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santé - Page 187

  • Centre d’accueil et de soins de Nanterre (07 11 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 23 juillet 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ14070832S.html

    Question orale sans débat n° 0832S de M. Philippe Kaltenbach (sénateur des Hauts-de-Seine)

     

    M. Philippe Kaltenbach attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'avenir du centre d'accueil et de soins hospitaliers de Nanterre. Le centre d'accueil et de soins hospitaliers (CASH) de Nanterre est un établissement qui a la particularité d'accueillir sur un même site un dispositif de soins, avec la présence d'un hôpital généraliste, et un secteur social comprenant plusieurs structures comme une maison de retraite, un accueil de nuit, deux centres d'hébergement et de réinsertion sociale ainsi qu'une résidence sociale. Ancien pénitencier pour vagabonds créé au XIXème siècle, cette structure est un établissement autonome de la Ville de Paris présidée par le préfet de police, même si son avenir dépend aujourd'hui largement des décisions prises par l'agence régionale de santé d'Île-de-France dans le cadre de la réorganisation du service public hospitalier dans la boucle nord des Hauts-de-Seine. 

    Le CASH connaît depuis de nombreuses années de très importantes difficultés financières. Le déficit découlant de son activité actuelle, le plus important de la région francilienne, s'élève à près d'un million d'euros chaque mois. Un protocole d'accord avait été établi en 2011 entre le CASH et l'hôpital Louis Mourier de Colombes pour transférer une grande partie des services hospitaliers du premier vers le second. L'application de ce protocole, fortement contesté à l'époque par la population, les syndicats et les élus, semble désormais suspendue. En 2013, ce sont les élus socialistes des villes de Nanterre et de Colombes qui, à leur tour, toujours dans le cadre d'un rapprochement de cet établissement avec l'hôpital Louis Mourier, ont voulu présenter un projet alternatif de centre hospitalier universitaire public unique établi sur les deux sites. Actuellement, 1 500 salariés travaillent toujours au CASH. Ceux-ci attendent aujourd'hui des orientations pour surmonter ces difficultés financières. L'ajustement du déficit du CASH se fait, depuis de nombreuses années, essentiellement sur la masse salariale. Les agents de cette structure sont aujourd'hui, pour nombre d'entre eux, épuisés et veulent connaître leur avenir. Il lui demande quel projet clair et échelonné l'agence régionale de santé et la préfecture de police entendent-elles porter pour ce site qui contribue depuis plus d'un siècle à la prise en charge des plus démunis et au service public hospitalier dans l'ouest de la première couronne parisienne. 

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère des affaires sociales et de la santé, chargé de la famille, des personnes âgées et de l'autonomie publiée dans le JO Sénat du 23/07/2014 p. 6571

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 29 octobre 2014) (31 10 2014)

    Nous proposons ici chaque semaine dorénavant (après chaque mois depuis le 21 octobre 2011), une liste d’avis publiés ces jours récents, récapitulés avec ceux des trois semaines précédentes. Nous les avons trouvés sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappel de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    Liste des rappels du 26 10 au 30 10 2014

    28/10/2014 Avis de rappel d’un jouet poupon avec baignoire de marque MGM
    Des petits éléments peuvent se détacher en cas de casse de certains accessoires – risque d’ingestion par les jeunes enfants

     

    28/10/2014 Avis de rappel de Saucisses Lentilles de marque Auchan
    Possible présence de substances allergisantes (céleri, lait) non mentionnée sur l’emballage.

     

    Rappels précédents :

     

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  • Rappel de produits (mise à jour du 23 octobre 2014)

     

    Nous proposons ici chaque samedi dorénavant (après chaque mois depuis le 21 octobre 2011), une liste d’avis publiés ces jours récents, récapitulés avec ceux des trois semaines précédentes. Nous les avons trouvés sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Alertes/Avis-rappels-de-produits.html

    NDLR du Blog : Les avis de rappel de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée

    Liste des rappels des semaines du 22 09 au 25 10 2014

    21/10/2014 Avis de rappel d’une crème hydratante corporelle de marque Népenthès
    L’étiquetage fait référence aux nourrissons alors qu’il est déconseillé d’appliquer cette crème sur leur peau.

     

    21/10/2014 Avis de rappel d’un adaptateur USB de marque CASA
    Risque de choc électrique

     

     

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  • Etiquetage nutritionnel (24 10 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 21 août 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140612323.html

    Question écrite n° 12323 de Mme Michelle Demessine (sénateur du Nord)

     

    Mme Michelle Demessine attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nécessité de définir un modèle national d'étiquetage nutritionnel simplifié afin de lutter contre les maladies chroniques liées à une mauvaise alimentation. 
    En France, 49 % des adultes et 18 % des enfants sont obèses ou en surpoids, 3 millions de personnes sont diabétiques ; quant aux maladies cardiovasculaires, elles représentent la deuxième cause de mortalité avec 147 000 décès annuels. Alors que les produits transformés constituent désormais la grande majorité des aliments consommés, l'observatoire de la qualité de l'alimentation (OQALI) a démontré que sur les dix dernières années, l'industrie alimentaire n'a pas été en mesure de diminuer les taux de matières grasses saturées, de sucre ou de sel dans les aliments. C'est donc intégralement sur les consommateurs que repose la responsabilité de construire une alimentation équilibrée dans la durée, mais de nombreuses études montrent leur incapacité à identifier la qualité nutritionnelle de ces aliments industriels. En effet, qu'il s'agisse de l'étiquetage défini par la réglementation européenne ou des étiquetages volontaires mis en œuvre par les professionnels, leurs formats restent tous particulièrement complexes et donc inutilisables en pratique.

