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santé - Page 167

  • Intoxication au monoxyde de carbone (22 10 2015)

    Extrait d’une note d’information publiée dans le n° 119 d’octobre 2015 de la brochure EQUILIBRES de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/equilibre/numeros/119/intoxication-monoxyde-carbone.asp

    Les intoxications au monoxyde de carbone (CO) figurent parmi les risques graves de l’hiver. Selon les données de l’Institut de veille sanitaire (InVS), entre le 1er septembre 2014 et le 31 mars 2015, près de 3 500 personnes ont été exposées à des émanations de ce gaz, plus de 2 000 ont été prises en charge par un service d’urgence hospitalière et 34 en sont mortes. A l’approche de l’hiver, l’Inpes renouvelle donc ses messages de prévention.

    Le monoxyde de carbone est un gaz dangereux, invisible et inodore. Il entraine fatigue, nausées, malaises et peut être mortel.

    L’hiver est la période d’utilisation des appareils de chauffage, qui peuvent causer des intoxications au monoxyde de carbone. En effet, celles-ci sont le plus souvent dues à un mauvais fonctionnement ou mauvais usage d’un appareil à combustion (chaudière, cuisinière, etc.) ou à une absence d’aération et/ou de ventilation. Les causes d’intoxications récurrentes sont également : l’usage prolongé d’appareils de chauffage d’appoint et l’utilisation inappropriée de groupes électrogènes, de braseros ou de barbecues (à l’intérieur des locaux, par exemple), tout particulièrement en période de grand froid ou de coupure d’électricité.

    Des documents d’information accessibles à tous

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  • Maladie de Parkinson : plan (21 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130807729.html

    Question écrite n° 07729 de M. Louis Nègre (sénateur des Alpes-Maritimes)

     

    M. Louis Nègre attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le retard de la mise en place des vingt propositions du plan Parkinson. 

    En effet, sur les vingt propositions établies dans un livre blanc en 2009, à la suite des états généraux de la maladie, seulement deux d'entre elles ont été mises en place. 

    De plus, il est important de rappeler qu'aujourd'hui, la maladie de Parkinson touche 150 000 personnes en France, et frappe 14 000 nouveaux foyers chaque année. La moitié d'entre eux ont moins de 50 ans, et un sur dix a moins de 40 ans. 

    Selon l'étude « Parkinson et souffrances de vie », établie par le cabinet A+A, les personnes atteintes de cette maladie se plaignent, à 83 %, d'une fatigue excessive, à 79 %, de rencontrer des difficultés à écrire et, à 59 %, de souffrir d'une élocution difficile. 

    En outre, les situations décrites par les associations sont préoccupantes. Les 24 centres régionaux se partagent un budget de trois millions d'euros et ne disposent pas de consignes directes, émanant d'un plan Parkinson globalisé. 

    Il souhaite donc savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour accompagner et aider ces personnes atteintes de la maladie de Parkinson. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2298

     

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  • Antibiorésistance : plan de lutte (20 10 2015)

    Communiqué de presse publié le 23 septembre 2015 par le ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Santé)

    http://www.social-sante.gouv.fr/actualite-presse,42/communiques,2322/lutte-contre-l-antibioresistance,18061.html

    Lutte contre l’antibiorésistance : Marisol Touraine sonne la mobilisation complète des pouvoirs publics

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a reçu aujourd’hui le rapport du groupe de travail spécial piloté par le Dr Jean CARLET pour la préservation des antibiotiques.

    L’antibiorésistance est un enjeu majeur de santé publique. L’étude BURDEN BMR, conduite par l’Institut national de veille sanitaire (InVS), permet, pour la première fois, de mesurer son impact sur la santé des populations : chaque année, près de 160 000 patients contractent une infection par un germe dit multi-résistant et près de 13 000 en meurent directement.

