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santé - Page 19

  • Projet de loi de Santé (27 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 19 février 2019 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    https://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/projet-loi-sante-quelles-sont-ses-principales-mesures.html?xtor=EPR-56.html

    Projet de loi Santé : quelles sont ses principales mesures ?

    La ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, a présenté le 13 février 2019 un projet de loi sur l’organisation et la transformation du système de santé. Ce projet de loi s’inscrit dans la stratégie « Ma santé 2022 », lancée en septembre 2018. Il entend répondre aux « défis actuels du système de santé » (inégalités territoriales, vieillissement de la population, etc.).

    Augmenter de 20% le nombre de médecins formés et lutter contre les déserts médicaux

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  • Sophia : service gratuit pour diabétiques (06 03 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 14 février 2019 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13222?xtor=EPR-100.html 

    Sophia : un service d'accompagnement pour les diabétiques

    Publié le 14 février 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Informations sur la maladie, conseils pratiques, soutien personnalisé par des infirmiers... L'Assurance maladie propose le service ″sophia diabète″ pour vous aider à mieux vivre avec la maladie.

    Le diabète est une affection métabolique caractérisée par une hyperglycémie chronique (taux de glucose dans le sang trop élevé) liée à une insuffisance ou à une mauvaise utilisation de l'insuline, hormone secrétée par le pancréas, ou même aux deux. Il existe différents types de diabète.

    Cette maladie concerne plus de 3,5 millions de personnes en France et le nombre de personnes atteintes est en constante augmentation. Elle se développe souvent silencieusement au début et peut être à l'origine de complications sérieuses. Cependant, il est possible d'agir pour en limiter les conséquences avec un traitement adapté et de bonnes habitudes.

    Qu'est-ce que sophia diabète ?

    C'est un service proposé par l'Assurance maladie depuis 2008 pour aider les personnes diabétiques à mieux connaître et gérer leur maladie et à adapter leurs habitudes afin de limiter les risques de complications et d'améliorer leur qualité de vie.

    Il offre des informations et des conseils qui permettent de connaître le suivi de la maladie et ses traitements, de mieux comprendre les résultats d'examens et l'importance de les faire régulièrement, d'identifier les risques de complications, d'adapter les habitudes de vie au quotidien, d'apprendre à surveiller la glycémie, de pratiquer une activité physique adaptée... Il donne aussi la possibilité d'échanger par téléphone avec un infirmier-conseiller en santé, en soutien des consultations avec le médecin traitant.

    C'est un service gratuit et sans engagement. Chaque adhérent est libre de le quitter à tout moment sur simple demande.

    Quelles conditions pour en bénéficier ?

    • être pris en charge en affection de longue durée (ALD) ;
    • avoir plus de 18 ans ;
    • bénéficier d'au moins 3 prescriptions par an de médicaments pour traiter votre diabète ;
    • avoir déclaré un médecin traitant.

    Comment s'inscrire ?

     

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  • 100% Santé (13 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 février 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ181107623.html

    Question écrite n° 07623 de M. Antoine Lefèvre (sénateur de l’Aisne)

    Antoine Lefèvre attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur l'importance de compléter le ″100 % santé″ pour éviter toute subsistance du reste à charge subi.

     

    Assurer aux Français un remboursement à 100 % sur leur lunette est une première étape indispensable, mais qui pourrait se révéler incomplète si par ailleurs ils doivent par exemple avancer les frais de leur remboursement (240 € en moyenne), choisir un équipement correcteur en méconnaissance de la prise en charge complémentaire à laquelle ils ont droit, ou subir un reste à charge en raison d'un remboursement fortement amoindri du aux pratiques des réseaux de soins (certains réseaux prévoient des remboursements différenciés de plus de 400 % !).

     
    Or, dans un contexte où la réforme du « 100 % santé » s'adresse d'abord aux Français les plus fragiles, le maintien de telles dispositions pourrait altérer sa portée effective en ce qu'elles créent une rupture d'égalité ; chaque euro cotisé ne donnant pas les mêmes droits selon leur professionnel de santé et brouillant le message social du ″100 % santé″.

     

    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui préciser la position du Gouvernement quant à la suppression du remboursement différencié, ainsi que les actions qu'il envisage pour lutter contre toutes les formes de reste à charge subi.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 07/02/2019 - p. 704

     

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  • Sucre caché : céréales enfants (08 02 2019)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 février 2019 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180404668.html

    Question écrite n° 04668 de M. François Bonhomme (sénateur du Tarn-et-Garonne)

    François Bonhomme attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la présence de sucres cachés dans les aliments de l'industrie agroalimentaire et plus spécifiquement dans les poudres chocolatées et les céréales pour enfants.

