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santé - Page 191

  • Réduction des émissions de CO2 (26. 05 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 mai 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131109371.html

    Question écrite n° 09371 de M. Louis Nègre (sénateur des Alpes-Maritimes)

    M. Louis Nègre attire l'attention de M. le ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie sur la lenteur du progrès en termes de réduction des émissions de CO2.

     
    Selon un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), non seulement la consommation énergétique mondiale s'envole, mais la quantité de dioxyde de carbone émise pour chaque unité énergétique produite n'a baissé que de 1 % en moyenne depuis vingt-trois ans, à cause principalement de l'essor continu du très polluant charbon.

     
    En effet, ce rapport, publié en avril 2013 et intitulé «Identifier les progrès de l'énergie propre», démontre que pour la majorité des technologies économisant l'énergie et réduisant les émissions de CO2, la lenteur des progrès est alarmante.

     
    Pour l'AIE, cette situation «reflète la domination continue des combustions fossiles – notamment le charbon – dans le bouquet énergétique et la lenteur de la montée des technologies moins carbonnées».

     
    Les objectifs mondiaux, fixés pour 2020, visant à limiter le réchauffement à 2 degrés en 2100, ne pourront être atteints sans un réel changement de cap.

     
    D'autre part, les investissements dans les énergies vertes s'effondrent, avec une baisse de 22 % au 1er trimestre 2013, comparativement à l'année précédente, et de 38 % par rapport au dernier trimestre 2012.

     
    Il entend donc savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour atteindre les objectifs fixés lors des sommets internationaux et augmenter la part des énergies renouvelables en France. 

     

    Réponse du Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie publiée dans le JO Sénat du 22/05/2014 p. 1199

     

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  • Pension d’invalidité et Allocation Adultes Handicapés (AAH) (23 05 2014)

     

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 mai 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ140210480.html

    Question écrite n° 10480 de M. Jean Louis Masson (sénateur de la Moselle)

     

    M. Jean Louis Masson attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le cas d'une personne qui perçoit une petite pension d'invalidité et qui aurait droit également à l'allocation adultes handicapés (AAH). Cette personne se heurte cependant à un refus au motif que l'on ne peut pas cumuler les deux.

     

    Il lui demande si dans le cas d'une personne qui a un taux d'invalidité de près de 90 %, une telle restriction ne lui semble pas profondément injuste. Le cas échéant, il souhaiterait savoir si elle envisage d'assouplir la réglementation existante.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/05/2014 p. 1123

     

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  • Fenêtres : chutes d’enfants (22 05 2014)

    Fiche-conseil publiée le 7 avril 2014 sur le site de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/70000/cp/14/cp140407-defenestrations.asp

    Chutes d’enfants par la fenêtre Appel à la vigilance des parents : 4 fois sur 5, un adulte est présent

    Le printemps et les beaux jours arrivent et avec les premières chaleurs, les risques de chutes par la fenêtre augmentent. Selon l’enquête Défenestrations 2013, l’Institut de veille sanitaire (InVS), en collaboration avec l’hôpital Necker Enfants malades, a enregistré durant sept mois d’enquête, en Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Nord-Pas-de-Calais, 76 « chutes accidentelles de grande hauteur » (défenestrations) chez les enfants de moins de 15 ans (taux d’incidence 1,9/100 000). Elles ont été suivies de 9 décès. 8 personnes ont par ailleurs présenté des séquelles à un mois (dont 3 sévères).

    Les enfants de moins de 6 ans particulièrement touchés

    Les chutes accidentelles de grande hauteur concernent surtout les enfants de moins de 6 ans (62 %), majoritairement des garçons (70 %). Dans la moitié des cas, la chute a eu lieu alors que l’ouverture disposait d’une protection, qui a donc été inefficace. De même, quatre fois sur cinq, un adulte était présent dans le logement au moment de la chute. Un meuble se trouvait sous l’ouverture dans plus de la moitié des cas.

