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HAD

  • Hospitalisation à Domicile (HAD) (07 11 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 août 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700727.html

    Question écrite n° 00727 de M. Michel Vaspart (sénateur des Côtes-d'Armor)

    Michel Vaspart attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'intérêt que représente l'hospitalisation à domicile (HAD) dans notre pays, à tous égards. L'HAD permet à un malade atteint de pathologies lourdes et évolutives de bénéficier chez lui (c'est-à-dire à son domicile personnel ou dans l'établissement social ou médico-social qui en tient lieu) de soins médicaux et paramédicaux complexes et coordonnés que seuls des établissements de santé peuvent lui prodiguer.

     

    Considérée auparavant comme une « alternative » à l'hospitalisation conventionnelle, l'HAD est, depuis la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, une modalité d'hospitalisation à part entière et les structures d'HAD sont considérées comme des établissements de santé. La Cour des comptes avait consacré un chapitre de son rapport sur l'application des lois de financement de la sécurité sociale, de 2013, à l'hospitalisation à domicile.

     

    À la demande de Mme la présidente de la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale, et des coprésidents de la mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (MECSS), la Cour a publié une communication prolongeant ses travaux sur les évolutions récentes de l'HAD, le 20 janvier 2016. Ce rapport constate que, malgré la stratégie de développement décidée par le Gouvernement et concrétisée par la publication d'une circulaire du 4 décembre 2013 à destination des agences régionales de santé (ARS) fixant pour objectif un doublement d'ici 2018 de la part d'activité de l'HAD, en la portant de 0,6 % à 1,2 % de l'ensemble des hospitalisations complètes, la place de l'hospitalisation à domicile progresse peu et demeure très secondaire dans les parcours de soins.

     

    Il souhaiterait comprendre les blocages qui empêchent semble-t-il son développement.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/08/2017 p. 2587

     

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  • Chimiothérapie et Hospitalisation à domicile (17 05 2016)

    Note d’analyse publiée le 26 février 2016 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2611406/fr/chimiotherapie-en-hospitalisation-a-domicile-une-pratique-a-developper.hml

    Chimiothérapie en hospitalisation à domicile : une pratique à développer

    ORGANISATION DES SOINS

    La chimiothérapie en hospitalisation à domicile (HAD) est une pratique encore peu développée. Pourtant, il serait essentiel qu’elle se répande. En effet, les patients sont nombreux à la plébisciter et cette pratique permet aussi de désaturer les plateaux techniques. La HAS a édité des recommandations en santé publique sur ce sujet en janvier 2015.

     

    La chimiothérapie anticancéreuse est le plus souvent réalisée dans les pôles d’hospitalisation de jour (HDJ) des établissements de santé. Mais l’augmentation de l’incidence des cancers et leur chronicisation accroissent les besoins. Aussi, le transfert d’une partie des activités de chimiothérapie au domicile semble pertinent.


    Une activité appréciée par les patients mais trop peu répandue


    En 2014, la chimiothérapie en hospitalisation à domicile (HAD) a été peu développée, voire totalement absente dans certaines régions.

    Peu d’études fiables permettent de mesurer la satisfaction des patients par mode de prise en charge. Toutefois, la majorité des structures d'HAD interrogées par les experts de la HAS lors d’enquêtes de terrain ont souligné la satisfaction et le confort des patients. Ceci est d’autant plus vrai que la population est fragile – personnes âgées, enfants, personnes atteintes de cancers métastasiques – ou que les injections de chimiothérapie sont fréquentes.

    Les chimiothérapies sont réalisées dans les mêmes conditions de qualité et de sécurité qu’en HDJ, notamment pour la préparation des solutions médicamenteuses.


    Le point sur certaines des recommandations :

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  • Hospitalisation à domicile : prise en charge (29 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 31 janvier 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-118594QE.htm

    Question n° 118594 de M. Pierre Bourguignon (député Socialiste de Seine-Maritime)

    M. Pierre Bourguignon attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la possibilité d'une mise sous entente préalable des prises en charge en hospitalisation à domicile (HAD). Cette proposition se trouve dans le rapport "Charges et produits pour l'année 2012" de la CNAMTS qui veut ainsi maîtriser les coûts de certaines interventions jugés parfois trop élevés.

    Le délégué régional de Haute-Normandie de la Fédération nationale des établissements d'hospitalisation à domicile lui a fait part de son inquiétude devant les probables dysfonctionnements liés à cette forme de régulation. Sans remettre en cause les nécessaires contrôles effectués par la CNAMTS, ses craintes portent sur le délai d'attente pour l'obtention de l'autorisation de l'organisme payeur pour l'admission du patient. Or les établissements d'HAD doivent répondre aux demandes des médecins dans un délai de 24 heures à 48 heures.

    L'utilité de ces établissements a été formellement reconnue lors de la réforme hospitalière de 1991 et leur activité (définie à l'article R. 6121-4) se trouve rigoureusement encadrée par le code de santé publique depuis 1992. D'ailleurs, la CNAMTS, reprenant les termes de la loi hôpital, patients, santé et territoires du 21 juillet 2009, spécifie dans son rapport que l'HAD est reconnue comme "une modalité d'hospitalisation à part entière". Elle juge que les établissements concernés respectent, pour la plupart, les règles de codage qui leur sont imposées. Enfin, dans le contexte du vieillissement de la population, l'HAD constitue une des réponses à la prise en charge de la dépendance, comme au souhait de nombreux patients de pouvoir bénéficier de soins chez eux.

    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures le Gouvernement prévoit de présenter dans le futur projet loi de financement de la sécurité sociale, afin de trouver un juste équilibre entre maîtrise des coûts et développement de l'hospitalisation à domicile.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 31/01/2012 p. 952

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  • hospitalisation à domicile : point (06 10 2008)

    Développement de l'hospitalisation à domicile

     

     

    Question et réponse lues le 5 octobre 2008 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au texte original)

     

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ071102355&idtable=q182971|q184547|q185954|q186092|q186491|q188117|q188380|q188610|q200143|q200462&ct=3_7_10_14_15_16_23_24_25_26_30_31_32&rch=qb&de=20080927&au=20081003&dp=1+an&radio=deau&date=dateJORep&aff=ar&tri=da&off=0&afd=ppr&afd=ppl&afd=pjl&afd=cvn

     

     

    Question écrite n° 02355 de M. Jean-Marc Juilhard (sénateur UMP du Puy-de-Dôme)

     

     

    M. Jean-Marc Juilhard attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur le développement de l'hospitalisation à domicile.

     


    La circulaire DHOS/3 n°2006-506 du 1er décembre 2006 relative à l'hospitalisation à domicile fixe le cadre général de développement de l'hospitalisation à domicile et vise à lui donner une nouvelle impulsion.

    Les schémas régionaux d'organisation sanitaire (SROS) intègrent le développement de l'hospitalisation à domicile.

     


    Ainsi sur de nombreux territoires où l'hospitalisation à domicile n'existait pas, en Auvergne par exemple, des structures (publiques, associatives à but non lucratif ou privées) se positionnent et préparent les partenariats nécessaires avec les hôpitaux, hôpitaux locaux, médecins de ville, professions libérales, services à domicile afin d'organiser la continuité des soins.

     


    Il souhaite avoir des éléments de précision sur les conventions de partenariats et notamment sur l'articulation hospitalisation à domicile–services à domicile, hospitalisation à domicile–services de soins infirmiers à domicile (SSIAD), notamment.

     


    La bonne articulation des intervenants conditionnera en effet la qualité de l'hospitalisation à domicile.

     

     

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