Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Législation funéraire : sites cinéraires (07 08 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 23 mai 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120700560.html

     

    Question écrite n° 00560 de M. Jean-Pierre Sueur (sénateur socialiste du Loiret)

    M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de Mme la ministre de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique sur le fait que nombre de communes n'ont toujours pas mis en application l'article 15 de la loi n° 2008-1350 du 19 décembre 2008 relative à la législation funéraire qui dispose : « Le site cinéraire destiné à l'accueil des cendres des personnes décédées dont le corps a donné lieu à crémation comprend un espace aménagé pour leur dispersion et doté d'un équipement mentionnant l'identité des défunts. ».

    Il a pu être constaté que dans nombre de cas « l'équipement mentionnant le nom des défunts » n'est toujours pas mis en place. Il lui demande quelles initiatives elle compte prendre pour que cet article de la loi soit effectivement mis en application dans toutes les communes concernées.

    Réponse du Ministère de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique publiée dans le JO Sénat du 23/05/2013 – p. 1586

    Lire la suite

  • Produits agricoles : prix juin 2013 (06 08 2013)

     

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note publiée le 31 juillet 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=80&date=20130731.html

    Les prix de production des produits agricoles diminuent en juin

    En juin 2013, les prix de production des produits agricoles baissent de 1,5 % ; sur un an ils augmentent de 6,2 %.

    Le prix des céréales baisse sensiblement en juin (–7,5%). Des récoltes abondantes de blé sont prévues dans l’hémisphère Nord et son prix chute. Le prix du maïs se redresse légèrement malgré des prévisions haussières de production au niveau mondial ; le maïs français s’écoule bien, du fait d’une demande émanant à la fois des industriels français d’aliments pour le bétail et ceux d’Europe du Nord.

    Lire la suite

  • Impôt sur le revenu : quotient familial, parents isolés (05 08 2013)

     

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 9 juillet 2013 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-28350QE.htm

    Question n° 28350 de Mme Marie-George Buffet (député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Saint-Denis)

    Mme Marie-George Buffet alerte M. le ministre de l'économie et des finances sur les conditions d'imposition des personnes vivant seules. En effet, la loi de finances de 2009 a supprimé en matière d'impôt sur le revenu la demi-part attribuée aux veufs, divorcés, séparés et célibataires vivant seuls et ayant des enfants majeurs, sauf s'ils en ont supporté la charge à titre exclusif ou principal pendant au moins cinq ans.

    Cela a de graves conséquences pour de nombreuses personnes ayant de petits salaires ou petites retraites. En effet, non content d'accroître la charge d'imposition, la suppression de cette demi-part entraîne bien souvent des réactions en chaîne. Du fait qu'elles deviennent ainsi bien souvent imposables sur le revenu, elles se trouvent donc assujetties à la taxe d'habitation, la redevance télé et la remise en cause de prestations sociales accordées par les collectivités territoriales.

    Aussi, elle lui demande s'il compte prendre des mesures dans la prochaine loi de finances pour revenir sur cette décision.

    Réponse du Ministère de l’Economie et des Finances publiée au JO le 09/07/2013 p. 7202

    Lire la suite

  • PERLES SCOLAIRES (9/20) (04 08 2013)

    Promoteurs ardents des liens inter-générationnels, nous vous soumettons, chaque dimanche, ces traces facétieuses (orthographe respectée) de l’apprentissage scolaire relevées en vrac de 1999 à 2008 et qui, en histoire, littérature, géographie ou grammaire, etc…, mettent à mal nombre de nos certitudes.

    Le zéro est le seul chiffre qui permet de compter jusqu'à un

    Un septuagénaire est un losange à sept côtés

    Tous les chiffres pairs peuvent se diviser par zéro

    Une ligne droite devient rectiligne quand elle tourne

    Un compas s'utilise pour mesurer les angles d'un cercle

    Une racine carrée est une racine dont les quatre angles sont égaux

    Les chinois comptent avec leurs boules

    Pour faire une division, il faut multiplier en soustraction...

    L'alcool permet de rendre l'eau potable.

