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retraiteshospitaliers64 - Page 650

  • Communes rurales : environnement et urbanisme (25 02 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 janvier 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ14110936S.html

    Question orale sans débat n° 0936S de M. Daniel Chasseing (sénateur de la Corrèze)

     

    M. Daniel Chasseing. Madame la ministre, je souhaite appeler votre attention sur les exigences environnementales applicables aux plans locaux d'urbanisme et aux communes n'ayant ni PLU ni carte communale. Ces exigences semblent trop souvent excessives aux élus locaux et leur donnent le sentiment de porter préjudice à l'intérêt même des communes et, plus généralement, à l'avenir de la ruralité.

    De nombreuses communes rurales éprouvent aujourd'hui des difficultés de plus en plus accrues pour réaliser leur PLU en fonction des critères issus du Grenelle 2 de l'environnement. Les élus concernés sont placés dans l'incapacité de respecter ce texte, étant confrontés à plusieurs problématiques, dont deux, au moins, ne sont pas résolues à ce jour : les propriétaires qui souhaitent vendre leur terrain ne le peuvent pas ; ceux qui souhaitent construire, agrandir ou modifier leur maison ne le peuvent pas davantage.

     

    Il résulte de ce constat une situation figée qui pénalise tout à la fois les habitants des zones rurales et ceux qui souhaitent s'y installer, ce qui, lorsque l'on y réfléchit quelque peu objectivement, est absurde. Je suis donc persuadé, comme la plupart des maires ruraux de France, que les anciennes dispositions des plans d'occupation des sols, les POS, doivent être globalement respectées : les communes doivent conserver a minima les possibilités de constructibilité à l'intérieur des périmètres déjà urbanisés ; il faut également que les distances de non-constructibilité - du type 300 mètres des rivières, par exemple, ou, plus fréquemment dans mon département, distance de recul par rapport aux projets agricoles, qu'il s'agisse de bâtiments ou de plans d'épandage - soient interprétées avec plus de discernement en regard des réalités de l'environnement ; enfin, il serait souhaitable que les services instructeurs de l'État privilégient une approche constructive de ces questions, conciliant certes le respect de la réglementation en vigueur, mais aussi, de façon plus pragmatique, l'intérêt des communes et de leurs habitants.

     

    En un mot, les maires ruraux, non seulement entendent bien conserver la maîtrise de leur PLU, mais encore demandent aux services de l'État de la souplesse, dans ce domaine comme dans bien d'autres, faute de quoi, à la longue, plus rien ne pourra être ni cédé ni construit dans le monde rural, ce qui accentuera son déclin.

    À ce problème déjà crucial pour le PLU, s'en ajoute un autre : celui des communes qui ne possèdent ni PLU ni carte communale - soit le tiers des communes de France -, assez nombreuses dans les départements comme le mien, où l'hyper-ruralité est particulièrement répandue. Là encore, le problème que j'évoque se pose encore plus fortement.

     

    Madame la ministre, l'espace rural français n'est pas ce musée de la nature, dévitalisé de toute activité, mais un ensemble de lieux, où naissent, vivent, travaillent et meurent des Français, qui, au nom de l'égalité républicaine, souhaitent bénéficier des mêmes droits que les autres, d'autant plus qu'ils font, eux aussi, partie intégrante du développement durable et devraient avoir le droit de maintenir la vie sur leurs territoires. Je vous remercie par avance de votre réponse qu'attendent nombre d'élus de la ruralité ou de l'hyper-ruralité.

     

    Réponse du Ministère du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité

    publiée dans le JO Sénat du 21/01/2015 p. 434

     

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  • Produits de grande consommation : prix janvier 2015 (24 02 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 19 février 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=103&date=20150219.html

    En janvier 2015, les prix des produits de grande consommation baissent de nouveau légèrement dans la grande distribution (—0,1 %)

    Indice des prix dans la grande distribution – Janvier 2015

     

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  • Simplification administrative : déroulement (23 02 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 janvier 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ14110940S.html

     

    Question orale sans débat n° 0940S de M. Gilbert Roger (sénateur de Seine-Saint-Denis)

     

    M. Gilbert Roger attire l'attention de M. le secrétaire d'État, auprès du Premier ministre, chargé de la réforme de l'État et de la simplification sur les premières mesures pour la simplification de la vie des particuliers, dont le principe du « silence vaut accord » entré en application le 12 novembre 2014.

