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santé - Page 108

  • Rappel de produits (mise à jour du 14 09 2018) (15 09 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    14/09/2018 - Avis de rappel des "Bougies Effilées" de marque VAHINÉ

    Nom du produit : Bougies Effilées

    Marque : Vahiné

    Référence : Bougies Effilées avec le code à barres 3179142762507

    Lot :  L 805     L 806

    Risque : Incendie

    Description :  Certaines « Bougies Magiques » de marque Vahiné ont été conditionnées dans un packaging « Bougies Effilées ».
    L’étiquetage « Bougies Effilées » ne mentionne pas les consignes de sécurité d’usage pour les Bougies Magiques ni l’indication « se rallument toutes seules ».
    En effet les bougies magiques se rallument automatiquement et il faut les passer sous l’eau pour les éteindre complètement.

    Commentaire :  Si vous êtes en possession du produit mis en cause, merci de ne pas l’utiliser et le retourner à l’accueil de votre magasin, il vous sera entièrement remboursé.

    Pour toute question, vous pouvez joindre le Service Consommateurs de Vahiné au 04 90 63 63 54

     

    11/09/2018 - Avis de rappel de la brioche aux pépites de chocolat de marque PODIS
    Présence de l'allergène amandes non déclaré sur l'étiquetage

    Nom du produit : Brioche aux pépites de chocolat

    Marque : PODIS

    Référence :

    Lot : P0118242 – DDM 23/09/2018

    Risque : Présence de l'allergène amandes non déclaré sur l'étiquetage

     

    10/09/2018 - Avis de rappel de marchepieds ZEEMAN

    Référence : Référence: 42641

    Risque : Il est apparu que le marchepied avec la référence 42641 pouvait se casser dans certains cas et entraîner des blessures.

    Commentaire : Le marchepied a été commercialisé entre mars et août 2018. Si vous êtes en possession de cet article, il vous est demandé de ne plus l’utiliser et de bien vouloir le rapporter dans un magasin Zeeman près de chez vous, où il vous sera remboursé.

    Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Cancers pédiatriques (11 09 2018)

    Nous vous proposons aujourd’hui cette réponse ministérielle à une question sénatoriale publiée le 31 mai 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171202604.html

    Question écrite n° 02604 de Mme Maryse Carrère (sénatrice des Hautes-Pyrénées)

    Mme Maryse Carrère attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la mise sur le marché de soins innovants pour les cancers pédiatriques en France et au niveau européen. Aujourd'hui, environ 2 500 nouveaux cas de cancers sont déclarés chaque année au sein de la population âgée de 0 à 19 ans en France. Le taux global de guérison de 80 % est très différent selon les types de cancers. La stratégie de recherche sur les cancers pédiatriques, portée par l'institut national du cancer (INCa) dans le cadre du plan cancer 2014-2019, porte notamment sur une association des industries du médicament pour les inciter à proposer systématiquement leurs molécules chez l'enfant dans le cadre du programme d'essais cliniques de phase précoce en pédiatrie (CLIP2).

     

    Or, de l'aveu propre du ministère des solidarités et de la santé, le règlement européen relatif aux médicaments à usage pédiatrique reste peu incitatif pour les essais cliniques de nouvelles molécules. De plus, le 10 novembre 2017, elle affirmait avoir réussi « à agréger, autour de [l']essai clinique [ESMART], la totalité des big pharma internationales pour qu'elles nous donnent les médicaments les plus innovants afin que les enfants français y accèdent bien avant l'ensemble des pays du monde. »

     

    Cependant, les « CAR-T cells », qui sont justement un traitement innovant faisant ses preuves outre-Atlantique, en est toujours au stade d'examen au niveau européen. Et il est envisagé, toujours selon son intervention du 10 novembre 2017, d'accorder aux enfants français nécessitant ce type de traitement dans le cas d'une leucémie aiguë réfractaire, d'être pris en charge par la solidarité nationale pour participer à des essais cliniques américains.

     

    Aussi lui demande-t-elle si elle ne pense pas qu'il serait plus performant, et moins épuisant pour des enfants malades, de développer ces essais cliniques directement sur le territoire européen voire français, pour permettre à ces enfants français et européens de bénéficier « bien avant l'ensemble des pays du monde » de traitements innovants, tels que les « CAR-T cells ». Le budget serait certainement moindre, et plus d'enfants y auraient accès. Ainsi, elle lui demande quel est l'état des démarches entreprises au niveau européen en ce sens, qui constituent l'un des objectifs du plan cancer 2014-2019.

     

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 31/05/2018 p. 2714

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  • Rappel de produits (mise à jour du 07 09 2018) (08 09 2018)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site de la DGCCRF)

    https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    04/09/2018 - Avis de rappel d’un casque mercury kid de marque BEAL

    Nom du produit : Casque d'alpinisme / escalade pour enfant

    Marque : BEAL

    Référence : Mercury Kid

    Lot : MK042632516

    Risque : Risque de blessure à la tête pour l'enfant en raison d'une protection insuffisante du casque.

