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hospitalisation

  • Forfait hospitalier : tarif 2019 (11 07 2019)

     

     

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 2 juillet 2019 sur le site du Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13478?xtor=EPR-100.html

    Forfait hospitalier : quel nouveau montant ?

    Publié le 02 juillet 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Inchangé depuis 2010, le forfait journalier hospitalier est passé de 18 € à 20 € par jour en hôpital et en clinique privée conventionnée, et de 13,50 € à 15 € pour une hospitalisation dans un service de psychiatrie. C'est ce que précise un arrêté paru au Journal officiel du 27 juin 2019.

    Le forfait hospitalier correspond à la participation financière de chaque patient aux frais d'hébergement et d'entretien entraînés par son hospitalisation. Il est dû pour tout séjour supérieur à 24 heures dans un établissement hospitalier public ou privé, y compris le jour de sortie.

    Une exonération est possible dans certains cas :

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  • Personnes âgées : hospitalisation, prévention dépendance (04 11 2017)

    Nous vous proposons cette fiche de synthèse publiée le 27 octobre 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2801190/fr/prevenir-la-dependance-iatrogene-liee-a-l-hospitalisation-chez-les-personnes-agees.html

    Prévenir la dépendance iatrogène liée à l'hospitalisation chez les personnes âgées

    Fiche points clés organisation des parcours

    En France, près de 3 millions de personnes âgées de 70 ans et plus sont hospitalisées une ou plusieurs fois en services de soins aigus chaque année. Ces personnes âgées représentent près de 5,4 millions de séjours hospitaliers par an.

    Lors de ces hospitalisations, ces personnes peuvent perdre leur autonomie dans les activités de base de la vie quotidienne, on parle alors de dépendance liée à l’hospitalisation. Cette perte d’autonomie peut être due à plusieurs facteurs intriqués : certains sont liés au patient (sa pathologie et son état de santé avant l’hospitalisation) ; d’autres sont liés aux modalités de soins et à l’environnement hospitaliers. Dans ce dernier cas, on parle de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation, un phénomène en grande partie évitable qui concerne près de 10 % des personnes hospitalisées.

    Ce travail décrit les modalités de soins, les environnements et les organisations nécessaires pour répondre aux besoins spécifiques des patients âgés hospitalisés et lutter efficacement contre cette dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation.

    Il a été réalisé en coproduction par la Haute Autorité de Santé et le Collège national professionnel de gériatrie (CNPG).

    Points clés

    • Mettre en place dans l’ensemble des services hospitaliers recevant des personnes âgées de 70 ans et plus : le dépistage, la prévention, le suivi et le traitement des 6 causes principales de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation : le syndrome d’immobilisation, la confusion aiguë, la dénutrition, les chutes, l’incontinence urinaire de novoet les effets indésirables des médicaments.
    • Organiser dans l’établissement le recours à une expertise gériatrique pour les services hospitaliers recevant des personnes âgées, en particulier par le développement des équipes mobiles gériatriques hospitalières.
    • Adapter l’environnement et les équipements du service aux besoins spécifiques des personnes âgées.
    • Améliorer l’interface ville/ hôpital, à l’admission et en sortie d’hospitalisation.
    • Adapter l’organisation du service pour répondre à ces enjeux.

     

    • Ces mesures doivent s’inscrire dans le projet d’établissement et supposent une organisation ad hoc du fonctionnement des services, une démarche d’amélioration continue de la qualité, et la formation et l’accompagnement des personnels à tous les niveaux de l’organisation hospitalière (administrative, médicale et paramédicale), afin de mettre en place et de soutenir le changement des pratiques sur le long terme.

    Documents

     

  • Hôtels hospitaliers : expérimentation (22 08 2017)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’analyse publiée le 9 août 2017 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A11926?xtor=EPR-100.html

    Hôtels hospitaliers : le début d'une expérimentation pour 41 établissements de santé

    Publié le 09 août 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Un appel a été lancé par le précédent gouvernement en février 2017 auprès des hôpitaux souhaitant proposer un hébergement temporaire non médicalisé de patients, appelés « hôtels hospitaliers ». 41 établissements de santé ont été sélectionnés pour participer à cette expérimentation.

    L'expérimentation doit se dérouler sur une période de 3 ans.

    La prestation d'hébergement peut être réalisée, soit :

    • dans les locaux de l'établissement de santé autres que ceux réservés à l'hospitalisation ;
    • par un tiers (un prestataire hôtelier par exemple).

