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santé - Page 104

  • Téléconsultation : modalités (18 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 7 septembre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12862?xtor=EPR-100.html

    Les téléconsultations médicales pour tous : c'est pour quand ?

    Publié le 07 septembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Si on a souvent parlé de télémédecine, c'est vraiment à partir du 15 septembre 2018 qu'elle devrait devenir une pratique médicale quotidienne en France avec la possibilité pour les patients de recourir à la téléconsultation en particulier pour ceux ayant des problèmes de mobilité.

    À partir du 15 septembre 2018, il va être possible à tout assuré (quel que soit son lieu de résidence) et à tout médecin (quelle que soit sa spécialité) de recourir à une téléconsultation (examen médical par visioconférence).

    La téléconsultation s'inscrit dans un parcours de soins et doit donc passer par le médecin traitant du patient. L'opportunité du recours à la téléconsultation est appréciée au cas par cas par le médecin traitant et le médecin correspondant. Tout patient, si son état est compatible avec ce mode d'examen, peut bénéficier d'une téléconsultation, après avoir été informé des conditions de sa réalisation et avec son accord.

    L'acte de téléconsultation (examen médical par visioconférence) s'alignera sur le tarif d'une consultation classique en face à face. Ainsi, pour les médecins généralistes de secteur 1 par exemple, la téléconsultation sera remboursée sur la base de 25 €.

    Cette téléconsultation sera prise en charge comme une consultation classique (70 % remboursés par l'Assurance Maladie et 30 % remboursés par la complémentaire) avec application du tiers payant dans son intégralité pour tous les patients pour lesquels il constitue un droit (patients en ALD, femmes enceintes, bénéficiaires de la CMU-C ou de l'ACS). Les modes de paiement seront les mêmes que pour une consultation en face à face.

    Comment se passe une téléconsultation ?

    La consultation à distance est réalisée entre un médecin et un patient (qui peut être assisté par un autre professionnel de santé). Elle se déroule comme n'importe quelle consultation, en partant d'une demande de rendez-vous.

    Elle comporte :

    • un entretien avec le patient ;
    • l'examen de documents transmis par le patient ou par son représentant ;
    • éventuellement un examen clinique (s'il est accompagné d'un professionnel de santé ou si l'équipement disponible le permet) ;
    • si nécessaire, une prescription télétransmise par un moyen sécurisé.

    Le compte rendu de la consultation est porté au dossier patient du médecin téléconsultant et une copie est transmise au médecin traitant et au médecin ayant sollicité l'acte.

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)

  • Paracétamol : consultation publique (17 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 11 septembre 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12882?xtor=EPR-100.html

    Paracétamol : donnez votre avis afin d'être mieux alerté des risques pour le foie en cas de surdosage

    Publié le 11 septembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Douleurs, fièvre, rhume... Le paracétamol qui est présent actuellement dans 200 médicaments est la substance active la plus vendue en France. Néanmoins, en cas notamment de surdosage, le paracétamol peut engendrer des lésions graves du foie parfois irréversibles. C'est pourquoi l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vous propose une consultation publique sur le message d'alerte devant figurer sur les boîtes de médicaments concernant ce risque hépatique.

    Cette consultation publique sur le risque hépatique lié au surdosage en paracétamol est ouverte jusqu'au 30 septembre 2018 à l’adresse suivante.

    http://188.165.242.86/neurho_paracetamol/Formulaire.html

    Le questionnaire comprend 5 questions :

    • êtes-vous favorable à l'ajout d'un message d'alerte sur le risque hépatique en cas de surdosage sur la face principale (face avant) des médicaments contenant du paracétamol ?
    • comment doit être formulé ce message ?
    • pour les médicaments contenant à la fois du paracétamol et une autre substance ayant un effet thérapeutique, comment doit être formulé le message ?
    • un pictogramme alertant sur le risque hépatique doit-il être apposé sur les spécialités à base de paracétamol en plus de la mention d'alerte envisagée ?
    • les mentions existant déjà sur certaines boîtes de médicaments à base de paracétamol doivent-elles être harmonisées et présentes sur toutes les boîtes de paracétamol (formes orales et suppositoires) ?