    Face à l’ampleur de ces chiffres, Marisol TOURAINE sonne aujourd’hui la mobilisation complète des pouvoirs publics pour lutter contre ce phénomène et réduire significativement le nombre de victimes. Avec deux objectifs, précisés par la ministre : « réduire de 25 % la consommation globale d’antibiotiques et faire passer la mortalité liée à l’antibiorésistance au-dessous de la barre des 10 000 décès par an d’ici 2017 ». La ministre a présenté à cette fin une feuille de route construite, sur la base des recommandations du rapport du Dr Jean CARLET, autour de quatre axes :

    Assurer un pilotage national des actions de lutte contre l’antibiorésistance ; 
    Encourager la recherche et l’innovation sur la résistance aux antibiotiques, à travers le lancement, dès 2016, d’un plan national interdisciplinaire de recherche sur l’antibiorésistance, piloté par l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan) et l’Alliance nationale de recherche pour l’environnement (AllEnvie) ;

    Permettre à la société civile de s’emparer du sujet, en initiant des actions de pédagogie et des campagnes de communication en lien avec les associations de patients et d’usagers ; 
    Défendre la reconnaissance d’un statut à part pour les antibiotiques, pour promouvoir la recherche de ces médicaments et faciliter l’accès de nouveaux médicaments sur le marché.

    Parce qu’une action isolée de la France ne suffirait pas, Marisol TOURAINE souhaite par ailleurs inscrire cette mobilisation dans un cadre international. La ministre insistera ainsi, auprès de la Commission européenne et lors du prochain G7 Santé des 8 et 9 octobre prochains à Berlin, sur la nécessité d’une coordination internationale des initiatives prises par chaque Etat dans ce domaine.

    Cette feuille de route vient donner un nouvel élan à l’engagement de la France dans la lutte contre l’antibiorésistance, après, notamment, l’expérimentation de la vente d’antibiotiques à l’unité en pharmacie et la réduction de la consommation d’antibiotiques par les animaux.

    http://www.social-sante.gouv.fr/squelettes/images/icone-pdf.gifRapport Carlet - préservation des antibiotiques (pdf - 4.6 Mo)

  • Rappel de produits (mise à jour du 16 octobre 2015) (17 10 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    13/10/2015 Avis de rappel d’un siège bébé BTWIN STEPPY CADRE

    Nom du produit : Siège bébé BTWIN STEPPY CADRE pour vélos

    Marque : BTWIN

    Désignation ou modèle :

    ·         Références : Code 8165041 

    ·         Code-barres : 3218115008539 et 3218115008546

    Motif du rappel : Défaut de couture au niveau de la sangle pouvant entraîner la chute de l’enfant.

    Liste des rappels des 30 jours précédents :

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  • SIDA : autotest de dépistage (15 10 2015)

    Note d’information publiée le 14 septembre 2015 sur le site Service-Public (cliquer ici pour accéder au site Service-Public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/008458

    Sida : vente en pharmacie des autotests de dépistage à partir du 15 septembre 2015

    Publié le 14 septembre 2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

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    Les autotests de dépistage du Sida sont en vente en pharmacie à partir 15 septembre 2015.

    Les autotests de dépistage du Sida vont commencer à être progressivement mis en vente en pharmacie à compter du 15 septembre 2015. La vente de ces autotests en pharmacie avait été initialement prévue au 1er juillet 2015.

    À partir d’une goutte de sang, ces autotests doivent permettre de savoir en quelques minutes si une personne est positive ou non au VIH. Pour accompagner dans leurs démarches les utilisateurs de ces autotests, la plateforme téléphonique Sida info service est accessible au 0800 840 800 (appel anonyme et gratuit) 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.

    En France, 150 000 personnes vivent avec le VIH, dont 30 000 sans le savoir.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

     

  • Réduction des sucres ajoutés (12 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 septembre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ150315357.html

    Question écrite n° 15357 de M. François Marc (sénateur du Finistère)

     

    M. François Marc attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement sur la présence de sucres cachés dans l'alimentation. 

    Face aux premières anomalies métaboliques, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise de diminuer les sucres ajoutés, l'objectif étant une baisse de la ration de sucres rapides à 10 % de l'apport énergétique quotidien, voire à 5 %.

     
    Le gras et le sucré sont en effet présents dans nombre de produits industriels et participent des phénomènes de surpoids et d'obésité. Dans ses préconisations, l'OMS vise les sucres simples, utilisés industriellement. Ces sucres dits "rapides" présentent en effet une certaine nocivité pour l'organisme, notamment chez les plus jeunes. Face aux premiers dérèglements métaboliques observés, les nutritionnistes conseillent d'ailleurs d'habituer les enfants à boire de l'eau à table et d'éviter de leur donner des boissons sucrées.

     
    À travers la présente question, il souhaiterait connaître les dispositions que le Gouvernement entend prendre à l'égard des producteurs industriels proposant à la vente des produits concernés par ce type de sucre. 

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 03/09/2015 p. 2065

     

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