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santé - Page 184

  • Moustique tigre : prévention (29 07 2014)

     

    Article publié le 18 juillet 2014 sur le site Service Public (Direction de l'information légale et administrative -Premier ministre) (cliquer ici pour accéder au site Service Public)

    http://www.service-public.fr/actualites/003116.html?xtor=EPR-140.html

    Moustique tigre sous surveillance sur www.signalement-moustique.fr

     

    Vous pensez avoir vu un moustique tigre (ce moustique est reconnaissable notamment à ses rayures noires et blanches sur le corps et sur les pattes) ? Vous pouvez le signaler en ligne surwww.signalement-moustique.fr.

     

    Même si, à ce jour, il n’y a pas d’épidémie en France métropolitaine, ce moustique est susceptible de véhiculer le chikungunya et la dengue. C’est pourquoi les autorités sanitaires invitent les personnes qui résident dans les zones où ce moustique est actif à adopter certains gestes pour éviter sa prolifération :

    ·         vider régulièrement les coupelles sous les pots de fleurs et les vases (au moins une fois par semaine) ou les supprimer,

    ·         vider et retourner les seaux et les récipients divers,

    ·         recouvrir à l’aide d’un filet moustiquaire ou de tissu les bidons de récupération d’eau,

    ·         introduire des poissons qui mangeront les larves dans les bassins d’agrément.

    Il est également important de se protéger contre les piqûres de ce moustique :

    ·         port de vêtements longs et amples,

    ·         aménagement de l’habitat (moustiquaires aux fenêtres…),

    ·         utilisation de produits répulsifs (ce moustique ayant une activité diurne, l’utilisation de répulsifs cutanés reste l’option la plus efficace).

    Originaire des forêts tropicales d’Asie du sud-est, le moustique tigre (aedes albopictus) est une espèce invasive de moustique présent en France métropolitaine depuis 2004 et actif dans 18 départements (en particulier dans le sud-est). Adapté aux environnements urbains où il colonise toutes sortes de récipients, le moustique tigre est un petit moustique (il mesure moins d’un centimètre) de couleur blanche et noire avec des ailes noires (sans tâches).

    Pour en savoir plus

    ·         S’informer sur le moustique tigre

    Portail de signalement du moustique tigre

    ·         Moustiques vecteurs de maladies

     

    Ministère des affaires sociales et de la santé

  • Pollution aux particules fines : dangers (28 07 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 juin 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140411395.html

    Question écrite n° 11395 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

    M. Roland Courteau attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur le danger des pollutions aux particules fines.

     
    Il lui indique que le centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe les microparticules comme cancérigène certain.

     
    Il lui demande quelles mesures le Gouvernement entend engager par rapport à cet important problème de santé publique. 

     

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 26/06/2014 p. 1542

     

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  • Téléphonie mobile : antennes-relais (24 07 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 29 mai 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131109354.html

    Question écrite n° 09354 de M. Alain Bertrand (sénateur de Lozère)

    M. Alain Bertrand demande à M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie la création d'une mission d'inspection sur l'installation des antennes-relais de radiotéléphonie mobile. Dans de nombreux cas, le bien-fondé du choix des sites retenus pour l'installation de l'antenne-relais et le bon usage des fonds publics ont été remis en cause par les riverains de ces infrastructures. Ils dénoncent, dans la plupart des cas, l'absence de concertation locale et un manque réel d'information lors de la construction des antennes, a minima sur les impacts de ces équipements sur leur santé.

     

    Par ailleurs, dans les cas où la création de l'antenne-relais résulte d'un partenariat public privée, les riverains ayant cherché à communiquer leurs griefs se sont heurtés à l'absence d'interlocuteur identifiable, l'entreprise niant bien souvent sa responsabilité et leur demandant de s'adresser à la collectivité territoriale, et vice versa. Beaucoup d'installations ont engendré des contentieux : à titre d'exemple, en Lozère, les infrastructures installées sur le site de Verdezun ont conduit les riverains à exercer plusieurs recours judiciaires. Il lui demande donc de mettre en place au plus vite une mission d'inspection et d'évaluation de la mise en place des antennes-relais de radiotéléphonie mobile sur le territoire national.

