Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 108

  • Rappel de produits (mise à jour du 26 10 2018) (27 10 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    26/10/2018 - Avis de rappel de salade quinoa fruits secs de marque BIO VILLAGE
    Nom du produit : Salade quinoa fruits secs Biovillage

    Marque : BIO VILLAGE

    Référence : EAN : 3564707138284 01          Barquette de 200g

    Lot : 829201 - DLC 04/11/2018

    Risque : Présence de gluten non étiqueté, suite à la présence de boulgour dans le produit, présentant un risque potentiel pour les personnes allergiques et/ou intolérantes au gluten.

    Commentaire : Il est demandé aux personnes allergiques et/ou intolérantes au gluten qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les rapporter au magasin.

     

    24/10/2018 - Avis de rappel de soupe lentilles corail cumin de marque Olivier Marseille Traiteur
    Nom du produit : SOUPE LENTILLES CORAIL CUMIN (640G)

    Marque : Olivier Marseille Traiteur

    Référence : SOUPE LENTILLES CORAIL CUMIN (640G) NATUR'AVENIR

    Lot : A260 1

    Risque : Gaz, odeur, gonflement ou autres signes de développement microbien liés à un défaut de stérilisation.

     

    23/10/2018 - Avis de rappel d'aliment lacté destiné aux enfants en bas âge à partir de 20 mois
    Nom du produit : aliment lacté destiné aux enfants en bas âge à partir de 20 mois

    Marque : CANDIA BABY CROISSANCE 4

    Référence : pack de 24 bouteilles de 25 cl       Lot : 21.01.19F 18206F

    Risque : présence d’une entérobactérie

     

    19/10/2018 - Avis de rappel d'entrées chaudes de la marque « l’atelier Blini »

    Le 16 août dernier, la direction départementale de la protection des populations (DDPP) du Calvados a été destinataire d’un signalement de la société Delabli relatif à la détection de Listeria monocytogenes dans des falafels de la marque « l’atelier Blini » dans le cadre d’un contrôle de routine.

    La bactérie a été retrouvée à un taux supérieur aux limites réglementaires concernant les produits prêts à consommer. Compte tenu du risque de consommation sans réchauffage de ces produits, l’entreprise a alors procédé au retrait et rappel des lots concernés : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/avis-rappel-8-falafels-marque-atelier-blini

    Un plan d’autocontrôles renforcé a en outre été mis en place en complément des mesures de gestion classiques (nettoyage désinfection, blocage des lots issus des mêmes matières premières).

    En date du 11 octobre, les résultats des analyses réalisés par l’entreprise, à la suite de cet événement, sur d’autres lots de falafels a confirmé des niveaux de contamination en listeria monocytogènes à un niveau supérieur aux limites réglementaires conduisant à la mise en œuvre d’une deuxième opération de retrait-rappel: https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/avis-rappel-falafels-marque-atelier-blini

    En date du 16 octobre, des listéria ont également été détectées dans d’autres entrées chaudes commercialisées par la même entreprise (pastillas, accras, samossas) suggérant que l’origine de la contamination n’a pas été correctement maitrisée. Ces éléments conduisent au rappel de l’ensemble des produits dont la DLC est antérieure au 24 novembre inclus https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/avis-rappel-des-entrees-chaudes-decongeles-vendus-au-rayon-frais-marque-atelier-blini

    Des investigations sont menées pour identifier l’origine de la contamination. Des contrôles renforcés ont été mis en place par l’opérateur.

    Il est recommandé aux personnes qui détiendraient les produits concernés de ne pas les consommer.

    Pour rappel, la listériose est une maladie qui peut être grave et dont le délai d’incubation peut aller jusqu’à huit semaines. Les symptômes habituels sont une fièvre plus ou moins élevée, accompagnée de maux de tête et parfois de troubles digestifs (nausées, diarrhées, vomissements). Des complications neurologiques (méningite, encéphalite) peuvent également survenir dans certains cas. Les femmes enceintes, chez qui les conséquences de la listériose peuvent être graves pour l’enfant à naître, doivent être particulièrement attentives à ces symptômes, ainsi que les personnes immunodéprimées et les personnes âgés. Des éléments complémentaires sont disponibles à l’adresse : https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/article/listeriose

     

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

    Lire la suite

  • Pollution atmosphérique et santé (26 10 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 25 septembre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/cour-comptes-europeenne-pollution-atmospherique-probleme-sanitaire-preoccupant.html?xtor=EPR-56.html

    La pollution atmosphérique en Europe : un problème sanitaire préoccupant

    le 25 septembre 2018

    Dans son audit de performance publié le 11 septembre 2018, la Cour des comptes européenne estime que l’action engagée par l’Union européenne (UE) pour protéger la santé humaine contre la pollution atmosphérique n’a pas produit les effets escomptés.