      À savoir :

    Afin d'adopter les bons réflexes en matière d'usage du paracétamol, l'ANSM recommande par ailleurs de prendre la dose la plus faible le moins longtemps possible et de :

    • respecter la dose maximale quotidienne et la durée de traitement recommandée ;
    • vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments utilisés ;
    • être particulièrement attentif dans certains cas (moins de 50 kgs, insuffisance rénale...) ;
    • déclarer un effet indésirable sur signalement-sante.gouv.fr (si besoin).

    Et aussi

    Pour en savoir plus

    Paracétamol : l'ANSM lance une consultation publique pour sensibiliser les patients et les professionnels de santé au risque de toxicité pour le foie en cas de mésusage - Point d'Information 

  • Rappel de produits (mise à jour du 14 09 2018) (15 09 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    14/09/2018 - Avis de rappel des "Bougies Effilées" de marque VAHINÉ

    Nom du produit : Bougies Effilées

    Marque : Vahiné

    Référence : Bougies Effilées avec le code à barres 3179142762507

    Lot :  L 805     L 806

    Risque : Incendie

    Description :  Certaines « Bougies Magiques » de marque Vahiné ont été conditionnées dans un packaging « Bougies Effilées ».
    L’étiquetage « Bougies Effilées » ne mentionne pas les consignes de sécurité d’usage pour les Bougies Magiques ni l’indication « se rallument toutes seules ».
    En effet les bougies magiques se rallument automatiquement et il faut les passer sous l’eau pour les éteindre complètement.

    Commentaire :  Si vous êtes en possession du produit mis en cause, merci de ne pas l’utiliser et le retourner à l’accueil de votre magasin, il vous sera entièrement remboursé.

    Pour toute question, vous pouvez joindre le Service Consommateurs de Vahiné au 04 90 63 63 54

     

    11/09/2018 - Avis de rappel de la brioche aux pépites de chocolat de marque PODIS
    Présence de l'allergène amandes non déclaré sur l'étiquetage

    Nom du produit : Brioche aux pépites de chocolat

    Marque : PODIS

    Référence :

    Lot : P0118242 – DDM 23/09/2018

    Risque : Présence de l'allergène amandes non déclaré sur l'étiquetage

     

    10/09/2018 - Avis de rappel de marchepieds ZEEMAN

    Référence : Référence: 42641

    Risque : Il est apparu que le marchepied avec la référence 42641 pouvait se casser dans certains cas et entraîner des blessures.

    Commentaire : Le marchepied a été commercialisé entre mars et août 2018. Si vous êtes en possession de cet article, il vous est demandé de ne plus l’utiliser et de bien vouloir le rapporter dans un magasin Zeeman près de chez vous, où il vous sera remboursé.

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Cancers pédiatriques (11 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette réponse ministérielle à une question sénatoriale publiée le 31 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171202604.html

    Question écrite n° 02604 de Mme Maryse Carrère (sénatrice des Hautes-Pyrénées)

    Mme Maryse Carrère attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la mise sur le marché de soins innovants pour les cancers pédiatriques en France et au niveau européen. Aujourd'hui, environ 2 500 nouveaux cas de cancers sont déclarés chaque année au sein de la population âgée de 0 à 19 ans en France. Le taux global de guérison de 80 % est très différent selon les types de cancers. La stratégie de recherche sur les cancers pédiatriques, portée par l'institut national du cancer (INCa) dans le cadre du plan cancer 2014-2019, porte notamment sur une association des industries du médicament pour les inciter à proposer systématiquement leurs molécules chez l'enfant dans le cadre du programme d'essais cliniques de phase précoce en pédiatrie (CLIP2).

