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santé - Page 122

  • Personnes âgées : hospitalisation, prévention dépendance (04 11 2017)

    Nous vous proposons cette fiche de synthèse publiée le 27 octobre 2017 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2801190/fr/prevenir-la-dependance-iatrogene-liee-a-l-hospitalisation-chez-les-personnes-agees.html

    Prévenir la dépendance iatrogène liée à l'hospitalisation chez les personnes âgées

    Fiche points clés organisation des parcours

    En France, près de 3 millions de personnes âgées de 70 ans et plus sont hospitalisées une ou plusieurs fois en services de soins aigus chaque année. Ces personnes âgées représentent près de 5,4 millions de séjours hospitaliers par an.

    Lors de ces hospitalisations, ces personnes peuvent perdre leur autonomie dans les activités de base de la vie quotidienne, on parle alors de dépendance liée à l’hospitalisation. Cette perte d’autonomie peut être due à plusieurs facteurs intriqués : certains sont liés au patient (sa pathologie et son état de santé avant l’hospitalisation) ; d’autres sont liés aux modalités de soins et à l’environnement hospitaliers. Dans ce dernier cas, on parle de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation, un phénomène en grande partie évitable qui concerne près de 10 % des personnes hospitalisées.

    Ce travail décrit les modalités de soins, les environnements et les organisations nécessaires pour répondre aux besoins spécifiques des patients âgés hospitalisés et lutter efficacement contre cette dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation.

    Il a été réalisé en coproduction par la Haute Autorité de Santé et le Collège national professionnel de gériatrie (CNPG).

    Points clés

    • Mettre en place dans l’ensemble des services hospitaliers recevant des personnes âgées de 70 ans et plus : le dépistage, la prévention, le suivi et le traitement des 6 causes principales de dépendance iatrogène liée à l’hospitalisation : le syndrome d’immobilisation, la confusion aiguë, la dénutrition, les chutes, l’incontinence urinaire de novoet les effets indésirables des médicaments.
    • Organiser dans l’établissement le recours à une expertise gériatrique pour les services hospitaliers recevant des personnes âgées, en particulier par le développement des équipes mobiles gériatriques hospitalières.
    • Adapter l’environnement et les équipements du service aux besoins spécifiques des personnes âgées.
    • Améliorer l’interface ville/ hôpital, à l’admission et en sortie d’hospitalisation.
    • Adapter l’organisation du service pour répondre à ces enjeux.

     

    • Ces mesures doivent s’inscrire dans le projet d’établissement et supposent une organisation ad hoc du fonctionnement des services, une démarche d’amélioration continue de la qualité, et la formation et l’accompagnement des personnels à tous les niveaux de l’organisation hospitalière (administrative, médicale et paramédicale), afin de mettre en place et de soutenir le changement des pratiques sur le long terme.

    Documents

     

  • Contrats aidés : secteur social et sanitaire (03 11 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 12 octobre 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ171001467.html

     

    Question écrite n° 01467 de M. François Bonhomme (sénateur du Tarn-et-Garonne)

    François Bonhomme attire l'attention de Mme la ministre du travail sur la nécessité, suite à la baisse massive annoncée dès 2017, d'effectuer un arbitrage favorable pour les contrats aidés à destination des publics prioritaires.

     
    Un grand nombre d'associations exerçant dans le champ de l'action sociale et sanitaire effectuent des missions reconnues d'intérêt général auprès de publics fragilisés par l'âge, le handicap ou les difficultés sociales.

     
    Ainsi, alors que ce secteur fait face à une problématique forte en matière de recrutement, le recours aux contrats aidés permet d'augmenter les capacités d'emploi de ces structures. 
    Outre que ce dispositif permet de former et de construire un parcours professionnel pour des personnes éloignées de l'emploi, le recours aux contrats aidés a permis de diminuer la masse salariale de ces associations et par là même de baisser le tarif horaire d'intervention pour les bénéficiaires.

     
    Aussi, il lui demande de lui indiquer si elle entend prendre en compte la situation particulière de ce secteur d'activité et tout au moins mettre en place un lissage au moment de la sortie de ce dispositif ainsi que des mesures d'accompagnement pour ne pas déstabiliser ces structures relevant de l'urgence sanitaire et sociale.