    Un lourd coût humain et économique

    Selon le rapport, la pollution atmosphérique provoquerait 400 000 décès prématurés. Les habitants des zones urbaines y seraient particulièrement exposés. La plupart des décès prématurés seraient imputables aux particules, au dioxyde d’azote et à l’ozone troposphérique. Dans certains États membres, la perte d’années de vie en bonne santé serait similaire à ce qui s’observe dans des pays dont le nom est fréquemment associé à une mauvaise qualité de l’air, comme la Chine ou l’Inde. En 2013, la Commission européenne a affirmé que le coût externe sanitaire total de la pollution atmosphérique se situait entre 330 et 940 milliards d’euros par an.

    En zone urbaine, jusqu’à 96% des citoyens doivent vivre avec des niveaux de polluants atmosphériques considérés comme nuisibles pour la santé par l’Organisation mondiale de santé (OMS). D’après l’OMS, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux sont la cause de 80% des décès prématurés imputables à la pollution atmosphérique, devant les maladies pulmonaires (cancers compris) et les autres maladies.

    La révision de la politique de l’UE en matière de qualité de l’air à l’ordre du jour

    L’adoption de la directive sur la qualité de l’air ambiant remonte au 21 mai 2008. Elle définit des normes de qualité de l’air concernant les concentrations en polluants dans l’air et demeure la pierre angulaire de la politique de l’UE en matière de qualité de l’air.

    Les normes établies sont cependant moins restrictives que les lignes directrices de l’OMS. Les valeurs limites de l’UE relatives à la qualité de l’air sont aussi trop peu contraignantes et la plupart des États membres ne les ont pas efficacement mises en œuvre. Les dispositions régissant la mesure de la qualité de l’air laissent en outre une latitude qui rend les vérifications difficiles.

    Dernièrement, les citoyens se sont intéressés de plus près aux questions liées à la qualité de l’air ; ils ont ainsi intenté des poursuites devant des juridictions nationales qui, dans plusieurs États membres, ont rendu des décisions sanctionnant leur droit à l’air pur.

    Pour améliorer la qualité de l’air dans l’UE, le rapport recommande une actualisation de la directive sur la qualité de l’air ambiant. La politique en faveur de la qualité de l’air devrait être intégrée comme priorité dans toutes les politiques de l’UE.

    Sur la toile publique

  • Jouets : substances interdites (25 10 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 4 octobre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180303762.html

    Question écrite n° 03762 de M. Jean-Noël Guérini  (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Jean-Noël Guérini appelle l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la présence de substances interdites dans des jouets infantiles.

     
    Un rapport d'inspection de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA), rendu public le 13 février 2018, révèle qu'environ 18 % des 5 600 produits de consommation courante (bijoux, vêtements, articles de bricolage, pièces d'automobiles, jouets) testés dans les 27 pays de l'Union européenne contenaient des substances de synthèse, des fibres ou des métaux lourds pourtant prohibés par la réglementation communautaire — règlement REACH (Enregistrement, évaluation, autorisation et restriction des substances chimiques) entré en vigueur le 1er juin 2007.

     
    Ce sont les jouets qui présentent les violations les plus importantes : près de 20 % de ceux testés révélaient la présence de phtalates, des perturbateurs endocriniens, dont les effets toxiques (sur le neurodéveloppement, le métabolisme ou la fertilité) sont d'autant plus graves que l'exposition a lieu jeune.

     
    Face à ces résultats inquiétants, il lui demande ce qui peut être mis en œuvre afin que ces substances toxiques, officiellement interdites dans les jouets, cessent d'échapper à la réglementation européenne et de mettre en danger les enfants. 

     

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 04/10/2018 p. 5023

     

    Lire la suite

  • Dépenses de Santé : croissance +1.3% en 2017 (24 10 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 18 septembre 2018 sur le site Vie-publique (cliquer ici pour accéder au site Vie-publique)

    http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/depenses-sante-croissance-1-3-2017-contre-2-2016.html?xtor=EPR-56.html

    Dépenses de santé : une croissance de 1,3% en 2017

    le 18 septembre 2018

    La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie en septembre 2018 les comptes de la santé qui synthétisent les faits marquants de l’année 2017 et soulignent notamment une faible croissance des dépenses de santé. La France consacre au total 11,5% de son produit intérieur brut (PIB) à la santé.

    Une faible croissance des dépenses de santé

    En 2017, la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) s’élève à 2 977 € par habitant, soit au total 199,3 milliards € (8,7% du PIB). Ce montant comprend les dépenses de soins hospitaliers (92,8 milliards €), les soins de ville (53,4 milliards €), les médicaments délivrés en ville (15,5 milliards ) et les autres biens médicaux, comme les transports sanitaires, l’optique, etc. (5 milliards €).

    Les dépenses de santé augmentent moins en 2017 que les années précédentes notamment en raison de :

    • un fort ralentissement de la croissance du volume des soins hospitaliers (+0,9% contre +1,7 % en 2016) ;
    • la baisse de la consommation de médicaments en ville pour la troisième année consécutive ;
    • le ralentissement de la croissance des dépenses de transports sanitaires.

    Le reste à charge des ménages s’établit à 7,5% (contre 9% en 2008).

