Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 126

  • Troubles thyroïdiens : médicaments (31 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 3 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12070?xtor=EPR-100.html

    Troubles thyroïdiens : quels médicaments pour les patients ?

    Publié le 03 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    A partir de mi-octobre 2017, les patients souffrant de la thyroïde disposeront, au choix, des 4 médicaments suivants : Levothyrox (nouvelle formule), L-Thyroxin Henning (disponible de manière pérenne à partir de la mi-octobre 2017), L-Thryoxine Serb, Euthyrox (médicament équivalent à l'ancienne formule de Levothyrox). C'est ce qu'a précisé l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

    Pour rappel, l'ANSM a mis en place un numéro vert à la suite de signalements d'effets indésirables (fatigue inhabituelle, palpitations, tachycardie, par exemple) par les patients prenant du Levothyrox (nouvelle formule).

    Pour faire face à cette situation, les patients souffrant de la thyroïde disposeront des 4 médicaments suivants (diversification de l'offre de spécialités à base de lévothyroxine) :

    • Levothyrox (comprimé nouvelle formule) ;
    • L-Thyroxin Henning (comprimé disponible de manière pérenne à partir de la mi-octobre 2017) ;
    • L-Thryoxine Serb (solution buvable en gouttes et prescrit en priorité pour les enfants de moins de 8 ans, par exemple) ;
    • Euthyrox (comprimé équivalent à l'ancienne formule de Levothyrox et disponible en pharmacie depuis le 2 octobre 2017).

    En effet, cette diversification de l'offre doit permettre aux professionnels de santé, après avoir analysé les symptômes, de choisir un traitement approprié pour les patients rencontrant des effets indésirables avec Levotyrox nouvelle formule.

    En revanche, les patients, traités par Levothyrox nouvelle formule, ne présentant pas d'effets indésirables ou des effets indésirables transitoires peuvent poursuivre leur traitement.

      À savoir :

    Selon l'ANSM, la lévothyroxine est une hormone thyroïdiennes de synthèse, permettant de pallier au manque d'hormones naturellement présentes dans l'organisme.

      À noter :

    La délivrance en pharmacie de l'Euthyrox est soumise à deux conditions cumulatives : les ordonnances doivent être postérieures au 14 septembre 2017 et doivent mentionner spécifiquement le nom Euthyrox.

    Et aussi sur service-public.fr

    Pour en savoir plus

    Ministère chargé de la santé

    Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

  • Télévision et tout-petits (30 10 2017)

    Nous vous proposons cette fiche pratique publiée le 18 octobre 2017 sur le site Service public (cliquer ici pour accéder au site Service-public)

    https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A12105?xtor=EPR-100.html

    La télévision est-elle adaptée aux tout-petits ?

    Publié le 18 octobre 2017 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    À l'heure où les nouvelles technologies ne cessent d'évoluer, votre enfant regarde souvent la télévision ou réclame régulièrement la tablette pour visionner ses programmes favoris ? Quelle attitude adopter en tant que parents ? Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vous répond.

    Selon le CSA, la télévision n'est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans qui doivent se construire en agissant sur le monde. En effet, le développement d'un jeune enfant passe par la motricité et la capacité à interagir avec les objets (jouets, par exemple) qu'il rencontre et les adultes qui l'entourent (parents, frères et sœurs par exemple). Il doit donc utiliser activement ses 5 sens. Or, la télévision risque d'enfermer l'enfant de moins de 3 ans dans un statut de spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l'entoure.

    Le CSA précise également que lorsque l'enfant de moins de 3 ans regarde la télévision, il reçoit plusieurs informations (image et son) qu'il ne comprend pas et qui peuvent nuire à son développement et contribuer à son agitation.

    Pour en savoir plus

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

    Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)

  • Rappel de produits (mise à jour du 27 octobre 2017)

    En fonction des alertes, nous proposons ici chaque samedi une liste d’avis publiés dernièrement sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappels de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

     

    24/10/2017 - Avis de rappel de petits pots pour Bébé BLEDINA pot fruits 4x130g pommes mangues dès 6 mois
    Un problème rencontré en fin de production de ce lot rend les produits concernés potentiellement impropres à la consommation.

    NOM DU PRODUIT : BLEDINA pot fruits 4x130g pommes mangues dès 6 mois

    DESIGNATION OU MODELE : Poids : 4x130g   Code EAN 13 : 3041090717451

    DDM  : 19/02/2019            N° de lot : 2019.02.19

    ANOMALIE : Un problème rencontré en fin de production de ce lot rend les produits concernés potentiellement impropres à la consommation.

    MESURE PRISE PAR LE PROFESSIONNEL : Tous les distributeurs ont été informés et les produits ont été retirés de la vente. Il est demandé aux consommateurs de ne plus donner ces petits pots aux bébés / enfants et de soit les retourner à l’accueil du point de vente où ils recevront les informations nécessaires pour la procédure de remboursement des produits, soit contacter directement Blédina pour connaître les modalités de remboursement.

     

    18/10/2017 - Avis de rappel de Biscuits Biskids nature au jus de pommes bio sans sucres ajoutés
    Teneur élevée en acrylamide.

    MARQUE : Belkorn

    DESIGNATION OU MODELE : Biskids au jus de pommes concentré pour enfants de 6 mois et plus.

    Poids : 150g         Lot 164001 DDM au 03/10/2017 / Lot 171401 DDM au 03/04/2018

    ANOMALIE : Teneur élevée en acrylamide. L’acrylamide est un composé chimique qui se forme durant la cuisson à haute température et en milieu sec dans des produits d’origine végétale et riches en sucres. L’ingestion d’acrylamide en quantités élevées est nocive pour la santé.