     

    04/09/2018 - Avis de rappel d’un couteau de poche pour enfant de marque BALADEO
    Nom du produit : couteau de poche pour enfant - Papagayo

    Marque : BALADEO

    Référence : 53148900

    Risque : Risque de coupure en raison d'un dysfonctionnement du système de blocage du couteau.

    Mesure : Retrait et rappel des produits. Le professionnel demande de ne plus utiliser les produits et de les rapporter au point de vente en vue d'un remboursement.

     

    03/09/2018 - Avis de rappel des déguisements « Ariel » de marque Disneyland Paris
    Nom du produit : Déguisement du personnage Ariel

    Marque : Disneyland Paris

    Référence :

    Lot : Rappel des lots FAC-011100-17237, FAC-011100-17261, FAC-011100-17314 et FAC-011100-18012 vendus entre le 4 Novembre 2017 et le 24 Juillet 2018

    Risque : Brûlures  

    Description : La vitesse de propagation de la flamme sur le voile vert excède les limites dans le cadre de la norme d’inflammabilité relative à la sécurité des jouets, supérieur à 30 mm/s, ce qui pourrait poser un risque de brûlure.

    Commentaire : Les clients sont invités à ne plus utiliser les déguisements mis en cause et à se rapprocher de la société Eurodisney pour les modalités du rappel du produit.

     

    03/09/2018 - Avis de rappel des nouilles préparées de la marque NISSIN
    Présence de corps étrangers

    Nom du produit : Nouilles préparées (plusieurs saveurs et lots)

    Marque : NISSIN

    Nom produit

    Lots

    DDM

    Cup Noodles Mini Asie Spicy

    L800682
    L802072
    L803042

    02/2019
    05/2019
    07/2019

    Cup Noodles Spicy

    L801283
    L801943
    L801953
    L803433
    L804113

    02/2019
    03/2019
    03/2019
    05/2019
    06/2019

    Nouilles Japonaises Spicy

    L800883
    L801293
    L801963
    L803063
    L803673

    01/2019
    02/2019
    03/2019
    05/2019
    05/2019

     

     Liste des rappels des 30 jours précédents

     

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  • Minimum vieillesse et santé (07 09 2018)

    Nous proposons aujourd’hui des extraits (synthèse et encadré technique) d’un rapport de M. Jacques Pisarik (DREES) lu sur le site de La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, dans la brochure Etudes et Résultats, (n° 1066) parue en juin 2018 (cliquer ci-dessous pour accéder au site de la DREES ou au texte complet du rapport)

    http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/html

    http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er1066.pdf

    Minimum vieillesse: un allocataire sur deux se perçoit en mauvaise santé

    En 2012, 47 % des allocataires du minimum vieillesse en France métropolitaine se perçoivent en mauvaise ou très mauvaise santé, alors que ce n’est le cas que de 15 % des personnes de 60 ans ou plus. Ils sont également plus nombreux à déclarer être atteints d’une maladie chronique (70 % contre 57 %), à faire état de limitations d’activité importantes (44 % contre 16 %) et à être en situation de détresse psychologique (29 % contre 15 %). Cet état de santé dégradé concerne davantage les allocataires les plus pauvres, ainsi que ceux entrés avant 65 ans dans le dispositif, notamment en raison d’une situation de handicap, d’invalidité ou d’inaptitude au travail.

    14 % des allocataires du minimum vieillesse déclarent avoir renoncé, pour raisons financières, à des consultations de médecin au cours de l’année et 31 % à des soins dentaires, contre respectivement 3 % et 16 % pour l’ensemble des personnes de 60 ans ou plus.

    Enfin, 16 % des allocataires ne sont ni couverts par une complémentaire santé – couverture maladie universelle complémentaire incluse – ni pris en charge à 100 % par la Sécurité sociale au titre d’une affection de longue durée. Or, ne pas avoir de couverture maladie conduit souvent au renoncement aux soins pour raisons financières.

    Deux allocations pour le minimum vieillesse et deux possibilités pour un accès à une complémentaire santé

    Allocation supplémentaire vieillesse (ASV) et allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA)

    Le minimum vieillesse regroupe deux types d’allocations permettant de garantir le même niveau minimal de ressources aux personnes de 65 ans ou plus n’ayant pas de droits à une pension de retraite, ou pour lesquelles ces droits sont faibles. Le dispositif est également ouvert à partir de l’âge légal d’ouverture des droits à la retraite (60 ans à 62 ans selon les générations) sous certaines conditions, notamment en cas de handicap, d’incapacité ou d’inaptitude au travail, et pour les mères de familles nombreuses ayant exercé des travaux manuels ouvriers pendant une partie de leur carrière. L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) s’est substituée à l’allocation supplémentaire vieillesse (ASV) en 2007, mais les titulaires de l’ASV conservent cette allocation, sauf demande de changement pour l’ASPA. En 2012, le niveau de ressources garanti est de 777 euros pour une personne seule et de 1207 euros pour un couple.