    Une hausse des dépenses de santé liées aux affections de longue durée (ALD)

    Entre 2011 et 2016, les dépenses de santé liées aux affections de longue durée augmentent de 3,8% en moyenne par an. Le dispositif ALD vise à réduire le reste à charge des patients atteints d’une maladie chronique nécessitant un traitement prolongé et des soins particulièrement coûteux. Les bénéficiaires de l’ALD représentent 16% des assurés sociaux et concentrent 57% des dépenses de santé soumises au remboursement.

    Le vieillissement de la population accroît les dépenses de soins des personnes en ALD :

    • les pathologies couvertes par les dépenses d’ALD sont plus fréquentes chez les personnes âgées ;
    • la part des assurés sociaux de 60 ans et plus est passée de 21,7% en 2011 à 23,5% en 2016.

    La part des dépenses restant à la charge des patients en ALD est quasi stable entre 2011 et 2016.

    Sur la toile publique

  • Rappel de produits (mise à jour du 19 10 2018) (20 10 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    19/10/2018 - Avis de rappel des entrées chaudes décongelés vendus au rayon frais de marque Atelier Blini

    Nom du produit : Entrées chaudes décongelés vendus au rayon frais : 6 accras - 6 arancini - 6 böreks - 6 kefta poulet - 6 keftedes - 5 pastillas - 5 rikakats - 6 samossas - 10 falafels veggie

    Marque : Atelier Blini

    Référence : 6 accras 120 g Atelier Blini6 arancini 100g Atelier Blini6 böreks 90g Atelier Blini6 falafels veggie 125g Atelier Blini6 kefta poulet 90g Atelier Blini6 keftedes 90g Atelier Blini5 pastillas 100g Atelier Blini5 rikakats 100g Atelier Blini6 samossas 90g Atelier Blini

    Lot : Toutes les DLC jusqu’au 24/11

    Risque : Listeria monocytogènes

    Commentaire : Suite à la détection de Listeria monocytogènes, il est demandé aux personnes qui auraient acheté ces produits et qui en détiendraient encore, de ne pas les consommer et de les rapporter au magasin. Les personnes qui en n'auraient consommés et qui présenteraient de la fièvre isolée ou accompagnée de maux de tête, sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation. Les femmes enceintes ainsi que les personnes immunodéprimées et les personnes âgées, doivent être particulièrement attentives à ces symptômes. Ces symptômes peuvent évoquer une listériose, maladie qui peut être grave et dont le délai d'incubation peut aller jusqu'à huit semaines.

     

    15/10/2018 - Avis de rappel des gants moto chauffants Vesuvio & Oxsana de marque BERING

    Nom du produit : Gants Moto chauffants

    Marque : BERING

    Référence : Lady Vesuvio & Oxsana   

    Lots : HT3016A, HT3016B, HT3535A, HT3535B, HT3017, HT4041, HT4042 vendus entre le 13/09/2016 et le 26/09/2018

    Risque : Les gants motos chauffants présentent des risques d’échauffement et de choc électrique.

    Commentaire : Les détenteurs de ces produits sont priés de ne plus les utiliser et de les rapporter en magasin pour obtenir un avoir sur un produit équivalent ou un remboursement.

    Contact : recall@trophy-group.com ou Tel : 01 34 80 39 10

     

    Liste des rappels des 30 jours précédents

    Lire la suite

  • Substances chimiques : vêtements et chaussures (15 10 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 11 octobre 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180806433.html

    Question écrite n° 06433 de M. Michel Dagbert (sénateur du Pas-de-Calais)

    Michel Dagbert attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur la présence de substances chimiques dans les vêtements et les chaussures.

     
    En 2014, suite à de nombreux signalements de cas d'allergies et d'irritations, les ministères de l'économie et de la santé avaient conjointement saisi l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES). Il s'agissait d'identifier les éléments chimiques irritants ou sensibilisants cutanés, réglementés ou non, susceptibles d'être présents dans ces articles.

     
    Le rapport de l'ANSES publié le 4 juillet 2018 indique que treize substances identifiées ont été retrouvées dans les vêtements et seize dans les chaussures. Des substances potentiellement dangereuses comme le chrome , la paraphénylènediamine (présente dans les colorants), les nonylphénols et nonylphénols éthoxylates (utilisés comme auxiliaires pour le nettoyage et le rinçage, mais aussi pour teindre et blanchir les textiles), ont été décelés. Des métaux lourds tels le cobalt, le cuivre, le plomb, le cadmium, le mercure ou le nickel ont également été retrouvés.

     
    L'ANSES a émis plusieurs recommandations à l'attention des autorités. Elle propose ainsi de maintenir une pression de contrôle, de réviser le seuil réglementaire du chrome VI dans les articles en cuir, de fixer un seuil réglementaire pour le nickel dans les textiles ou de mettre en place une classification européenne pour les substances non réglementées.

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les suites qu'il entend donner à ces recommandations.

    Réponse du Ministère de l'économie et des finances publiée dans le JO Sénat du 11/10/2018 p. 5178

    Lire la suite