Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé - Page 183

  • Ophtalmologistes (02 09 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 3 juillet 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140110236.html

    Question écrite n° 10236 de Mlle Sophie Joissains (sénateur des Bouches-du-Rhône)

    Mlle Sophie Joissains attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la situation critique que connaissent de nombreux départements concernant le manque d'ophtalmologistes. Il est de plus en plus difficile d'obtenir un rendez-vous de consultation chez un médecin spécialisé en ophtalmologie.

    Par ailleurs, les établissements publics rencontrent de plus en plus de difficultés pour avoir un ophtalmologiste d'astreinte la nuit, les week-ends et les jours fériés. En cas d'urgence ophtalmologiste, le seul recours du patient reste les services d'urgence, où les interventions se limiteront aux premiers soins.

    Elle souhaiterait donc connaître les intentions du Gouvernement pour répondre aux demandes de soins dans ces spécialités, notamment en ce qui concerne la formation de futurs médecins. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santépubliée dans le JO Sénat du 03/07/2014 p. 1612

     

    Lire la suite

  • Urgences : prise en charge (19 08 2014)

    Extraits (résumé, plan détaillé) d’une note d’analyse de Mmes Bénédicte Boisguérin et Hélène Valdelièvre parue le 30 juillet 2014 dans la revue Études et résultats n° 889, juillet 2014 du ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de la Santé - direction des études, de l’économie et des statistiques)

    http://www.drees.sante.gouv.fr/urgences-la-moitie-des-patients-restent-moins-de-deux,11336.html

    Urgences : la moitié des patients restent moins de deux heures, hormis ceux maintenus en observation

    Résumé :

     

    Lire la suite

  • Accès aux soins et CMU (18 08 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 19 juin 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131109208.html

    Question écrite n° 09208 de M. Roland Courteau (sénateur de l’Aude)

     

    M. Roland Courteau attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les difficultés d'accès aux soins d'un grand nombre de Français.

    Il lui indique qu'il semblerait que les complexités administratives seraient également responsables de la forte proportion existante de personnes ne sollicitant pas la couverture maladie universelle (CMU) et la complémentaire santé.

    Il lui demande si elle entend simplifier les démarches à accomplir pour améliorer l'accès aux soins du plus grand nombre. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 19/06/2014 p.1442

     

    Lire la suite

  • Cigarette électronique : analyse bénéfices-risques (12 08 2014)

    Fiche d’analyse du Haut-Comité à la Santé Publique publiée le 31 mai 2014 sur le site du HCSP (cliquer ici pour accéder au site du HCSP)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=419.html

    Bénéfices-risques de la cigarette électronique ou e-cigarette, étendus en population générale

    Un nouveau mode de consommation de substance à inhaler pouvant contenir de la nicotine se développe en France avec l’utilisation de la cigarette électronique ou e-cigarette.

    L’utilisation de ce produit industriel, récent et non pharmaceutique, se veut une « alternative » au tabac et à l’acte de fumer. La réduction possible du risque liée à la fumée de tabac est un sujet de grande importance compte tenu de la mortalité et de la morbidité liée au tabac. L’e-cigarette est présentée comme un moyen d’aide au sevrage tabagique et de nombreux utilisateurs y voient un espoir de sortir du tabagisme. Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), en réponse à la saisine de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), a réalisé une analyse de la littérature du rapport bénéfices-risques de la consommation d’e-cigarette et de ses conséquences possibles sur la population générale.

    L’analyse bénéfices–risques dépend du type de situation.

    • Les risques du développement de l’e-cigarette sont :
      • la re-normalisation du tabac ;
      • et pour les non-fumeurs, l’entrée dans la dépendance à la nicotine avec son corollaire, l’entrée dans le tabagisme. Ce risque semble particulièrement élevé chez les jeunes.
    • Pour les fumeurs ayant envie d’arrêter, la consommation d’e-cigarette est un outil de réduction des risques lorsqu’il amène au sevrage.
    • Pour les vapofumeurs (consommation de tabac et d’e-cigarette) de nombreuses interrogations demeurent et nous avons encore besoin d’études pour élaborer des recommandations étayées scientifiquement.

    La principale mise en garde du HCSP concerne le risque d’entrée en addiction nicotinique des adolescents et leur détournement vers le tabagisme.