     

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 29/05/2014 p. 1261

     

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  • Enfants : troubles de l'attention, hyperactivité (23 07 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 juillet 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140210633.html

    Question écrite n° 10633 de M. Yves Détraigne (sénateur de la Marne)

     

    M. Yves Détraigne attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les troubles déficitaires de l'attention avec hyperactivité (TDAH) chez l'enfant. En effet, de nombreuses familles peinent à faire diagnostiquer leurs enfants souffrant de TDAH qui se caractérise par une inattention et des difficultés à se concentrer, une impulsivité marquée et une agitation incessante.

     
    Les symptômes les plus visibles – à savoir les comportements difficiles à l'école – sont souvent mal interprétés et les parents sont alors considérés comme responsables d'une mauvaise éducation… 

    Le diagnostic de TDAH représente, en revanche, un parcours long et compliqué puisqu'il nécessite le recueil et l'analyse de données issues de diverses sources d'informations (entretien individuel avec les parents et l'enfant, observation clinique, questionnaires pour les tiers, examen médical, évaluation neuropsychologique, pédopsychiatre…).

     
    Considérant que le défaut de prise en charge adaptée et précoce de cette pathologie peut avoir des conséquences sévères sur la vie entière des sujets car le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité persiste à l'adolescence et à l'âge adulte dans environ 60 % des cas, il lui demande de quelle manière elle entend mieux reconnaître et faire connaître les troubles déficitaires de l'attention avec hyperactivité chez l'enfant.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 03/07/2014 p. 1613

     

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  • Moustiques : dengue et chikungunya (17 07 2014)

    Nous proposons aujourd’hui cet article paru dans le n° 105 de juin 2014 de la publication Equilibres de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/105/virus_se_proteger_de_la_dengue_et_du_chikungunya.asp

     

    Comme chaque année depuis 2006, le ministère chargé de la santé renouvelle le dispositif de lutte contre la dissémination du moustique vecteur de la dengue et du chikungunya en France métropolitaine. Dans ce cadre, l'Institut diffuse plusieurs documents de sensibilisation à l'attention du grand public et des professionnels.

     

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  • Nanotechnologies (16 07 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 juin 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120902088.html

    Question écrite n° 02088 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

    M. Roland Courteau expose à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie que les nanotechnologies, ces technologies de l'infiniment petit, ont déjà envahi notre quotidien à travers les médicaments, cosmétiques, textiles, plastiques, automobiles.

    Il lui indique que nous aurions même franchi le cap des mille produits de grande consommation contenant des nanomatériaux ou nano-objets commercialisés dans le monde.

    Il lui précise, cependant, que nous ne disposerions que de peu de connaissances dans ce domaine en toxicologie.

    Dès 2006, l'AFSSET (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail) préconisait de limiter ou d'éviter l'exposition des personnels de l'industrie et de la recherche. En mars 2009, l'EFSA (Autorité européenne de sécurité sanitaire des aliments) appelait au développement de méthodes d'évaluation et d'information sur la toxicité. Plus tard, l'Agence européenne de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) indiquait que les nanotechnologies figuraient en première place des risques chimiques émergents pour les travailleurs en Europe… Enfin, l'INRS (Institut national de recherche et de sécurité), dans un rapport de juin 2009, précisait que les nano-objets et les nanomatériaux présentent une toxicité plus grande et sont à l'origine d'effets inflammatoires plus importants que les objets micro et macroscopiques de même nature chimique.

    Il lui fait, par ailleurs, remarquer que si la pénétration transcutanée des nano-objets est encore une hypothèse à l'étude, l'appareil respiratoire et le système gastro-intestinal constituent une voie majeure de pénétration.

    Il lui demande quelles mesures elle entend prendre concernant l'étiquetage des produits contenant ces nanomatériaux, quelles dispositions sont envisagées pour assurer la protection des personnels de l'industrie et de la recherche (hygiène-sécurité) et quels financements sont actuellement consacrés en matière de recherche sur la toxicologie. 

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 19/06/2014 p. 1451

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