     

    Une tonne pèse au moins 100 Kg si elle est lourde

  • Impôts : nouvelles hausses à l’étude (03 08 2013)

    Extraits d’un article de M. Etienne Lefebvre publié le 31 juillet 2013 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/journal20130731/lec1_france/0202925793319-impot-sur-le-revenu-un-nouveau-gel-cible-du-bareme-est-a-l-etude-pour-2014-591380.php

    La décision prise par le gouvernement Fillon de ne plus indexer le barème de l’impôt sur le revenu en 2012 et 2013 a marqué une rupture avec le passé…/…

    Un tel gel s’apparente à une hausse générale de l’impôt sur le revenu, même si les taux ne bougent pas: comme les seuils de revenus délimitant les différentes tranches restent fixes alors que les revenus ont tendance, eux, à progresser, il y a davantage de contribuables qui deviennent imposables et, surtout, la progressivité est accrue. Cette fois-ci, les seuils de revenus des premières tranches seraient indexés. …/…En ne gelant que les trois dernières tranches (30%, 41%, 45%), seuls un peu plus de 3 millions de foyers seraient concernés…/…

     

    Autre clef de l’arbitrage: la prévision d’inflation pour 2014. Plus elle est élevée, plus le gel est pénalisant. Or, au vu du ralentissement actuel des prix (0,9% en rythme annuel fin juin), Bercy pourrait opter pour une prévision nettement plus faible que ce qui était attendu jusque-là (1,75%)…/…

  • Médicaments génériques (02 08 2013)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 juin 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13040454S.html

    Question orale sans débat n° 0454S de M. Philippe Leroy (sénateur UMP de la Moselle)

    Je souhaite attirer une nouvelle fois l'attention de Mme Touraine sur les garanties qui accompagnent le remplacement, par un médicament dit « générique », d'un médicament prescrit par un médecin. À la fin de l'année dernière, je l'avais déjà interrogée à ce propos, mais ma question est demeurée sans réponse.

    Ce remplacement est effectué par le pharmacien, qui, placé sous le contrôle administratif de l'assurance maladie, doit chercher à diminuer les dépenses d'achat de médicaments. Ce praticien s'expose à des sanctions dans le cas où son « efficacité » en matière de substitution ne serait pas jugée suffisante. À l'inverse, le pharmacien « vertueux » se voit récompensé par des primes versées par l'assurance maladie.

    Les logiques économiques propres au marché du médicament sont encore compliquées par des systèmes de marges évolutives, quelquefois particulièrement avantageux pour les génériques. Il serait utile qu'une plus grande transparence règne dans le « business » de ce grand marché.

    Tout en approuvant, sur le principe, cette recherche d'économies, je m'étonne de l'ampleur de la responsabilité laissée au pharmacien, qui peut, sans concertation, modifier la prescription d'un médecin. Cela soulève des questions d'ordre éthique et modifie profondément les relations de confiance entre le patient, le médecin et le pharmacien. 

    En outre - c'est le nœud du problème -, la comparaison entre la fiche descriptive d'un médicament et celle de son générique ne garantit pas toujours que les deux préparations sont parfaitement similaires. On parle de bioéquivalence, sans que cette notion soit toutefois parfaitement définie sur les plans scientifique ou juridique. Cette incertitude n'a rien de rassurant pour le patient qui, ayant connu de bons résultats avec un médicament prescrit par son médecin, se voit imposer un générique qui n'est pas en tous points semblable au médicament jusqu'alors efficace.

    De nombreux exemples illustrent l'existence d'un décalage sérieux entre la fiche descriptive d'un médicament et celle de son générique. La similitude chimique entre les deux préparations n'est pas assurée, et aucune garantie n'est apportée quant à leur égale efficacité. Les différences entre le médicament princeps et son générique peuvent porter sur la nature de la substance active et sur celle des excipients. Il serait important de disposer d'expertises visant à encadrer et à garantir la sécurité des autorisations de mise sur le marché. 

    En conséquence, vous serait-il possible de rassurer les patients ? Garantir l'égalité d'action entre les médicaments et leurs génériques est le seul moyen d'assurer la pérennité d'une politique d'économies que nous approuvons tous.

    Réponse du Ministère publiée dans le JO Sénat du 19/06/2013 p. 5912

    Lire la suite