    C'est dans cette optique qu'un rapport remis en janvier 2014 à la ministre de la santé propose une échelle nutritionnelle simple et compréhensible par tous, classant les aliments en cinq classes sous la forme d'une échelle de couleurs afin de lui assurer une grande lisibilité. Alors que les divers formats nutritionnels existants nuisent par leur diversité à la compréhension et à la comparaison entre produits, cette proposition a pour ambition de fournir un modèle national unique pour les étiquetages que les professionnels pourront mettre en place à titre volontaire. Cette mesure présente aussi un intérêt pour les industriels, car elle incitera à l'amélioration de la composition des produits en valorisant leurs efforts au travers d'un positionnement plus favorable sur l'échelle nutritionnelle visible par les consommateurs.

    Cette mesure est soutenue par trente-et-une sociétés savantes, organisations scientifiques, associations de malades et de consommateurs. Elle est également appuyée par une pétition ayant recueilli plus de 20 000 signatures de professionnels de la santé. Alors que l'obésité et le surpoids continuent à augmenter chez les adultes et les enfants des classes défavorisées, alors que les chiffres du diabète augmentent de 6 % chaque année, il est essentiel que la loi de santé publique qui donnera les grandes orientations de santé pour les dix ans à venir comporte un volet nutritionnel à la hauteur des enjeux que représente l'alimentation.

    Compte tenu de ces éléments, il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer comment, à l'instar des réflexions qui ont lieu actuellement au vu du projet de loi de santé publique de 2014, le Gouvernement entend encadrer les modalités de mise en œuvre de cet étiquetage nutritionnel nécessaire à la prévention de l'obésité et à l'information du consommateur.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 21/08/2014 p. 1934

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  • Parler avec son pharmacien (23 10 2014)

    Note d’information parue en juillet 2014 sur le site de la Haute Autorité de Santé (cliquer ici pour accéder au site de la HAS)

    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1761963/fr/parler-avec-son-pharmacien.html

    Pourquoi est-ce important ? 

    En parlant avec le pharmacien vous pouvez éviter des erreurs et mieux comprendre vos traitements. Tout est important : vos problèmes de santé, un changement de médicament, de régime alimentaire, les effets inattendus ressentis, l’orthographe de votre nom, vos réticences et inquiétudes, etc.

    "Ma sécurité dépend aussi de ma vigilance"

    Je n’hésite pas à poser des questions, j’échange avec le pharmacien sur ce qui est important et utile pour moi.

    Je n’hésite pas à signaler au pharmacien, comme au médecin, la survenue d’un effet indésirable ou inhabituel lié à la prise d’un médicament ou à l’utilisation d’un dispositif médical (par exemple : rougeur cutanée, diarrhée, somnolence, malaise, vertiges, chutes ..  ).

    Je peux aussi le déclarer sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM)

    Documents

    ·         Brochure Parler avec son pharmacien (http://www.has-sante.fr/portail/images/jalios/icons/files/pdf.gif 692,1 Ko) ReadSpeaker Écouter

    ·         Affiche Parler à son pharmacien A3 (http://www.has-sante.fr/portail/images/jalios/icons/files/pdf.gif 691,52 Ko) ReadSpeaker Écouter

     

    Conseils utiles pendant la visite à la pharmacie

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  • Vaccinations : synthèse (21 10 2014)

     

    Note de synthèse publiée le 20 octobre 2014 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education Sanitaire (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/70000/cp/14/cp141020-vaccination.asp

    En hiver, au printemps, en été ou à l’automne, la mise à jour des vaccins c’est toute l’année !

    Bébés, jeunes, adultes… Quel que soit l’âge, nous sommes tous concernés par la vaccination. Et pour cause : c’est le moyen de prévention le plus efficace pour se protéger de certaines maladies infectieuses. Si aujourd’hui plus de 8 Français sur 101 s’y disent favorables, ils sont encore 19% à déclarer ne pas être à jour de leur vaccination. Pour autant, il n’est jamais trop tard pour se faire vacciner et les rattrapages sont possibles toute l’année ! Pour permettre à toute la famille d’être correctement protégée, l’Inpes propose aujourd’hui une piqûre de rappel sur les vaccins et les mises à jour.

    La vaccination, ça commence dès le plus jeune âge !

     

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