    MESURE PRISE PAR LE PROFESSIONNEL : Les biscuits ont été vendus par divers magasins de détail. Tous les distributeurs ont été informés et les produits ont été retirés de la vente. Il est demandé aux consommateurs de ne plus donner ces biscuits aux enfants et de se retourner vers le point de vente où ils recevront les informations nécessaires pour la procédure de remboursement des produits.

     

    17/10/2017 - Avis de rappel de de lait de suite HIPP Biologique pour nourrissons à partir de 10 mois

    Packs vendus depuis août 2017 dans les magasins Intermarché uniquement. Il est demandé au consommateur de vérifier la DDM indiquée sur son pack et de ne pas consommer le produit en question.

    NOM DU PRODUIT : Lait de suite pour nourrissons à partir de 10 mois et aliment lacté liquide pour enfants en bas âge.

    MARQUE : HIPP BIOLOGIQUE CROISSANCE (pack de 6 bouteilles de 1L)

    DESIGNATION OU MODELE : DDM : xx/xx/2015   Code-barres : 4062300092365

  • Diabète type 2 (27 10 2017)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 7 septembre 2017 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2017/qSEQ170700144.html

    Question écrite n° 00144 de Mme Marie-France de Rose (sénateur des Hauts-de-Seine)

    Mme Marie-France de Rose attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé concernant l'épidémie de diabète de type 2.

     
    Aujourd'hui, quatre millions de personnes sont atteintes de diabète de types 1 et 2 en France, demain elles seront dix millions. Il faut s'interroger sur les moyens d'arrêter cette épidémie. 
    La prévalence mondiale du diabète chez les adultes de plus de 18 ans est passée de 4,7 % en 1980 à 8,5 % en 2014, faisant passer de 108 à 422 millions le nombre de personnes atteintes de diabète dans le monde.

     
    Cette épidémie n'épargne malheureusement pas la France puisqu'aujourd'hui 3,5 millions de personnes sont traitées pour un diabète et près de 700 000 s'ignorent. 
    Le diabète de type 2, forme la plus fréquente, résulte de mauvaise utilisation de l'insuline par les cellules de l'organisme. Deux anomalies sont responsables de l'hyperglycémie, à savoir l'insulinorésistance et l'insulinopénie. Il n'existe pas une cause mais un ensemble de facteurs à la fois génétiques et environnementaux.

     
    Afin de progresser et de mettre un terme à la recrudescence du diabète, une meilleure communication doit être mise en place valorisant la vie quotidienne avec une alimentation saine, le fait d'être actif et d'éviter une prise de poids excessive. Les pouvoirs publics doivent ainsi veiller à ce que les populations puissent faire ces choix sains.

     
    Si au sein de l'organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) la France est bon élève, il n'en reste pas moins qu'une personne sur huit est obèse et que 40 % des adultes sont en surpoids.

     
    Elle lui demande de bien vouloir étudier la mise en place d'actions simples de prévention primaire permettant de catalyser cette épidémie et de bien vouloir lui communiquer des informations sur, entre autres, le financement de cette prévention, l'action des acteurs sur le territoire, la construction des politiques de prévention à partir des territoires, la façon de passer de la prévention à la promotion de la santé et la mise en place du numérique comme opportunité pour la prévention de demain.

    Réponse du Ministère des solidarités et de la santé publiée dans le JO Sénat du 07/09/2017 p. 2817

     

    Lire la suite

  • Trouble bipolaire : repérage et prise en charge initiale (24 10 2017)

    Nous proposons ce mémo publié le 6 octobre 2015 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2058663/fr/trouble-bipolaire-reperage-et-prise-en-charge-initiale.html

    Le trouble bipolaire est une maladie psychiatrique chronique et récurrente d’évolution variable. Ce trouble débute souvent entre 15 et 25 ans. Il se caractérise par une alternance d'épisodes hypomaniaques ou maniaques et d'épisodes dépressifs légers, modérés ou sévères, avec des intervalles de rémission plus ou moins longs. Un repérage précoce et une prise en charge adaptée sont essentiels. Sans prise en charge appropriée, cette maladie engendre un risque élevé de suicide, de troubles psychiatriques et de désinsertion familiale et sociale. Explications du Dr Joëlle Favre-Bonté, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS (Propos recueillis par Arielle Fontaine – HAS).

    La HAS a réalisé une fiche mémo sur le repérage et la prise en charge initiale d’un trouble bipolaire.

    Quelles sont les spécificités de cette maladie ?

    Lire la suite

  • Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) (20 10 2017)

    Nous proposons ce mémo publié le 20 janvier 2016 sur le de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1508020/fr/degenerescence-maculaire-liee-a-l-age-prise-en-charge-diagnostique-et-therapeutique.html

    Dégénérescence maculaire liée à l’âge : prise en charge diagnostique et thérapeutique

    La dégénérescence maculaire est la principale cause de malvoyance chez les sujets âgés dans les pays industrialisés. Afin d’optimiser la stratégie diagnostique et d’harmoniser la prise en charge thérapeutique, la HAS a élaboré une recommandation professionnelle sur ce thème. Explications du Dr Joëlle Favre-Bonté, du service des bonnes pratiques professionnelles (Propos recueillis par Arielle Fontaine – HAS).

    Quelles sont les spécificités de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ?

     

    Lire la suite