    Peuvent bénéficier de ce service, les patients qui ne nécessitent pas de soins médicaux particuliers et qui habitent seuls ou à distance de l'hôpital.

    Les frais à la charge du patient sont les mêmes que dans le cadre d'un hébergement à l'hôpital.

    Les hôtels hospitaliers ont notamment pour objectif d'éviter les nuits coûteuses à l'hôpital et d'améliorer le confort des patients (éviter les transports lors de soins répétitifs dans le cadre d'une radiothérapie par exemple).

    Texte de référence

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  • Frais d’hospitalisation (06 04 2016)

    Nous proposons aujourd’hui une question de député et la réponse du ministère publiée le 1er mars 2016 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-21623QE.htm

    Question n° 21623 de M. Stéphane Saint-André (député du Pas de Calais)

    Stéphane Saint-André attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur des problèmes de surfacturation d'hospitalisation. Certains hôpitaux ou cliniques n'hésitent pas au moment du paiement du séjour d'hospitalisation de facturer des chambres doubles au prix des chambres particulières. Ceci est la conséquence du traitement comptable de la santé et de la recherche de l'équilibre financier. Le problème est que cela a un coût pour la sécurité sociale et pour les mutuelles. Il lui demande quels sont les recours des patients après le paiement effectué

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée au Journal Officiel le 1er mars 2016

     

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  • Malades difficiles : hospitalisation, conditions (21 03 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 février 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130204900.html

    Question écrite n° 04900 de M. Jacques Mézard (sénateur du Cantal)

    M. Jacques Mézard attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'avis du 5 février 2013 du Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) relatif aux séjours injustifiés en unités pour malades difficiles (UMD).

     
    Il lui rappelle que l'article L. 3222-3 du code de la santé publique autorise l'admission en UMD des personnes qui « présentent pour autrui un danger tel que les soins, la surveillance et les mesures de sûreté nécessaires ne peuvent être mis en œuvre que dans une unité spécifique », les personnes concernées gardant le statut d'admis en soins psychiatriques à la demande du représentant de l'État. La sortie de l'UMD est, elle aussi, décidée par arrêté du préfet après avis de la commission du suivi médical de l'UMD, lorsqu'elle estime que le patient ne présente plus un danger tel qu'il nécessite son maintien dans l'unité. Cette décision doit être exécutée dans les 20 jours.


    Or il a été constaté par le CGLPL que ce délai n'est pas toujours respecté, malgré les avis favorables des commissions de suivi. Certains patients ont même dû attendre jusqu'à deux et demi avant leur réadmission. L'imprécision des textes déterminant l'autorité en mesure d'imposer l'établissement de réadmission d'un patient sorti d'une UMD sert trop souvent de prétexte pour cacher la réticence des établissements d'origine à réadmettre un patient. 

    Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelles suites elle entend donner à l'avis du CGLPL, notamment pour ce qui concerne la définition d'une procédure visant à déterminer sans délai, en cas de doute, l'établissement de retour du patient. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/02/2014 p. 527

     

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  • hospitalisation sous contrainte (14 01 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 janvier2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121002583.html

    Question écrite n° 02583 de M. Michel Teston (sénateur socialiste de l’Ardèche)

    M. Michel Teston appelle l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la procédure d'hospitalisation sous contrainte.

    Cette procédure, issue de la loi n° 2011-803 du 5 juillet 2011 relative aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge, permet notamment, en cas de péril imminent pour leur santé, une admission des personnes en hôpital psychiatrique sans l'intervention de tiers.

    La logique sécuritaire dans laquelle s'inscrit cette disposition est, en outre, renforcée par la période initiale de 72 heures d'observations et de soins ainsi que par le contrôle systématique, par le juge des libertés et de la détention, de la nécessité du maintien en hospitalisation.

    Or, dans plusieurs cas qui lui ont été rapportés, il semble que des décisions d'admission ou de maintien en hospitalisation sous contrainte sans l'intervention de tiers auraient été prises alors que la santé des personnes concernées ne paraissait pas en péril.

    Aussi, il lui demande de lui indiquer quelles sont les orientations que le Gouvernement souhaite mettre en œuvre en matière de soins psychiatriques afin de lever tout risque d'abus en matière d'hospitalisation sans consentement.

    Réponse du Ministère des affaires et de la santé publiée dans le JO Sénat du 03/01/2013 – p.19

     

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