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prévention - Page 39

  • Obésité infantile : dépistage (07 04 2012)

    Note publiée le 13 février 2012 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2012/008-obesite-infantile.asp.html

    Parce qu’à ses débuts, l’obésité infantile ne se voit pas, il faut la dépister le plus tôt possible

    L’obésité et le surpoids concernent respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, le double par rapport à une dizaine d’année, même si ce chiffre semble se stabiliser. Pour aider les professionnels concernés dans leur pratique de dépistage et en complémentarité avec la recommandation professionnelle de la HAS sur la prise en charge, l’Inpes édite plusieurs documents.

    La prévalence de l’obésité et du surpoids chez les enfants et les adolescents a fortement augmenté entre les années 1980 et 2000 en France comme dans la majorité des pays industrialisés (Afssa, 2008). Ainsi, en 2006, 18 % des enfants âgés de 3 à 17 ans (16 % des garçons et 19 % des filles) sont en surpoids ou obèses, dont 3 % des garçons et 4 % des filles classés comme obèses (InVS, 2006). Cependant, une stabilisation de cette prévalence a été récemment observée chez les enfants de 5-6 ans entre 2000 et 2005 (Drees, 2010). Les données traduisent aussi de fortes inégalités sociales et une plus forte prévalence de l’obésité dans les familles modestes.

    L’obésité est multifactorielle : son développement repose sur des facteurs biologiques, comportementaux et environnementaux (offres alimentaire et en activité physique, marketing alimentaire, etc.). On considère aujourd’hui que c’est plus l’interaction entre ces facteurs et non un seul d’entre eux, qui va entraîner l’apparition de l’obésité.

    Une prévention pertinente

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  • Tabac : mesures préventives (24 02 2012)

    Avis publié le 25 janvier 2012 sur le site du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) (cliquer ici pour accéder au site du HCSP)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=5&clefr=253&ar=r&menu=09.html

    Avis relatif à l’augmentation des taxes sur le tabac en vue de réduire la prévalence du tabagisme en France

    Trois constatations conduisent aujourd’hui le Haut Conseil de la santé publique à émettre un avis relatif à la fiscalité des produits du tabac. La première est qu’aujourd’hui le tabagisme est reparti à la hausse aussi bien en population générale que chez les jeunes. La seconde est son coût lié à ses conséquences sur la santé des fumeurs estimé à plus de 47 milliards d’euros par an. La troisième est que l’outil de lutte contre le tabagisme le plus efficace, à savoir les augmentations des taxes sur les produits du tabac, n’a plus été mobilisé depuis 2004, dernière année de forte augmentation des taxes sur le tabac.

    Partant de ces constatations et considérant les contraintes que représentent l’impact de la consommation de tabac sur le revenu des populations les plus défavorisées ainsi que la contrebande et les achats transfrontaliers de tabac, le Haut Conseil de la santé publique recommande d’augmenter les taxes sur tous les produits du tabac en vue d’en augmenter le prix, de taxer à la même hauteur tous les produits du tabac (cigarettes, cigares, tabac à rouler, …) et, pour contenir la possible aggravation des inégalités de santé, de redéfinir les actions de prévention. Le Haut Conseil de la santé publique recommande en particulier d’adapter les messages et les actions de prévention aux différents groupes de populations de fumeurs, de développer des actions de recherche spécifiques, y compris des recherches interventionnelles pour diminuer le tabagisme des fumeurs appartenant aux catégories sociales les plus vulnérables de fumeurs et enfin d’augmenter le remboursement du sevrage tabagique.

    Afin d’éviter la dilution des responsabilités de la politique de lutte contre le tabac et pour mieux prendre en compte les aspects sanitaires, le HCSP préconise la création d’un pilotage unique du contrôle du tabac et de l’application de la Convention Cadre de Lutte contre le Tabac de l’OMS, dépendant directement du Premier ministre.

  • SIDA : bilan, perspectives (18 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 10 janvier 2012 sur le site de l’Assemblée nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-114248QE.htm

    Question n° 114248 de M. Jean-Claude Flory (député UMP de l’Ardèche)

    M. Jean-Claude Flory attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la prévention du sida dans notre pays. En effet, les progrès effectués depuis deux décennies quant à la recherche sur la maladie sont indéniables. Ceci dit, l'accès universel à la prévention et aux soins devient de plus en plus coûteux.

    Aussi, il lui demande quelles mesures il entend mettre en œuvre afin d'améliorer cette situation.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 10/01/2012 p. 323

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  • Conférences CIAPA : 1er semestre 2012 (13 02 2012)

    Calendrier 2012 des conférences en Pyrénées Atlantiques publié sur le site du Comité départemental d’Action et d’Information pour les Personnes Agées (cliquer ici pour accéder au site du CIAPA)

    http://www.ciapa.com/Page_accueil.htm

     

    CIAPA (COMITE DEPARTEMENTAL D'INFORMATION ET D'ACTION EN FAVEUR DES PERSONNES AGEES)

    100 avenue du Loup - Bâtiment Fuchsia - 64000 PAU

    Tél : 05 59 80 16 37 - Fax : 05 59 84 34 03 - Mail : ciapa@ciapa.com

     

     

    MERCREDI 15 FEVRIER DE 15H A 16H30 à MONTARDON (Maison pour Tous)

    Le CIAPA organise en partenariat avec l’ASEPT et la Communauté de Communes du Luy de Béarn

    une Conférence Débat sur :

    « AGE ET MEMOIRE ».