     

    Or, de l'aveu propre du ministère des solidarités et de la santé, le règlement européen relatif aux médicaments à usage pédiatrique reste peu incitatif pour les essais cliniques de nouvelles molécules. De plus, le 10 novembre 2017, elle affirmait avoir réussi « à agréger, autour de [l']essai clinique [ESMART], la totalité des big pharma internationales pour qu'elles nous donnent les médicaments les plus innovants afin que les enfants français y accèdent bien avant l'ensemble des pays du monde. »

     

    Cependant, les « CAR-T cells », qui sont justement un traitement innovant faisant ses preuves outre-Atlantique, en est toujours au stade d'examen au niveau européen. Et il est envisagé, toujours selon son intervention du 10 novembre 2017, d'accorder aux enfants français nécessitant ce type de traitement dans le cas d'une leucémie aiguë réfractaire, d'être pris en charge par la solidarité nationale pour participer à des essais cliniques américains.

     

    Aussi lui demande-t-elle si elle ne pense pas qu'il serait plus performant, et moins épuisant pour des enfants malades, de développer ces essais cliniques directement sur le territoire européen voire français, pour permettre à ces enfants français et européens de bénéficier « bien avant l'ensemble des pays du monde » de traitements innovants, tels que les « CAR-T cells ». Le budget serait certainement moindre, et plus d'enfants y auraient accès. Ainsi, elle lui demande quel est l'état des démarches entreprises au niveau européen en ce sens, qui constituent l'un des objectifs du plan cancer 2014-2019.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 31/05/2018 p. 2714

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  • Rappel de produits (mise à jour du 07 09 2018) (08 09 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    04/09/2018 - Avis de rappel d’un casque mercury kid de marque BEAL

    Nom du produit : Casque d'alpinisme / escalade pour enfant

    Marque : BEAL

    Référence : Mercury Kid

    Lot : MK042632516

    Risque : Risque de blessure à la tête pour l'enfant en raison d'une protection insuffisante du casque.

     

    04/09/2018 - Avis de rappel d’un couteau de poche pour enfant de marque BALADEO
    Nom du produit : couteau de poche pour enfant - Papagayo

    Marque : BALADEO

    Référence : 53148900

    Risque : Risque de coupure en raison d'un dysfonctionnement du système de blocage du couteau.

    Mesure : Retrait et rappel des produits. Le professionnel demande de ne plus utiliser les produits et de les rapporter au point de vente en vue d'un remboursement.

     

    03/09/2018 - Avis de rappel des déguisements « Ariel » de marque Disneyland Paris
    Nom du produit : Déguisement du personnage Ariel

    Marque : Disneyland Paris

    Référence :

    Lot : Rappel des lots FAC-011100-17237, FAC-011100-17261, FAC-011100-17314 et FAC-011100-18012 vendus entre le 4 Novembre 2017 et le 24 Juillet 2018

    Risque : Brûlures  

    Description : La vitesse de propagation de la flamme sur le voile vert excède les limites dans le cadre de la norme d’inflammabilité relative à la sécurité des jouets, supérieur à 30 mm/s, ce qui pourrait poser un risque de brûlure.

    Commentaire : Les clients sont invités à ne plus utiliser les déguisements mis en cause et à se rapprocher de la société Eurodisney pour les modalités du rappel du produit.

     

    03/09/2018 - Avis de rappel des nouilles préparées de la marque NISSIN
    Présence de corps étrangers

    Nom du produit : Nouilles préparées (plusieurs saveurs et lots)

    Marque : NISSIN

    Nom produit

    Lots

    DDM

    Cup Noodles Mini Asie Spicy

    L800682
    L802072
    L803042

    02/2019
    05/2019
    07/2019

    Cup Noodles Spicy

    L801283
    L801943
    L801953
    L803433
    L804113

    02/2019
    03/2019
    03/2019
    05/2019
    06/2019

    Nouilles Japonaises Spicy

    L800883
    L801293
    L801963
    L803063
    L803673

    01/2019
    02/2019
    03/2019
    05/2019
    05/2019

     

     Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Minimum vieillesse et santé (07 09 2018)

