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autonomie / dépendance - Page 47

  • services à la personne : crise ? (30 06 2009)

    Le filon des services à la personne se tarit

     

    Extraits d’un article de Mme Francine Aizicovici publié le 29 juin 2009 sur le site du Monde (cliquer ici pour accéder au site du Monde)

    http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/06/29/le-filon-des-services-a-la-personne-se-tarit_1212995_1101386.html

     

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    La situation est plus complexe dans les associations de services aux personnes fragilisées (âgées, dépendantes), financées notamment par les conseils généraux via l'allocation personnalisée pour l'autonomie (APA). Les budgets des départements, qui vont devoir financer le Revenu de solidarité active (RSA), "peinent à suivre la croissance du nombre de bénéficiaires de l'APA - en hausse de 3,5 % entre 2008 et 2009 - et l'évolution salariale liée à la professionnalisation", souligne Bruno Arbouet, le directeur de l'ANSP.

    Ces aides ne couvrant pas le prix de revient du service, "le différentiel génère un déficit pour l'association, qui, au fil du temps, devient intenable", souligne Florence Jury, directrice de l'association Adar-Lille. "Beaucoup d'associations licencient ou ferment leurs portes", témoigne Yves Jalmain, responsable du collectif CGT des services à la personne. Au bénéfice des entreprises privées, qui se sont multipliées. "Elles tirent les prix vers le bas car elles n'ont pas de convention collective à respecter ni les contraintes qui vont avec, contrairement aux associations, critique-t-on à l'Association du service à domicile (ADMR). C'est une concurrence déloyale."

    Consciente de ce problème, l'Agence nationale des services à la personne (ANSP) a promis une aide de 40 millions à 45 millions d'euros sur trois ans pour la professionnalisation du secteur, à condition, notamment, que les entreprises privées concluent une convention collective. François-Xavier Carpentier, président de Coviva, un réseau en pleine expansion du secteur privé, spécialisé dans les services aux personnes âgées, se félicite "de prendre ce secteur". "Les associations, qui étaient en situation de monopole, sont en déclin parce qu'elles sont chères et peu réactives", estime-t-il.

    Avis aux lecteurs du blog :

    Depuis le mois de mai 2009, conformément à la nouvelle loi sur la propriété intellectuelle sur Internet, nous poursuivrons notre travail de détection et d’information pour les retraités et personnes âgées en publiant  désormais :

    -          des extraits d’articles intéressants tirés de journaux et revues (extraits avec renvoi par lien au texte intégral sur les sites originels) ; à noter que ces articles deviennent parfois archives payantes en quelques jours) ;

    -  des textes complets de notes, documents émanant d’organismes publics (ministères, administrations, sénat, assurance maladie, assurance vieillesse,…) ou associatifs.

     

     

  • bracelet électronique en maison de retraite (14 06 2009)

    Surveillance par bracelet électronique dans une maison de retraite de Lille (Etablissements à l'heure de la technologie)

    Extraits d’un article signé YM publié le 25 mai 2009 sur le site Agevillage (cliquer ici pour accéder au site Agevillage)

    http://www.agevillage.com/actualite-3298-1-surveillance-par-bracelet-electronique-maison-de-retraite-lille.html

    Les fugues répétées de résidents atteints de la  maladie d'Alzheimer ont amené une maison de retraite lilloise à s'équiper de bracelets-montres électroniques

    Un dispositif de surveillance et de suivi  médical axé sur les nouvelles technologies ? "C'est très sécurisant pour le personnel et pour les résidents", explique,  enthousiaste, Mireille Wascat, infirmière référente et responsable de  l'établissement Gilbert Forrestier, à Lomme, commune associée à Lille.

    Le bracelet-montre gris, désormais porté par la quasi-totalité des 55 résidents après avoir été introduit en 2003, déclenche le verrouillage de la  porte de l'établissement dès qu'un pensionnaire s'en approche. Il comporte  également des capteurs qui alertent les personnels médicaux sur certaines  anomalies de santé.  ../..

    Avis aux lecteurs du blog :

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  • dénutrition des personnes âgées (1er juin 2009)

    Comment éviter ou corriger la dénutrition chez les personnes âgées fragiles ou malades ?

     

    Note publiée le 17 avril 2009 sur le site de l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments ou AFSSA (cliquer ici pour accéder au site de l’AFSSA)

     

    http://www.afssa.fr/

     

     

    Les personnes âgées ne mangent pas toujours suffisamment pour couvrir leurs besoins. Perte musculaire, épuisement, risques de chute, vulnérabilité aux maladies infectieuses et aggravation des maladies chroniques, telles sont les conséquences directes de la dénutrition des personnes âgées fragiles ou malades. Ce phénomène toucherait en France près de 400 000 personnes de plus de 65 ans vivant à domicile, et 20 à 30% des personnes âgées dépendantes à domicile ou vivant en institution. Les principaux facteurs connus de risques liés à la dénutrition sont, entre autres, l'anorexie, les pathologies aiguës, le stress psychologique ou la dépression.

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  • plan dépendance : report (21 05 2009)

    Dépendance: le financement reposerait "d'abord sur la solidarité nationale", Une annonce de Valérie Létard, secretaire d'Etat à la solidarité

     

    Extraits d’un Article signé YM publié le 18 mai 2009 sur le site Agevillage (cliquer ici pour accéder au site Agevillage)

     

    http://www.agevillage.com/actualite-3276-1-sarkozy-reporte-le-debat-sur-le-risque-dependance-a-l-automne-2009.html

     

    Le financement de la prise en charge de la dépendance reposera "d'abord sur la solidarité nationale" même s'il faudra aussi trouver d'autres modes de financement, a déclaré jeudi 14 mai la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard.