     
    Selon le magazine 60 millions de consommateurs, 70 % des sucres présents dans les aliments de l'industrie agroalimentaire seraient ajoutés et cachés. Une étude récemment publiée par 60 millions de consommateurs pointait ainsi du doigt la présence de « bombes de graisses » dans les céréales pour enfants. De nombreuses poudres chocolatées affichent ainsi des logos mettant en évidence la présence de fer, de vitamine D et de zinc alors que ces dernières, qui contiennent pourtant entre 76 et 86 % de sucres, ne mentionnent pas la présence de sucres.

     
    À l'heure où l'obésité et le surpoids ne cessent de gagner du terrain chez les enfants, il lui demande de bien vouloir lui spécifier les mesures envisagées par le Gouvernement afin de limiter la présence de sucres cachés dans les poudres chocolatées et les céréales pour enfants et ainsi protéger la santé des enfants.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 07/02/2019 p. 700

     

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  • Dossier Médical Partagé (05 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 27 décembre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/dmp/dossier-medical-partage-mise-oeuvre-deux-decennies.html?xtor=EPR-56.html

    Dossier médical partagé : une mise en œuvre sur deux décennies

    le 27 décembre 2018

    Le 6 novembre 2018, la ministre de la santé a annoncé la généralisation du dossier médical partagé (DMP) numérique à 40 millions de personnes d’ici cinq ans. Assimilé à un carnet de santé numérique, le DMP a été prévu par une loi de 2004 sous le nom de dossier médical personnel.

    Piloté depuis 2016 par la Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnam), le dossier médical partagé (DMP) doit permettre de faciliter la communication entre les patients et les professionnels de santé.

    Un carnet de santé numérique

    Le DMP est conçu pour mettre à la disposition de chaque bénéficiaire de l’assurance maladie un dossier médical électronique sécurisé, placé sous son contrôle et accessible par internet. Il est ouvert à l’ensemble des assurés à partir de 16 ans. Pour la plupart des assurés majeurs, le DMP peut être créé en ligne. Pour certains régimes particuliers, le DMP peut être ouvert en pharmacie ou auprès d’un professionnel de santé équipés d’outils informatiques adaptés ou encore auprès d’un conseiller de l’organisme d’assurance maladie d’affiliation.

    Il peut contenir les informations suivantes :

    • l’historique des soins des 24 derniers mois. La carte d’assuré social contient, elle, l’historique des remboursements sur les douze derniers mois ;
    • les résultats d’examens (radios, analyses biologiques) ;
    • les coordonnées des proches à prévenir en cas d’urgence ;
    • les antécédents médicaux (pathologies, allergies) ;
    • les comptes rendus d’hospitalisation ;
    • les directives anticipées de fin de vie.

    L’objectif poursuivi par les pouvoirs publics est d’améliorer la qualité et l’efficacité des soins, de lutter contre les interactions médicamenteuses dangereuses et d’éviter des répétitions inutiles et coûteuses d’examens médicaux ou de prescriptions.

    Le DMP a également pour ambition de responsabiliser le patient dans son parcours de soins. Lui seul, en effet, peut autoriser les professionnels de santé à consulter et à alimenter son DMP. L’accès au DMP d’un patient est réservé au patient ainsi qu’aux professionnels de santé expressément autorisés ou réputés l’être, du fait de leur appartenance à son équipe de soins. Toute décision concernant l’autorisation de consultation du carnet de santé numérique est soumise à l’autorisation de son détenteur. Les services d’urgence peuvent y accéder sauf mention contraire du détenteur d’un DMP.

    En dehors du médecin traitant, les médecins sont uniquement habilités à consulter certaines catégories de données dont la liste est fixée dans une matrice d’habilitations des professionnels de santé, élaborée par le ministère de la santé.

    Les titulaires d’un DMP peuvent consulter à tout moment la liste des personnes qui ont accédé aux données. La matrice d’habilitations des professionnels de santé précise que : "Tout accès en dehors des règles précitées est passible d’une peine d’emprisonnement et d’une amende, conformément au droit pénal, sans préjudice des poursuites qui pourraient être engagées devant les juridictions disciplinaires de l’ordre".

    Une mise en œuvre longue et chaotique

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  • Sports d’hiver : sécurité (04 02 2019)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 28 janvier 2019 sur le site du ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du ministère de l’Economie)

    https://www.economie.gouv.fr/particuliers/ski-securite-conseils?xtor=ES-39-[BI_106_20190129]-20190129-[https://www.economie.gouv.fr/particuliers/ski-securite-conseils]-472132.html

    Sports d'hiver : 10 conseils pour skier en toute sécurité

    par Bercy Infos,   le 28/01/2019 – 

    Vous vous apprêtez à partir à la montagne ? Avant de dévaler les pistes, prenez vos précautions : 150 000 personnes sont blessées chaque année en pratiquant un sport de glisse*. Retrouvez dix conseils pour pratiquer sereinement le ski, avec la direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).

