Résultat, non seulement les urgences sont débordées, mais, en plus, l'assurance maladie paie plus cher : une admission est facturée plusieurs centaines d'euros, contre quelques dizaines pour la consultation en ville. Pire encore d'autres renoncent purement et simplement à se faire soigner avec le risque de pathologies plus graves qui ne sont pas sans conséquence sur les patients fragiles et qui nécessitent bien souvent des moyens plus importants et donc des traitements souvent plus couteux. 

    Il apparaît clairement que le contrat d'accès aux soins mis en place en 2013 pour réguler les dépassements d'honoraires et les diverses mesures incitatives pour attirer les médecins dans les déserts médicaux ne suffisent pas aujourd'hui à garantir l'accès à tous à des soins de qualité. Pire la situation s'aggrave !

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures pour répondre à cette situation, intolérable pour les patients des hôpitaux français et plus généralement enrayer la pénurie de médecins généralistes qui affecte aussi bien des territoires ruraux que des zones urbaines et améliorer l'efficience de notre système de soins.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 14/02/2019 p. 858

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  • Sophia : service gratuit pour diabétiques (06 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13222?xtor=EPR-100.html 

    Sophia : un service d'accompagnement pour les diabétiques

    Publié le 14 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Informations sur la maladie, conseils pratiques, soutien personnalisé par des infirmiers... L'Assurance maladie propose le service ″sophia diabète″ pour vous aider à mieux vivre avec la maladie.

    Le diabète est une affection métabolique caractérisée par une hyperglycémie chronique (taux de glucose dans le sang trop élevé) liée à une insuffisance ou à une mauvaise utilisation de l'insuline, hormone secrétée par le pancréas, ou même aux deux. Il existe différents types de diabète.

    Cette maladie concerne plus de 3,5 millions de personnes en France et le nombre de personnes atteintes est en constante augmentation. Elle se développe souvent silencieusement au début et peut être à l'origine de complications sérieuses. Cependant, il est possible d'agir pour en limiter les conséquences avec un traitement adapté et de bonnes habitudes.

    Qu'est-ce que sophia diabète ?

    C'est un service proposé par l'Assurance maladie depuis 2008 pour aider les personnes diabétiques à mieux connaître et gérer leur maladie et à adapter leurs habitudes afin de limiter les risques de complications et d'améliorer leur qualité de vie.

    Il offre des informations et des conseils qui permettent de connaître le suivi de la maladie et ses traitements, de mieux comprendre les résultats d'examens et l'importance de les faire régulièrement, d'identifier les risques de complications, d'adapter les habitudes de vie au quotidien, d'apprendre à surveiller la glycémie, de pratiquer une activité physique adaptée... Il donne aussi la possibilité d'échanger par téléphone avec un infirmier-conseiller en santé, en soutien des consultations avec le médecin traitant.

    C'est un service gratuit et sans engagement. Chaque adhérent est libre de le quitter à tout moment sur simple demande.

    Quelles conditions pour en bénéficier ?

    • être pris en charge en affection de longue durée (ALD) ;
    • avoir plus de 18 ans ;
    • bénéficier d'au moins 3 prescriptions par an de médicaments pour traiter votre diabète ;
    • avoir déclaré un médecin traitant.

    Comment s'inscrire ?

     

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  • Emploi des travailleurs handicapés (05 03 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 février 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2019/qSEQ190208803.html

    Question écrite n° 08803 de Mme Évelyne Perrot (sénatrice de l’Aube)

     

    Mme Évelyne Perrot attire l'attention de Mme la ministre du travail sur la réforme de l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés (OETH) prévue par la loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel et qui devrait être applicable au 1er janvier 2020.

     

    Afin de favoriser l'emploi direct des personnes handicapées, la loi prévoit désormais que les contrats de sous-traitance passés par les entreprises ou collectivités aux établissements d'aide par le travail (ESAT), aux entreprises adaptées (EA) et aux travailleurs indépendants en situation de handicap (TIH), qui représentent au total près de 250 000 travailleurs en situation de handicap, ne pourront désormais plus être comptabilisés pour remplir leur obligation d'emploi. Dès lors, les donneurs d'ordres ne seront plus incités de la même manière à avoir recours à la sous-traitance.

     

    Elle lui demande donc si elle peut lui indiquer comment le Gouvernement compte garantir une neutralité financière pour les ESAT, EA et TIH dont les activités pourraient être impactées par la réforme de l'OETH qui vise pourtant à améliorer l'accès au travail des personnes handicapées.

     

    Réponse du Ministère du travail publiée dans le JO Sénat du 14/02/2019 p. 876

     

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  • Médicaments homéopathiques : prise en charge (04 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13221?xtor=EPR-100.html

    Médicaments homéopathiques : quelle prise en charge ?

    Publié le 14 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Alors que les médicaments homéopathiques sont aujourd'hui remboursés aux taux de 30 % par l'Assurance maladie, qu'en est-il de la position du ministère des Solidarités et de la Santé en matière de prise en charge de ce type de médicaments ? C'est le sens de la question posée par une sénatrice au ministère.

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  • Prix anti-Nobel (IG Nobel) 1991-2018 (03 03 2019)

    Nous soumettons à la curiosité amusée de nos lecteurs des extraits (un nouveau, cumulé chaque dimanche) du palmarès remarquable des Prix IG Nobel (ou anti-Nobel) décernés chaque année sous le patronage de la revue Annals of Improbable Research (cliquer ici pour accéder au site Improbable Research), et également classés sur le site Wikipedia

    http://improbable.com/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Ig_Nobel

     

    Prix décernés en 2018

     

    Médecine reproductive : à John Barry, Bruce Blank et Michel Boileau, pour l'utilisation de timbres-poste afin de tester si l'organe sexuel mâle fonctionne correctement dans leur étude « surveillance de la tumescence nocturne du pénis avec des timbres »

     

    Prix décernés en 2017

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