     

    Il se félicite du premier train de mesures de simplification administrative et fiscale, mais s'inquiète d'un possible allongement du délai d'instruction auquel s'engage l'administration, notamment locale, en prenant le cas par exemple d'une instruction de permis de construire, par l'envoi d'une lettre de relance (avec demande d'une pièce supplémentaire ou d'informations complémentaires à fournir par le pétitionnaire), qui permettrait de faire courir de facto de nouveau le délai de cinq mois à partir de l'envoi dudit courrier administratif.

     
    Aussi, il souhaiterait savoir quelles mesures il compte prendre pour éviter ce type de dérive qui existe déjà et faire respecter strictement les nouveaux délais d'instruction de dossiers par l'administration.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, chargé des droits des femmes publiée dans le JO Sénat du 21/01/2015 p. 431

     

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  • Devinettes musicales (22 02 2015)

    Nous vous proposons d'orner votre dimanche par des devinettes inspirées des distractions des longues soirées d’hiver en Finlande : elles répondent au mécanisme des devinettes "Monsieur et Madame Untel ont un fils (ou 2, ou une fille, etc.) qui se prénomme....".

    Exemple : M. et Mme Thérieur ont 2 fils qui se prénomment ....   :  (Alain / Alex, naturellement) 

     

    Adapté pour les adeptes de la chanson populaire de Dranem à Dalida en passant par Luis Mariano (ou la Lorraine), ce sport intellectuel offre une double détente, tel un hamac qui se renverse :

    d'abord trouver le (ou les) prénom mystérieux qui précédant (ou suivant) un nom de famille cèle, même approximativement, le titre ou les premières paroles d’une chanson connue,

    ensuite entonner l'air et les paroles fidèles de la chanson. 

    Pour cette semaine,  voici une nouvelle famille évocatrice :

    Monsieur et Madame Chaidebriv-Lagaillarde ont un fils qui se prénomme : Omar………. (indice : Georges B.)

     

    Rappel des 10 épisodes précédents :

     

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  • Consommation de soins et de biens médicaux (21 02 2015)

    Dans un dossier intéressant et complet publié le 30 janvier 2015 par le site VIE PUBLIQUE et relatif à la protection de la Santé qui évoque les composantes, facteurs et réalités de ce thème majeur en France, nous avons extrait un volet (n°11 sur 16 : voir sommaire ci-dessous) sur la consommation de soins et de biens médicaux (cliquer ici pour accéder au site VIE PUBLIQUE)

    http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/protection-sociale/risque-sante/depenses-sante/quelle-est-evolution-consommation-soins-biens-medicaux.html?xtor=EPR-56.html

    Sommaire du dossier : La protection de la santé


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  • Personnes âgées : lutte contre la solitude (20 02 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 janvier 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130707539.html

    Question écrite n° 07539 de M. Christian Cambon (sénateur du Val-de-Marne)

     

    M. Christian Cambon attire l'attention de Mme la ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de l'autonomie, sur les associations qui luttent contre la solitude des personnes âgées.

     
    La population française a gagné en longévité (85 ans pour les femmes, 80 pour les hommes) mais la quantité de vie gagnée n'est pas toujours associée à la qualité. La société ne s'est pas organisée pour le « mieux être » des plus âgés. Les changements sociaux liés à l'habitat urbain, à l'éclatement des familles, à la disparition des petits commerces, à une baisse relative des pratiques associatives, favorisent la solitude des personnes âgées. Prés de 24 % des plus de 75 ans sont touchés par l'isolement contre 16 % en 2010. La solitude en France s'aggrave. Elle est considérée comme un facteur de risque de maladie d'Alzheimer et de dépendance. L'isolement peut avoir des conséquences graves en termes de santé publique.

     
    Pour lutter contre ce mal, l'association des petits frères des pauvres a publié un rapport proposant la création d'équipes citoyennes de mobilisation nationale contre l'isolement social des âgés (MONALISA). Les associations de jeunesse et d'éducation populaire ou l'agence nationale du service civique seraient également parties prenantes.

     
    Il lui demande quels moyens elle souhaite mettre en place pour favoriser ces initiatives et soutenir ces réseaux associatifs pour relever efficacement ce défi social.

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, chargé de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie

    publiée dans le JO Sénat du 15/01/2015 - page 113

     

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