    Le HCSP recommande :

     

    • L’observation périodique des niveaux et modes de consommation de l’e-cigarette.
    • L’information publique des consommateurs sur les risques ou sur la méconnaissance des risques.
    • La communication sur l’interdiction de vente aux mineurs des e-cigarettes et sur le risque du vapotage pour  la femme enceinte.
    • Un contrôle périodique de la présence de nicotine et de sa concentration dans les e-liquides.
    • La mise en place de mesures pour contrer la « renormalisation » de la consommation de nicotine inhalée ou fumée.
  • Fibromyalgie (07 08 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 juillet 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140511650.html

    Question écrite n° 11650 de M. Ronan Kerdraon (sénateur des Côtes-d'Armor)

     

    M. Ronan Kerdraon attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la reconnaissance de la fibromyalgie. La fibromyalgie est reconnue par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1992. Elle a d'abord été classée comme maladie rhumatismale (M 79.0) et, depuis janvier 2006, est désormais reconnue maladie à part entière (M 79.7). À la suite de l'OMS, d'autres pays ont reconnu officiellement cette pathologie, à l'instar de la Belgique, qui l'a classée dans les maladies handicapantes depuis mai 2011.

     

    Or, la France s'obstine à ne vouloir considérer la fibromyalgie que comme un syndrome, alors que 14 millions d'Européens et plus de deux millions de Français sont atteints de fibromyalgie, avec des répercussions extrêmement lourdes sur leur vie professionnelle, sociale et familiale. En décembre 2008, le Parlement européen a fait une déclaration écrite (69/2008) établissant pour les États membres des recommandations pour une meilleure prise en charge de la fibromyalgie et des malades, considérant notamment que : « cette pathologie n'est toujours pas répertoriée dans le catalogue officiel des maladies de l'Union européenne, ce qui rend impossible un diagnostic formel pour les patients » ; « que les personnes atteintes de fibromyalgie consultent plus souvent les généralistes, sont plus fréquemment adressées à des spécialistes, se voient délivrer plus de feuilles de maladie et reçoivent plus de soins hospitaliers, générant par conséquence des dépenses considérables pour l'Europe » ; « que pour [ces personnes] il est très difficile de vivre pleinement et en toute autonomie, à moins d'avoir accès aux traitement et soutien appropriés », car la gravité et l'évolution des symptômes sont très variables d'un patient à l'autre.

     

    De plus, il n'existe pas à ce jour de traitement spécifique ni de prise en charge bien établie de cette « maladie » qu'est la fibromyalgie. C'est d'ailleurs l'une des raisons qui font que la fibromyalgie ne peut pas être inscrite sur la liste des trente affections de longue durée (ALD 30) qui nécessitent un traitement prolongé. La fibromyalgie ne répond généralement pas non plus aux critères d'évaluation relatifs à l'admission en ALD 31, fixés par la circulaire ministérielle du 8 octobre 2009 (DSS/SD1MCGR/2009/308). Le plan d'« amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques » (2007-2011) apporte un soutien important mais, il est très loin de répondre aux attentes des personnes souffrant de ce mal. En effet, l'attribution de prestations extra-légales est appréciée par chaque caisse d'assurance maladie au cas par cas et sous condition de ressources, aussi l'égalité sur l'ensemble du territoire n'est pas respectée.

     

    Compte tenu de ces éléments et de l'importance de cette « maladie », il lui demande si le Gouvernement envisage de prendre les dispositions nécessaires pour faire reconnaître la fibromyalgie comme une maladie à part entière, comme l'a fait l'OMS.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/07/2014 p. 1674

     

    Lire la suite

  • Médicaments : vente en grandes surfaces (30 07 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 26 juin 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130707378.html

    Question écrite n° 07378 de M. François-Noël Buffet (sénateur du Rhône)

    M. François-Noël Buffet attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le projet de vente de médicaments délivrés sans ordonnance par le secteur de la grande distribution.

     
    Les pharmaciens d'officine, et plus globalement le syndicat des pharmaciens du Rhône s'inquiètent des conséquences sur l'avenir de leur profession. Les pharmacies assurent quotidiennement une mission de service de santé, tant en termes de prévention, de pédagogie pour lutter contre la surconsommation ou encore d'accompagnement des maladies chroniques.

     
    Devant l'avancée toujours préoccupante des déserts médicaux, les pharmacies ont un rôle majeur dans la proximité avec les patients et dans le désengorgement des services d'urgence pour les petites pathologies.

     
    Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire connaître sa position sur le sujet et les intentions du Gouvernement.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 26/06/2014 p. 1524

    Lire la suite