     

    Conseil n°1 : vérifiez votre assurance

    Un accident étant vite arrivé, mieux vaut être bien couvert. Si vous blessez un autre skieur ou que vous vous blessez seul alors que vous n'êtes pas assuré convenablement, vous risquez de devoir payer des frais de secours et de responsabilité civile. « Vérifiez votre contrat d'assurance multirisques habitation pour savoir si elle couvre bien les accidents dont vous seriez responsable ou prenez une assurance spéciale », conseille la DGCCRF. De même, regardez si votre contrat couvre les frais de secours pour vous-même, qui peuvent s'élever à plusieurs milliers d'euros.

     

    Conseil n°2 : préparez-vous à l'effort

    « Un mois avant de partir, préparez votre corps à l'effort du ski », préconise la DGCCRF. Vous pouvez notamment travailler vos muscles des jambes, votre équilibre et votre souplesse, en particulier si vous ne pratiquez pas régulièrement un sport.

     

    Conseil n°3 : faites régler vos skis

    « Des fixations mal réglées sont à l'origine de la moitié des accidents de ski », rappelle la DGCCRF. Trop serrées ou trop lâches, elles peuvent provoquer des accidents, en particulier des entorses du genou. « Les professionnels (vendeurs, loueurs, moniteurs...) peuvent déterminer le réglage adapté », qui dépend notamment de votre taille, de votre poids et de votre niveau de pratique.

     

    Conseil n°4 : portez un casque

    Quel que soit votre âge, pensez à mettre un casque avant de partir sur les pistes. Vérifiez que celui-ci porte bien un marquage CE et attachez-le correctement. Les chutes et collisions peuvent en effet entraîner des traumatismes crâniens. « Attention aux simples protections du cuir chevelu qui ne conviennent pas aux sports de glisse sur piste », avertit la DGCCRF.

     

    Conseil n°5 : ne partez pas le ventre vide

    « Prenez le matin un petit déjeuner complet et ne sautez pas le repas du midi », recommande la DGCCRF. Avec le froid et l'effort, vos réserves s'épuisent plus rapidement. Pensez à boire régulièrement de l'eau, la sécheresse de l'air en montagne ayant des effets déshydratants. A contrario, les boissons alcoolisées sont à proscrire.

     

    Conseil n°6 : protégez-vous du soleil et du froid

    Choisissez des vêtements adaptés aux conditions, qui isolent du vent et de l'humidité. Protégez bien « vos lèvres et votre visage », rappelle la DGCCRF. Ce sont souvent les parties du corps les plus exposées car les moins couvertes. N'hésitez pas à utiliser crèmes solaires, sticks à lèvres et lunettes adaptées à la réverbération du soleil sur la neige.

     

    Conseil n°7 : renseignez-vous sur la météo

    Consultez chaque jour les conditions météorologiques de votre station. Vous pouvez retrouver ces informations sur Internet, par exemple sur le site de Météo France et notamment dans sa rubrique « Bulletin neige et avalanches » pour les risques d'avalanche.

     

    Conseil n°8 : adaptez votre comportement à la situation

    Une fois sur les pistes, « adaptez votre vitesse et votre comportement à vos capacités personnelles, ainsi qu'aux conditions générales du terrain et du temps, à l'état de la neige et à la densité du trafic », souligne la DGCCRF. Soyez notamment prudent lorsque vous dépassez d'autres skieurs, lorsque vous croisez d'autres pistes, lorsque vous chutez ou que vous vous arrêtez sur la piste.

     

    Conseil n°9 : vérifiez la signalisation

    Repérez et respectez les indications signalétiques sur les pistes : les niveaux de difficulté (de vert à noir), les numéros de balises pour indiquer votre position en cas d'accident ou encore les panneaux de danger (croisements, crevasses, avalanches...).

     

    Conseil n°10 : attention au hors-piste

    « Le ski hors-piste est réservé à ceux qui ont une bonne maîtrise de la pratique du ski », indique la DGCCRF. « Ne partez jamais seul et faites-vous accompagner par un professionnel de la montagne. » Ces zones n'étant pas sécurisées, vous y entrez à vos risques et périls. Pensez à prévenir de votre départ, de votre parcours et de votre heure prévue de retour. Emportez un appareil de recherche de victimes d'avalanche pour vous localiser en cas d'urgence, ainsi que quelques provisions. Et ne partez en aucun cas si un risque d'avalanche est annoncé ou si les conditions sont incertaines.