     

    Réponse du Ministère du travail publiée dans le JO Sénat du 12/10/2017 - page 3163

     

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  • Champignons : hausse des intoxications (02 11 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 20 octobre 2017 sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (cliquer ici pour accéder au site de l’ANSES)

    https://www.anses.fr/fr/content/forte-hausse-d%E2%80%99intoxications-graves-par-des-champignons-faites-identifier-les-champignons.html

    Forte hausse d’intoxications graves par des champignons. Faites identifier les champignons par un spécialiste !

    Face à la forte augmentation du nombre de cas graves d’intoxication liés à la consommation de champignons signalés aux centres antipoison et de toxicovigilance, l’Anses, la Direction générale de la santé (DGS) et les Centres antipoison renouvellent la mise en garde les amateurs de cueillette et rappellent les bonnes pratiques à respecter.

     

    Depuis le début de la surveillance, début juillet,  32 cas graves d’intoxication par des champignons ont déjà été rapportés aux centres antipoison sur 1 179 cas signalés. Alors que la moyenne annuelle observée est d’une vingtaine de cas graves. Sur les 32 cas, 20 correspondent à un « syndrome phalloïdien », caractérisé par des signes digestifs survenant en moyenne 10h à 12h après la consommation de champignons et peut être à l’origine d’une atteinte hépatique mortelle en l’absence de traitement[1] Ce syndrome peut être causé par des amanites (amanite phalloïde, amanite vireuse…), des petites lépiotes ou des galères. Parmi ces 20 cas, deux ont nécessité une greffe hépatique et un troisième cas est décédé.

     

    En raison de ce pic d’intoxications  et du nombre élevé de cas graves associés, la Direction Générale de la Santé (DGS) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) renouvellent leurs recommandations à respecter impérativement :

    En priorité et en cas de doute, il est indispensable de faire identifier, sa récolte par un spécialiste (pharmaciens, mycologues des associations ou sociétés savantes de mycologie [3]) avant toute consommation ; certaines intoxications pouvant s’avérer mortelles.

    Photographier sa cueillette avant cuisson permet au centre antipoison d’identifier le champignon, en cas d’intoxication.

     

    Toutes les régions sont concernées par des intoxications par des champignons, même si elles sont moins fréquentes dans le Nord et en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

     

    Dans les cas signalés, 94% des cas ont été provoqués par les champignons cueillis par des particuliers.

     

    En cas d’apparition d’un ou plusieurs symptômes (notamment diarrhées, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue, etc.) à la suite d’une consommation de champignons de cueillette : appelez immédiatement le « 15 » ou le centre antipoison de votre région, et précisez que vous avez consommé des champignons.

     

    [1]https://www.anses.fr/fr/system/files/BIORISK2014sa0232Fi.pdf

    [3]http://www.mycofrance.fr/

    EN SAVOIR PLUS

  • Troubles thyroïdiens : médicaments (31 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 3 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12070?xtor=EPR-100.html

    Troubles thyroïdiens : quels médicaments pour les patients ?

    Publié le 03 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    A partir de mi-octobre 2017, les patients souffrant de la thyroïde disposeront, au choix, des 4 médicaments suivants : Levothyrox (nouvelle formule), L-Thyroxin Henning (disponible de manière pérenne à partir de la mi-octobre 2017), L-Thryoxine Serb, Euthyrox (médicament équivalent à l'ancienne formule de Levothyrox). C'est ce qu'a précisé l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

    Pour rappel, l'ANSM a mis en place un numéro vert à la suite de signalements d'effets indésirables (fatigue inhabituelle, palpitations, tachycardie, par exemple) par les patients prenant du Levothyrox (nouvelle formule).

    Pour faire face à cette situation, les patients souffrant de la thyroïde disposeront des 4 médicaments suivants (diversification de l'offre de spécialités à base de lévothyroxine) :

    • Levothyrox (comprimé nouvelle formule) ;
    • L-Thyroxin Henning (comprimé disponible de manière pérenne à partir de la mi-octobre 2017) ;
    • L-Thryoxine Serb (solution buvable en gouttes et prescrit en priorité pour les enfants de moins de 8 ans, par exemple) ;
    • Euthyrox (comprimé équivalent à l'ancienne formule de Levothyrox et disponible en pharmacie depuis le 2 octobre 2017).

    En effet, cette diversification de l'offre doit permettre aux professionnels de santé, après avoir analysé les symptômes, de choisir un traitement approprié pour les patients rencontrant des effets indésirables avec Levotyrox nouvelle formule.

    En revanche, les patients, traités par Levothyrox nouvelle formule, ne présentant pas d'effets indésirables ou des effets indésirables transitoires peuvent poursuivre leur traitement.