     

    MERCREDI 07 MARS DE 15H A 16H30 A SAUVAGNON (Maison pour Tous)

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  • Grand froid (07 02 2012)

    Note publiée initialement le 14 décembre 2009 et réactivée en février 2012 sur le site de l’INPES (cliquer ci-dessous pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/evenement_climatique/froid/index.asp.html

    Grand froid : quelques précautions à prendre ! 14-12-2009


    L’hiver est installé, les températures ont baissé… Ponctuellement, par vagues, dans certaines régions ou sur l’ensemble du territoire, le froid s’installe et atteint parfois des températures contre lesquelles les personnes vulnérables, telles que les personnes âgées ou les enfants, doivent se prémunir.

    Les bons réflexes en période de grand froid

    Pendant l’hiver, les températures avoisinent zéro et peuvent être à l’origine de risques pour la santé : hypothermie (diminution de la température du corps en dessous de 35°C), gelures pouvant conduire à l’amputation, aggravation d’éventuels risques cardio-vasculaires… Des gestes simples permettent cependant d’éviter les risques tout en prêtant une attention accrue aux enfants et aux personnes âgées qui, eux, ne se plaignent pas du froid !

    Le froid demande des efforts supplémentaires à notre corps, et notamment à notre cœur qui bat plus vite pour lutter contre le refroidissement. Ainsi, en période de grand froid, mieux vaut limiter les efforts physiques même lorsqu’on est en bonne santé. Sachez également que cela pourrait aggraver d’éventuels problèmes cardio-vasculaires.

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  • Diabète : journée mondiale (23 11 2011)

    Note publiée le 14 novembre 2011 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/.html

     

    Le diabète, maladie chronique en pleine expansion    (journée mondiale 14-11-2011)

    L’objectif de la Journée mondiale du diabète est de faire connaître la maladie, son ampleur croissante dans le monde et les façons de la prévenir. L’âge élevé, la sédentarité et le surpoids sont les principaux facteurs de risque du diabète de type 2, qui repésente 90 % des diabètes, ces deux derniers étant accessibles à la prévention. S’agissant de la lutte contre l’obésité, l’Inpes est investi depuis plusieurs années dans la mise en place du Plan national nutrition-santé qui agit sur l’alimentation et l’activité physique. Parmi les missions de l’Inpes figurent aussi l’expertise et le conseil en matière d’éducation du patient et son développement sur l’ensemble du territoire. L’Institut a ainsi développé différents travaux concernant les pratiques éducatives en santé : création d’un cédérom d’aide à l’action pour les équipes soignantes de patients diabétiques souhaitant mettre en place des démarches éducatives, enquêtes, publication et mise à disposition de supports d’informations sur le diabète avec l’Assurance Maladie, publication d’un référentiel de compétence en éducation thérapeutique du patient en cours, etc.

     

    Dans le monde

    L’initiative de cette Journée mondiale revient à la Fédération internationale du diabète (Onu) et à l'OMS et elle remonte à 1991. La date du 14 novembre a été choisie pour marquer l'anniversaire de Frederick Banting qui a joué un rôle dans la découverte de l'insuline (1922), un traitement vital pour les patients diabétiques. Le visuel du cercle bleu  repris depuis d’année en année pour cette Journée symbolise l’unité de la lutte mondiale contre le diabète. Elle revêt cette année une importance toute singulière avec la célébration des 90 ans de la découverte de l’insuline. L'OMS estime que plus de 356 millions de personnes dans le monde sont diabétiques. Le diabète est ainsi une maladie chronique en pleine expansion, qualifiée « d’épidémique ». Le diabète de type 2, qui est en grande partie lié à une surcharge pondérale et à une sédentarité, représente 90 % des diabètes rencontrés dans le monde.

     

    En France

    En France, plus de 2,3 millions de personnes sont atteintes, soit 3,8 % de la population générale. L’âge élevé, la sédentarité et le surpoids sont les principaux facteurs de risque. En tenant compte de l’évolution probable de la croissance de la population, de son vieillissement et de la fréquence de l’obésité, les études de projection de prévalence du diabète traité en France métropolitaine sont préoccupantes. Actualisées à partir de nouvelles données sur la fréquence de l’obésité, les projections prédisent entre 1999 et 2016 une augmentation de 44 % du nombre de personnes traitées pour un diabète (données non publiées) dans notre pays. Cette augmentation serait due pour 14 % à la croissance de la population, pour 48 % à son vieillissement lequel est inéluctable et pour 38 % à l’augmentation de l’obésité, laquelle peut être partiellement contrôlée.

     

    Le rôle de l’Inpes

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