Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 166

  • Champignons : précautions (05 11 2015)

    Nous proposons cette fiche d’information publiée le 2 octobre 2015 sur le site de l’ANSES (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/l%E2%80%99automne-est-arriv%C3%A9-les-champignons-sortent-de-terre-nos-recommandations-pour-%C3%A9viter-les.html

    L’automne est propice aux promenades en forêt, panier sous le bras, à la recherche de champignons. Mais, chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues à la consommation de champignons sauvages. Voici quelques recommandations pour profiter de sa cueillette, mais sans les risques. 

    L’automne est souvent synonyme de balades en forêt, à la recherche de cèpes, de bolets et autres girolles. Mais, pour profiter de sa cueillette sans s’intoxiquer, il est indispensable d’apprendre à reconnaître les espèces et de suivre quelques recommandations.

    Entre le 29 juin et le 30 août 2015, l’Institut national de veille sanitaire (InVS) a déjà répertorié 212 cas d’intoxications alimentaires dues à la consommation de champignons sauvages. C’est pourquoi l’Agence souhaite rappeler aux amateurs de cueillette de champignons de :

    ·         ne pas ramasser un champignon en cas de doute sur son état ou son identification, certains champignons vénéneux ressemblent beaucoup aux espèces comestibles,

    ·         cueillir uniquement les spécimens en bon état et prélever la totalité du champignon (pied et chapeau) pour en permettre l’identification,

    ·         éviter la cueillette au bord de routes, d’aires industrielles, de décharges, etc. car les champignons concentrent les polluants,

    ·         déposer les champignons séparément, dans un panier, une caisse ou un carton mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement,

    ·         séparer les champignons récoltés par espèce, car un champignon vénéneux peut contaminer les autres,

    ·         bien se laver les mains après la récolte,

    ·         ne pas consommer sa récolte avant de l’avoir fait contrôler par un spécialiste en la matière : les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie peuvent être consultés,

    ·         les conserver dans de bonnes conditions au réfrigérateur et les consommer dans les 2 jours au maximum suivant la cueillette,

    ·         ne jamais les consommer crus, et les consommer en quantité raisonnable, de préférence de façon espacée dans le temps, après une cuisson suffisante.

    De façon générale, au moindre doute : jetez le champignon !

     

    Que faire en cas d’intoxication ?

    Les conséquences sur la santé d’une intoxication due à la consommation de champignons non comestibles peuvent être graves : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe, voire décès.

    En cas d’apparition d’un ou plusieurs des symptômes associés à une consommation de champignons de cueillette (tremblements, vertiges, troubles de la vue, nausées, vomissements…), appelez immédiatement un centre antipoison ou le Centre 15.

    Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les 12 heures après la consommation, mais dans certains cas, l’intoxication peut apparaître plus tard.

    Il peut être utile de noter les heures du ou des derniers repas, ainsi que l’heure d’apparition des premiers symptômes, et de conserver les restes de la cueillette pour une identification.

     

     

  • Rappel de produits (mise à jour du 30 octobre 2015) (31 10 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    28/10/2015 Avis de rappel de laser DISCO de marque CMP-LUMINO PARTY
    Risque de lésion de la rétine.
     

    Nom du produit : Appareil LASER DISCO

    Marque : CMP-LUMINO PARTY

    Désignation ou modèle : LA5393

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents :

    Lire la suite

  • Maladies neuro-dégénératives (30 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ141214012.html

    Question écrite n° 14012 de M. Daniel Laurent (sénateur de Charente-Maritime)

     

    M. Daniel Laurent attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur le plan pour les maladies neuro-dégénératives 2014-2019. Les familles et associations se réjouissent que les avancées apportées par les plans Alzheimer successifs puissent profiter aux personnes touchées par d'autres pathologies.

     

    Toutefois, en annonçant une liste de pathologies, non exhaustive et susceptible d'évoluer, le Gouvernement dévoile un plan sans pour autant en définir le périmètre. Si une approche commune peut être pertinente, et favoriser une compétence transversale à toutes ces pathologies, notamment en matière de recherche, les besoins des personnes malades, liés à leur âge ou à la prédominance des troubles moteurs ou cognitifs par exemple, ne peuvent être envisagés sous un seul et même angle.

     

    Le budget consacré à ce plan inquiète également : 470 millions d'euros, dont 270 millions d'euros seulement pour le volet sanitaire et médico-social, sont aujourd'hui censés répondre aux besoins de plus de 1 million de personnes malades, et de plus de 4 millions de personnes en y intégrant notamment leurs aidants familiaux. Cette somme apparaît insuffisante pour un plan de cette ampleur. Par ailleurs, aucune information n'a été apportée sur les sources du financement, le calendrier et les objectifs à court terme.