      À savoir :

    Selon l'ANSM, la lévothyroxine est une hormone thyroïdiennes de synthèse, permettant de pallier au manque d'hormones naturellement présentes dans l'organisme.

      À noter :

    La délivrance en pharmacie de l'Euthyrox est soumise à deux conditions cumulatives : les ordonnances doivent être postérieures au 14 septembre 2017 et doivent mentionner spécifiquement le nom Euthyrox.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

  • Télévision et tout-petits (30 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 18 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12105?xtor=EPR-100.html

    La télévision est-elle adaptée aux tout-petits ?

    Publié le 18 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À l'heure où les nouvelles technologies ne cessent d'évoluer, votre enfant regarde souvent la télévision ou réclame régulièrement la tablette pour visionner ses programmes favoris ? Quelle attitude adopter en tant que parents ? Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vous répond.

    Selon le CSA, la télévision n'est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans qui doivent se construire en agissant sur le monde. En effet, le développement d'un jeune enfant passe par la motricité et la capacité à interagir avec les objets (jouets, par exemple) qu'il rencontre et les adultes qui l'entourent (parents, frères et sœurs par exemple). Il doit donc utiliser activement ses 5 sens. Or, la télévision risque d'enfermer l'enfant de moins de 3 ans dans un statut de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l'entoure.

    Le CSA précise également que lorsque l'enfant de moins de 3 ans regarde la télévision, il reçoit plusieurs informations (image et son) qu'il ne comprend pas et qui peuvent nuire à son développement et contribuer à son agitation.

    Pour en savoir plus

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

  • Rappel de produits (mise à jour du 27 octobre 2017)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    24/10/2017 - Avis de rappel de petits pots pour Bébé BLEDINA pot fruits 4x130g pommes mangues dès 6 mois
    Un problème rencontré en fin de production de ce lot rend les produits concernés potentiellement impropres à la consommation.

    NOM DU PRODUIT : BLEDINA pot fruits 4x130g pommes mangues dès 6 mois

    DESIGNATION OU MODELE : Poids : 4x130g   Code EAN 13 : 3041090717451

    DDM  : 19/02/2019            N° de lot : 2019.02.19

    ANOMALIE : Un problème rencontré en fin de production de ce lot rend les produits concernés potentiellement impropres à la consommation.

    MESURE PRISE PAR LE PROFESSIONNEL : Tous les distributeurs ont été informés et les produits ont été retirés de la vente. Il est demandé aux consommateurs de ne plus donner ces petits pots aux bébés / enfants et de soit les retourner à l’accueil du point de vente où ils recevront les informations nécessaires pour la procédure de remboursement des produits, soit contacter directement Blédina pour connaître les modalités de remboursement.

     

    18/10/2017 - Avis de rappel de Biscuits Biskids nature au jus de pommes bio sans sucres ajoutés
    Teneur élevée en acrylamide.

    MARQUE : Belkorn

    DESIGNATION OU MODELE : Biskids au jus de pommes concentré pour enfants de 6 mois et plus.

    Poids : 150g         Lot 164001 DDM au 03/10/2017 / Lot 171401 DDM au 03/04/2018

    ANOMALIE : Teneur élevée en acrylamide. L’acrylamide est un composé chimique qui se forme durant la cuisson à haute température et en milieu sec dans des produits d’origine végétale et riches en sucres. L’ingestion d’acrylamide en quantités élevées est nocive pour la santé.

    MESURE PRISE PAR LE PROFESSIONNEL : Les biscuits ont été vendus par divers magasins de détail. Tous les distributeurs ont été informés et les produits ont été retirés de la vente. Il est demandé aux consommateurs de ne plus donner ces biscuits aux enfants et de se retourner vers le point de vente où ils recevront les informations nécessaires pour la procédure de remboursement des produits.

     

    17/10/2017 - Avis de rappel de de lait de suite HIPP Biologique pour nourrissons à partir de 10 mois

    Packs vendus depuis août 2017 dans les magasins Intermarché uniquement. Il est demandé au consommateur de vérifier la DDM indiquée sur son pack et de ne pas consommer le produit en question.

    NOM DU PRODUIT : Lait de suite pour nourrissons à partir de 10 mois et aliment lacté liquide pour enfants en bas âge.

    MARQUE : HIPP BIOLOGIQUE CROISSANCE (pack de 6 bouteilles de 1L)

    DESIGNATION OU MODELE : DDM : xx/xx/2015   Code-barres : 4062300092365