    Nous proposons aujourd’hui des extraits (synthèse et encadré technique) d’un rapport de M. Jacques Pisarik (DREES) lu sur le site de La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, dans la brochure Etudes et Résultats, (n° 1066) parue en juin 2018 (cliquer ci-dessous pour accéder au site de la DREES ou au texte complet du rapport)

    http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/html

    http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er1066.pdf

    Minimum vieillesse: un allocataire sur deux se perçoit en mauvaise santé

    En 2012, 47 % des allocataires du minimum vieillesse en France métropolitaine se perçoivent en mauvaise ou très mauvaise santé, alors que ce n’est le cas que de 15 % des personnes de 60 ans ou plus. Ils sont également plus nombreux à déclarer être atteints d’une maladie chronique (70 % contre 57 %), à faire état de limitations d’activité importantes (44 % contre 16 %) et à être en situation de détresse psychologique (29 % contre 15 %). Cet état de santé dégradé concerne davantage les allocataires les plus pauvres, ainsi que ceux entrés avant 65 ans dans le dispositif, notamment en raison d’une situation de handicap, d’invalidité ou d’inaptitude au travail.

    14 % des allocataires du minimum vieillesse déclarent avoir renoncé, pour raisons financières, à des consultations de médecin au cours de l’année et 31 % à des soins dentaires, contre respectivement 3 % et 16 % pour l’ensemble des personnes de 60 ans ou plus.

    Enfin, 16 % des allocataires ne sont ni couverts par une complémentaire santé – couverture maladie universelle complémentaire incluse – ni pris en charge à 100 % par la Sécurité sociale au titre d’une affection de longue durée. Or, ne pas avoir de couverture maladie conduit souvent au renoncement aux soins pour raisons financières.

    Deux allocations pour le minimum vieillesse et deux possibilités pour un accès à une complémentaire santé

    Allocation supplémentaire vieillesse (ASV) et allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA)

    Le minimum vieillesse regroupe deux types d’allocations permettant de garantir le même niveau minimal de ressources aux personnes de 65 ans ou plus n’ayant pas de droits à une pension de retraite, ou pour lesquelles ces droits sont faibles. Le dispositif est également ouvert à partir de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite (60 ans à 62 ans selon les générations) sous certaines conditions, notamment en cas de handicap, d’incapacité ou d’inaptitude au travail, et pour les mères de familles nombreuses ayant exercé des travaux manuels ouvriers pendant une partie de leur carrière. L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) s’est substituée à l’allocation supplémentaire vieillesse (ASV) en 2007, mais les titulaires de l’ASV conservent cette allocation, sauf demande de changement pour l’ASPA. En 2012, le niveau de ressources garanti est de 777 euros pour une personne seule et de 1207 euros pour un couple.

    Minimum vieillesse et dispositifs d’accès à une couverture complémentaire santé

    Si la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) est accessible en dessous d’un plafond de ressource inférieur au montant de l’ASV et de l’ASPA, certains ménages allocataires du minimum vieillesse peuvent néanmoins en bénéficier, en fonction du nombre de personnes à charge dans le ménage. Cela peut également être le cas de façon transitoire si les ressources prises en compte pour l’ouverture des droits à la CMU-C (celles de l’an passé) sont inférieures aux ressources de l’année courante, que l’entrée dans le minimum vieillesse vient augmenter.

    L’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS) est une aide financière à la souscription d’un contrat individuel de couverture complémentaire. Relais entre la CMU-C et le dispositif de droit commun, son plafond (à hauteur de 135 % du plafond de la CMU-C) est supérieur aux montants de l’ASV et de l’ASPA. Parmi les personnes âgées, les allocataires du minimum vieillesse sont donc principalement concernées. Dans l’ensemble de la population, l’ACS est peu répandue (environ 800 000 bénéficiaires début 20121 ). Son montant est modulé en fonction de l’âge selon l’évolution des tarifs des contrats, qui sont plus chers pour les plus âgés. Un bénéficiaire de 60 ans ou plus perçoit 550 euros par an.

    1. Source : site de la CMU, rubrique Rapports et études, Statistiques, Bénéficiaires de l’ACS.