     

    "Nous sommes conscients du fait et nous souhaitons que le +cinquième risque+ (la dépendance, ndlr) repose d'abord sur la solidarité nationale", a déclaré Valérie Létard lors du colloque consacré à la prise en charge de la dépendance organisé à Paris.

     

    "Mais, nous avons aussi le sentiment qu'il faudra peut-être mobiliser d'autres moyens de financement. A ce titre, la question de contribution liée au patrimoine et celle d'un recours à la prévoyance collective et individuelle seront versés au débat qui va s'ouvrir", a poursuivi Valérie Létard.

     

    Le président Nicolas Sarkozy a déclaré mardi 12 mai 2009 que "la question de la création d'un cinquième risque de sécurité sociale" serait "l'un des grands chantiers de l'année prochaine".

     

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    des textes complets de notes, documents émanant d’organismes publics (administrations, ministères, sénat, assurance maladie, assurance vieillesse, associations de retraités, …).

  • APA : point au 31 décembre 2008 (20 05 2009)

    Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) et Prestation de compensation du Handicap (PCH) : point au 31 décembre 2008.

     

    Résumé de l’étude conduite par Mmes Clotilde DEBOUT et Seak-Hy LO et publiée dans la brochure Etudes et Résultats n°690 de mai 2009, de la Direction de la Recherche, des Etudes et Enquêtes Statistiques des Ministères chargés de la Santé et des Affaires Sociales (cliquer ici pour accéder au texte complet de l’étude de la DREES)

     

    http://www.sante.gouv.fr/drees/etude-resultat/er-pdf/er690.pdf

     

     

    Au 31 décembre 2008, 1 115 000 personnes bénéficient de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA), soit une augmentation de 3,4 % en un an, en ralentissement par rapport à la hausse observée au cours de l’année précédente (+5,1 % de décembre 2006 à décembre 2007). Le taux d’acceptation des premières demandes d’obtention de l’APA reste stable : trois premières demandes d’APA à domicile sur quatre sont acceptées, neuf sur dix en établissement. 5 % des bénéficiaires vivant à domicile et 7 % des personnes vivant dans un établissement ont cessé de percevoir l’APA ou ont changé de dispositif au cours du trimestre.

     

     

    Au 31 décembre 2008, 62 % des bénéficiaires de l’APA vivaient à domicile (contre 61 % fin 2007), et 38 % en établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA). La part des personnes modérément dépendantes, relevant du GIR 4, progresse légèrement et atteint les 45 %. Leur proportion est toujours nettement plus élevée à domicile (58 %) qu’en établissement (25 %). À domicile, le montant moyen du plan d’aide attribué est de 494 euros par mois (dont 406 euros à la charge des conseils généraux). Le montant moyen du tarif dépendance facturé en établissements pour personnes âgées qui ne sont pas sous dotation globale s’élève à 460 euros par mois (dont 313 euros à la charge des conseils généraux).

     

     

    Fin décembre 2008, 58 200 personnes ont été payées au titre de la prestation de compensation du handicap (PCH), contre 28 600 à la fin décembre 2007 (soit un doublement des effectifs en un an). La dépense mensuelle moyenne par personne s’est élevée à 1 010 euros en décembre 2008.

     

     

    lien vers le site de la DREES :

     

    http://www.travail-solidarite.gouv.fr/spip.php?page=composition-branche776&id_rubrique=904&id_mot=452
  • résidences personnes âgées avec services (21 04 2009)

    Résidences avec services pour personnes âgées : application dans les résidences avec services pour personnes âgées de la loi n° 2005-841 du 26 juillet

     

     

    Question sénatoriale et réponse ministérielle lues le 19 avril 2009 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

     

     

    Question écrite n° 04899 de M. Francis Grignon (sénateur UMP du Bas-Rhin) publiée dans le Journal Officiel du Sénat du 26/06/2008 - page 1267

     

     

     

    M. Francis Grignon attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la solidarité sur l'application dans les résidences avec services pour personnes âgées de la loi n° 2005-841 du 26 juillet 2005 relative au développement des services à la personne et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale.

     

    A l'origine, les copropriétés avec services n'entraient pas dans le champ d'application de cette loi. Mais depuis, l'article 14 de la loi n° 2006-1640 de financement de la sécurité sociale pour 2007 ouvre à ces résidences les dispositifs de la loi sur les services aux personnes. Pourtant, en raison de recours administratifs entrepris par certaines résidences, il semblerait que l'application de cette loi soit bloquée par diverses administrations concernées qui considèrent que les espaces communs dévolus à ces services par les copropriétaires ne sont pas assimilables au domicile et que, par conséquent, les nombreux services qui y sont dispensés ne relèvent pas de ce texte.

     

    Cette position est en totale contradiction avec la loi ainsi qu'avec les termes de la circulaire d'application ANSP/DGEFP/DGAS n° 1-2007 du 15 mai 2007. Cette circulaire relative à l'agrément des organismes de services à la personne précise dans son article 4.2 que : « Pour être agréés, les organismes demandeurs doivent exercer des activités de services au domicile du bénéficiaire, à partir de celui-ci ou dans son environnement immédiat.

     

    Par domicile, on entend le lieu de résidence, principale ou secondaire, sans distinction de propriété ou de location. Ainsi, les résidences services et les logements-foyers constituent le domicile des personnes qui y résident. »

     


    Il lui demande donc de confirmer par des directives écrites que l'application de l'article 4.2 de la circulaire ANSP/DGEFP/DGAS du 15 mai 2007 intègre bien « l'environnement immédiat du domicile des bénéficiaires » et à ce titre les espaces communs dévolus à ces services au sein des copropriétés, les parties communes ordinaires de l'immeuble étant bien sûr exclues.

     

     

     

     

     

     

     

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