    Minimum vieillesse et dispositifs d’accès à une couverture complémentaire santé

    Si la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) est accessible en dessous d’un plafond de ressource inférieur au montant de l’ASV et de l’ASPA, certains ménages allocataires du minimum vieillesse peuvent néanmoins en bénéficier, en fonction du nombre de personnes à charge dans le ménage. Cela peut également être le cas de façon transitoire si les ressources prises en compte pour l’ouverture des droits à la CMU-C (celles de l’an passé) sont inférieures aux ressources de l’année courante, que l’entrée dans le minimum vieillesse vient augmenter.

    L’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS) est une aide financière à la souscription d’un contrat individuel de couverture complémentaire. Relais entre la CMU-C et le dispositif de droit commun, son plafond (à hauteur de 135 % du plafond de la CMU-C) est supérieur aux montants de l’ASV et de l’ASPA. Parmi les personnes âgées, les allocataires du minimum vieillesse sont donc principalement concernées. Dans l’ensemble de la population, l’ACS est peu répandue (environ 800 000 bénéficiaires début 20121 ). Son montant est modulé en fonction de l’âge selon l’évolution des tarifs des contrats, qui sont plus chers pour les plus âgés. Un bénéficiaire de 60 ans ou plus perçoit 550 euros par an.

    1. Source : site de la CMU, rubrique Rapports et études, Statistiques, Bénéficiaires de l’ACS.
  • Hydratation et Santé (06 09 2018)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 août 2018 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180102903.html

    Question écrite n° 02903 de Mme Marie-Thérèse Bruguière (sénatrice de l’Hérault)

    Mme Marie-Thérèse Bruguière attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la question de l'hydratation. Des études récentes ont montré que deux Français sur trois ne s'hydratent pas correctement, et seulement 5 % des boissons de la journée sont consommées au bureau. Par ailleurs, en dépit des obligations réglementaires auxquelles doivent répondre les employeurs, seulement un tiers des employés a accès dans des conditions sanitaires acceptables à une eau fraîche et potable sur le lieu de travail.

     
    Le rapport visant à donner un nouvel élan à la politique nutritionnelle française de novembre 2013 préconisait notamment d'améliorer l'accessibilité de l'eau (mesure n° 6). Par ailleurs, une des mesures du plan d'action gouvernemental de lutte contre les drogues et la toxicomanie vise à lutter contre la consommation d'alcool sur les lieux de travail. Ces dispositions ouvrent ainsi un cadre propice à traiter du sujet de l'hydratation. Elles invitent à renforcer les politiques de prévention au sein de la population générale et auprès des entreprises en particulier qui pourraient passer par une campagne d'information nationale et la mise en place d'un repère de consommation efficace.

     
    La France, qui encourage depuis longtemps une alimentation équilibrée, y compris au moyen de messages publicitaires désormais bien connus, continue en effet d'ignorer les bienfaits de l'hydratation en ne développant aucune campagne en sa faveur telle que « buvez 1,5 litre par jour ». Par sa simplicité, un message de ce type aurait, à l'instar du message sur la consommation de fruits et légumes, l'avantage de marquer les esprits. Cette démarche pourrait à juste titre s'inscrire dans la future loi de santé publique et le prochain plan national nutrition santé. 
    Dans cette perspective, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures elle entend prendre en faveur de la promotion de l'hydratation dans le cadre de la stratégie nationale de santé et si elle envisage de favoriser la diffusion d'une circulaire rappelant et précisant les obligations des employeurs en matière d'hydratation.

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 30/08/2018 p. 4488

     

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  • Infirmiers en pratique avancée (03 09 2018)

    Nous proposons aujourd’hui cette note d’information publiée le 26 juillet 2018 sur le site Service-public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12803?xtor=EPR-100.html

    Infirmier en pratique avancée : un nouveau métier de la santé

    Publié le 26 juillet 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Prévue par la loi de modernisation du système de santé, la pratique avancée pour la profession infirmière est maintenant précisée avec la publication au Journal officiel le 19 juillet 2018 du décret relatif à son exercice. Les premières formations débutent en septembre.

    Ce décret définit les conditions de prise en charge et d'information du patient, les modalités de coopération entre l'infirmier de pratique avancée (IPA) et le médecin et la contribution de l'IPA au sein de l'équipe de soins.

    La pratique avancée vise un double objectif :

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