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santé - Page 286

  • vaccin HPV (point 28 décembre 2007)

    Questions parlementaires SENAT

    Lu sur le site du Sénat

    Prise en charge du vaccin contre le HPV Question écrite n° 01155 de M. Simon Sutour (Gard - SOC)

    M. Simon Sutour attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports
    sur la prise en charge du vaccin contre le Papillomavirus humain (HPV). En France comme dans le monde, le HPV est la maladie sexuellement transmissible la plus fréquente. Chaque année, en France, 3 400 nouveaux cas de cancer du col de l'utérus sont diagnostiqués dont 1 000 ne pourront être soignés, causant inéluctablement le décès de la patiente. Pourtant chacun sait qu'un vaccin existe. Son efficacité n'est plus à démontrer, il est conseillé aux adolescentes n'ayant pas encore eu de rapports sexuels de se faire vacciner. Le Conseil supérieur d'hygiène publique de France incite les pouvoirs publics à généraliser la vaccination chez les jeunes filles dès leurs quatorze ans. Alors même qu'il s'agit d'un véritable enjeu de santé publique, rien n'est sérieusement envisagé, tant le coût du vaccin est prohibitif. Le prix élevé de 500 euros non remboursés n'encourage pas les personnes concernées à acheter ce vaccin. En conséquence, il demande au Gouvernement les mesures qu'il compte prendre pour assurer le remboursement du vaccin contre le HPV.

    Réponse du Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports publiée dans le JO Sénat du 13/09/2007 - page 1628

    La ministre de la santé, de la jeunesse et des sports a signé le 5 juillet dernier l'arrêté modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux. Le vaccin contre le papillomavirus (HPV) est désormais remboursé à 65 % par la sécurité sociale. La prise en charge de ce vaccin concerne les jeunes filles âgées de quatorze ans et les jeunes filles et jeunes femmes de quinze à vingt-trois ans qui n'auraient pas eu de rapports sexuels, ou au plus tard dans l'année suivant le début de la vie sexuelle. Ces indications reprennent les recommandations faites par le Conseil supérieur d'hygiène publique de France. Toutefois, la vaccination ne dispensera pas les femmes d'un dépistage régulier par frottis cervico-utérin.

     

    Lien permanent Catégories : santé
  • cliniques et service public (25 décembre 2007)

    Les cliniques privées appelées à participer au service public

     

    Article de Mme Cécile Prieur lu sur le site du Monde le 25 décembre 2007

     

     

     

     

     

    Donner aux hôpitaux les moyens de faire face à la concurrence des cliniques privées tout en impliquant davantage ces dernières dans les missions de service public : c'est l'un des axes de réforme que devrait proposer la commission de réflexion sur les missions de l'hôpital, présidée par Gérard Larcher, sénateur (UMP) des Yvelines.

     

    Avant de rendre ses propositions à Nicolas Sarkozy, au printemps 2008, la commission a rendu public, vendredi 21 décembre, un premier état de ses réflexions : "Il s'agit de repenser le service public hospitalier dans son ensemble, a expliqué M. Larcher. Les établissements privés, qui sont financés par des fonds publics, comme les hôpitaux, doivent pouvoir rendre des comptes à la collectivité, notamment en termes d'accès aux soins."

     

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  • fiche ANHR : permanence des soins (nov. 2007)

    Fiche ANHR n° 15  (novembre 2007) Permanence des soins Comment se faire soigner la nuit et le week-end ?

    Malade le week-end, la nuit, les jours fériés… Une situation parfois difficile à régler. Urgent ? Pas urgent ? Mon médecin est-il de garde ? Qui faut-il appeler ? La réponse est loin d'être simple, car le dispositif de permanence des soins varie d'un département à l'autre et parfois même d'une ville à l'autre.

    Comment sont organisées les gardes des médecins

    Le décret du 15 septembre 2003 organise la "permanence des soins" pour permettre à chacun de se faire soigner en ¬dehors des heures d'ouverture des cabinets médicaux, c'est à dire la nuit de 20 heures à 8 heures les jours ouvrés, les dimanches et les jours fériés¬. Si vous avez besoin d'un médecin à ces moments-là, des tours de garde sont établis par des secteurs géographiques dans les départements. Ce décret indique que les médecins participent à la permanence des soins sur la base du volontariat.

    Qui faut-il appeler quand on est malade la nuit, le week-end ou les jours fériés

    Pas de règle générale sur ce sujet sur l'ensemble du territoire. Chaque département est unique ou presque. Il est divisé en secteurs où des médecins sont de garde à tour de rôle.

    Qui appeler ? Vous pouvez d'abord appeler votre médecin traitant : Ÿsoit il répond lui-même, Ÿsoit il a laissé sur son répondeur les coordonnées du médecin de garde, Ÿou conseille d'appeler le "15" en cas d'urgence, Ÿsoit encore, il a effectué un renvoi d'appel vers centre spécialisé dans la régulation par téléphone

    Si la voie de votre médecin traitant n'est pas la bonne, et si on a la chance d'avoir à proximité une maison médicale de garde, on peut s'y rendre sans rendez-vous. Dans les grandes villes, on peut appeler SOS médecins. Enfin, on peut toujours se rendre directement aux urgences. Mais il vaut mieux réserver cette solution aux urgences vitales.

    Comment trouver une pharmacie de garde

    Pour trouver une pharmacie de garde la plus proche de chez vous, il existe plusieurs possibilités : ØConsultez le journal local, ØAppelez la gendarmerie ou la police le "17", En dehors des horaires, les pharmacies ont l'obligation d'afficher dans leur vitrine l'adresse de leurs collègues de permanence.
  • fiche ANHR : crédit pour les malades (nov. 2007)

    Fiche ANHR n°11 (novembre 2007) Crédit : plus facile pour les malades (Sur ce même sujet, voir aussi la note intégrée au blog le 23 juin 2007 : emprunt (risque aggravé de santé) : convention AERAS) Les personnes malades ou handicapées pourront désormais emprunter plus facilement. Banquiers, assureurs et associations de malades sont parvenus à un accord qui fait reculer la discrimination.

    Pas de prêt sans assurance

    Les banques conditionnent, presque toujours, l'octroi d'un prêt à la souscription d'un contrat d'assurance invalidité-décès. Or, lorsque le client présente, en raison d'une maladie ou d'un handicap, un risque trop important pour l'assureur, la garantie invalidité décès lui est refusée ou accordée moyennant une hausse des tarifs. Résultat : l'opération de crédit n'est pas réalisable.

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  • brèves (2 décembre 2007)

    Brèves (2 décembre 2007)

     

     

    Pétrole : Le baril de brut tombe sous 93 dollars après les stocks américains

    Les autorités de santé alertent sur les risques allergiques graves d'un médicament contre l'ostéoporose

     

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  • le rire chez l'homme 2 (conférence ANHR 64)

    ANHR 64 : Conférence de M. le Dr Louis Mouton (1er octobre 2007)

     

    « Le Rire chez l’Homme » (2 ème partie)

     

    Historique

     

    Le rire normal

     

    Les rires pathologiques

     

    Bibliographie

     

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