    Ces résultats sont semblables à ceux des enquêtes réalisées en 2005 et 2006. On doit toutefois mentionner que le nombre de cas a diminué entre 2006 et 2013, de 106 à 76, les décès passant de 10 à 9 et les séquelles sévères de 7 à 3.

    Soyez vigilant et sécurisez votre habitat

    A la veille des beaux jours, poursuivant ses actions de prévention sur le sujet, l’Inpes diffuse deux affiches pour prévenir les risques de défenestration auprès des crèches, PMI, pédiatres, centres d’actions communales et préfectures. Elles sont également téléchargeables sur www.inpes.sante.fr et disponibles gratuitement sur demande auprès de l’Inpes.

    Les conseils à retenir :

    ·         il ne faut  jamais laisser un enfant seul, ou sous la responsabilité d’un autre enfant ou adolescent, près d’une fenêtre ouverte ou sur un balcon,

    ·         il ne faut jamais laisser des meubles ou objets sous une fenêtre : les enfants peuvent s’en servir pour accéder à leur ouverture.

    Verrous, poignées verrouillables, entrebâilleurs, bloc-portes, barrières qui font office de garde-corps… ne suffisent pas et ne remplacent jamais la vigilance d’un adulte.

     

    « Il faut se mettre dans la tête d’un enfant, il entend des bruits à l’extérieur et cherchera à voir ce qui se passe. S’il y a un conseil à retenir, c’est de ne jamais laisser un enfant seul quand une fenêtre est ouverte » rappelle Thanh Le Luong, directrice générale de l’Institut National de prévention et d’éducation à la santé (Inpes).

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  • Suicide : adolescents, prévention (09 05 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 février 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ131209572.html

    Question écrite n° 09572 de Mme Patricia Schillinger (sénateur du Haut-Rhin)

     

    Mme Patricia Schillinger attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur le suicide des adolescents. Le nombre de suicides d'adolescents augmente régulièrement depuis les années 70. Aujourd'hui, ce sont près de 1 000 décès par an, pour 80 000 tentatives. Avec 15 % du total des décès, le suicide représente la deuxième cause de mortalité chez les moins de 20 ans, loin derrière les accidents de la circulation, 40 % du total des décès de cette classe d'âge. Si les filles sont plus nombreuses que les garçons à tenter de se suicider, ces derniers arrivent plus souvent à leurs fins.

     

    Les causes de ces morts tragiquement volontaires sont complexes, multifactorielles et toujours singulières. Par conséquent, elle lui demande quelle politique de prévention du suicide chez les jeunes elle envisage de mener. 

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 27/02/2014 p.531

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  • Aide à distance en Santé (2/2) (07 05 2014)

    Nous proposons sur 2 jours la précieuse notice des informations et conseils en Santé publiée le 13 avril 2012 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/telephonie_sante/index.asp

    -       Présentation

    -       Tableau récapitulatif

     

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  • Aide à distance en Santé (1/2) (06 05 2014)

    Nous proposons sur 2 jours la précieuse notice des informations et conseils en Santé publiée le 13 avril 2012 sur le site de l’INPES (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.sante.fr/10000/themes/telephonie_sante/index.asp

    -       Présentation

    -       Tableau récapitulatif

    Acteur majeur de la téléphonie santé depuis 2003, l’Inpes finance en 2012 dix-sept dispositifs d’aide à distance associant des lignes téléphoniques et des sites Internet (Tabac Info Service, Drogues Info Service, Fil Santé Jeunes, Sida Info Service, etc.). Ces dispositifs ont répondu à près de 1,25 millions d’appels en 2011 et l’ensemble des sites internet a reçu plus de 6,6 millions de visites. Ce sont des moyens de prévention très importants, au contact direct des Français. Un vaste programme de réorganisation de ces structures a été engagé en 2010.

    À partir de 2003, l’Inpes s’est vu confier par les pouvoirs publics le pilotage d’une partie des services de téléphonie santé encore appelés services de prévention et d’aide à distance en santé (PADS) puisqu’ils associent des lignes téléphoniques et des sites internet. Ces dispositifs portent sur des champs variés en matière de prévention :

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