     

    En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui apporter les précisions idoines sur la mise en œuvre du plan.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2299

     

    Lire la suite

  • Arrêt cardiaque : prévention de la mortalité (26 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 1er octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131209796.html

    Question écrite n° 09796 de Mme Isabelle Debré (sénateur des Hauts-de-Seine)

     

    Mme Isabelle Debré attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le nombre très préoccupant de décès survenant par arrêt cardiaque chaque année en France. Près de quarante-mille arrêts cardiaques, soit cent-dix par jour, se produisent. Le taux de survie est estimé à un peu plus de 5 %, ce qui est faible au regard des statistiques observées dans plusieurs pays européens. Le nombre de vies susceptibles d'être épargnées est évalué à quatre mille par an.

     

    Un meilleur maillage du territoire en défibrillateurs cardiaques, notamment dans les enceintes sportives, l'amélioration de la formation de la population, notamment en milieu scolaire, le renforcement de l'information du grand public au moyen de campagnes de sensibilisation et l'élaboration d'une cartographie nationale des défibrillateurs installés sur le territoire, exhaustive et directement accessible pour le grand public, contribueraient à cet objectif.

     

    Elle lui demande de bien vouloir lui préciser les intentions du Gouvernement en matière de prévention de la mortalité par arrêt cardiaque et les moyens qu'il entend consacrer à cette cause qui mobilise sur le terrain de nombreux partenaires, en particulier associatifs.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 01/10/2015 p. 2298

    Lire la suite

  • Rappel de produits (mise à jour du 23 octobre 2015) (24 10 2015)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    15/10/2015 Avis de rappel d’un éthylotest électronique de marque MAXXTER
    Lecture incorrecte du taux d’alcoolémie.

    Marque : MAXXTER – vendu dans les magasins à enseigne ACTION

    Désignation ou modèle :

    ·         Ethylotest porteclés avec lampe de poche

    ·         Référence : GEMBIRD EUROPE BV – art. N° 2544381

    ·         Code-barres : 8716309084239

     

    15/10/2015 Avis de rappel de gants Leroy Merlin
    Certains de ces gants présentent un risque de sécurité pour l’utilisateur lors du contact avec la peau.

    Nom du produit : Gant DOCKER GEO 12

    Marque : GEOLIA

     

    15/10/2015 Avis de rappel de deux gants Weldom
    Certains de ces gants présentent un risque de sécurité pour l’utilisateur lors du contact avec la peau
    .

    Nom du produit : Gant DOCKER et Gant SOUDEUR

    Marque : GEOLIA (DOCKER) et DEXTER (SOUDEUR)

    Désignation ou modèle :

    ·         Référence DOCKER : DOCKER GEO12

    ·         Code-barres DOCKER : 3351840380263 / 3351840380270 / 3351840380287

    ·         Référence SOUDEUR : DX408BC

    ·         Code-barres SOUDEUR : 8424019633776

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents :

    Lire la suite

  • Alcoolisation fœtale (23 10 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 octobre 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130506514.html

    Question écrite n° 06514 de M. Jean-Claude Lenoir (sénateur de l’Orne)

     

    M. Jean-Claude Lenoir attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intérêt qu'il y aurait à diagnostiquer très tôt les enfants atteints de syndrome d'alcoolisation fœtale (SAF), à l'instar de ce qui se pratique au Canada. En effet, l'association « Vivre avec le SAF » estime que l'alcoolisation fœtale touche plus de 7 000 enfants par an en France et que 500 000 personnes de toutes classes sociales vivraient avec ce handicap sans le savoir.

     

    L'association rappelle en outre que le SAF provoque des lésions cérébrales entraînant de graves séquelles et qu'il est, dans sa forme grave, la première cause de déficience mentale non-génétique. Elle souligne également que 80 % des séquelles ne sont pas visibles mais sont à l'origine de troubles de l'apprentissage ou du comportement qui se traduisent souvent par l'échec scolaire, voire la délinquance. Sans diagnostic précoce, les enfants atteints du SAF risquent ainsi de développer des troubles secondaires graves. L'association « Vivre avec le SAF » estime à neuf milliards d'euros le coût du non-diagnostic des personnes atteintes de troubles consécutifs à l'alcoolisation fœtale (TCAF) dans notre pays.

     

    C'est la raison pour laquelle elle plaide pour la reconnaissance de ce fléau et pour le développement de centres de diagnostics. Il souhaiterait connaître les mesures que les pouvoirs publics envisagent de prendre pour limiter les conséquences du syndrome d'alcoolisation fœtale et pour lutter contre ses causes.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 15/10/2015 p. 2429

    Lire la suite