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santé - Page 194

  • ALD : franchises médicales (14 03 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 janvier 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121203831.html

    Question écrite n° 03831 de M. Luc Carvounas (sénateur socialiste du Val-de-Marne)

    M. Luc Carvounas attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les inquiétudes suscitées par le maintien des franchises médicales pour les personnes atteintes d'une affection longue durée (ALD).

     

    Les malades chroniques sont souvent contraints de réduire leur activité professionnelle en raison des incapacités inhérentes à leur maladie, ce qui les place dans une situation de précarité nécessitant un soutien appuyé de notre protection sociale. Or les franchises médicales auxquelles sont soumises les prescriptions de médicaments, ainsi que les consultations et actes médicaux, grèvent fortement le budget de ces personnes déjà fragiles, ce qui peut être un sérieux frein à la continuité des soins.

     

    C'est la raison pour laquelle il lui demande quelles mesures elle compte prendre pour améliorer la situation de ces personnes.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 30/01/2014 p. 267

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  • ALD : franchises médicales (21 02 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 janvier 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ121203831.html

    Question écrite n° 03831 de M. Luc Carvounas (sénateur du Val-de-Marne)

    M. Luc Carvounas attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les inquiétudes suscitées par le maintien des franchises médicales pour les personnes atteintes d'une affection longue durée (ALD).

     

    Les malades chroniques sont souvent contraints de réduire leur activité professionnelle en raison des incapacités inhérentes à leur maladie, ce qui les place dans une situation de précarité nécessitant un soutien appuyé de notre protection sociale. Or les franchises médicales auxquelles sont soumises les prescriptions de médicaments, ainsi que les consultations et actes médicaux, grèvent fortement le budget de ces personnes déjà fragiles, ce qui peut être un sérieux frein à la continuité des soins.

     

    C'est la raison pour laquelle il lui demande quelles mesures elle compte prendre pour améliorer la situation de ces personnes.

     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 30/01/2014 p. 267

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  • Optique : ordonnances,durée (14 02 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 16 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130908306.html

    Question écrite n° 08306 de M. Ronan Kerdraon (sénateur des Côtes-d'Armor)

    M. Ronan Kerdraon attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation, sur la dangerosité de l'extension de la durée de l'ordonnance de lunettes à cinq ans et de l'absence d'ordonnance pour les lentilles de contact oculaires.

    L'article 17 quater du projet de loi relatif à la consommation modifié par le Sénat le 13 septembre 2013 propose d'allonger à cinq ans la durée pendant laquelle les opticiens-lunetiers peuvent adapter une prescription médicale de verres correcteurs.

    Cette mesure diminuerait la prévention et le dépistage des pathologies oculaires et pourrait avoir des effets catastrophiques pour la vision des porteurs, compte tenu des maladies oculaires chroniques liées à l'âge, dont certaines comme les glaucomes. Par ailleurs, des pathologies plus rares et graves comme le mélanome intraoculaire ou les tumeurs intracérébrales ne pourraient alors être découvertes à un stade précoce.

     
    L'argument relatif aux délais de rendez-vous chez les ophtalmologistes pour introduire cette mesure n'est pas recevable. Actuellement un patient peut en effet attendre six mois pour consulter un ophtalmologiste mais avec cette disposition le Gouvernement permettrait au porteur de lunettes de rester cinq ans sans consultation.

    De plus, le dispositif visant à permettre la délivrance de lentilles oculaires sans ordonnance est facteur de risques. Les lentilles de contact sont des dispositifs médicaux pouvant entraîner des pathologies de la surface oculaire et nécessitent une adaptation précise. Cette adaptation des lentilles est un acte médical inscrit à la classification commune des actes médicaux et est à ce titre réservée aux médecins.

    Aussi, il lui demande de bien vouloir prendre en compte la sécurité des patients.

    Réponse du Ministère chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation publiée dans le JO Sénat du 16/01/2014 p. 176

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  • Compléments alimentaires OxyElite Pro et Versa-1 : mise en garde (11 02 2014)

    NDLR : même si ces compléments alimentaires (amaigrissement, masse musculaire) n’intéressent que rarement notre pratique de retraités, nous pouvons utilement intégrer ces informations pour nos proches plus jeunes.

    Note d’information publiée le 23 janvier 2014 sur le site du Ministère de la Santé (cliquer ici pour accéder au site du ministère de la Santé)

    http://www.sante.gouv.fr/mise-en-garde-contre-la-consommation-de-complements-alimentaires-oxyelite-pro.html

    Mise en garde contre la consommation de compléments alimentaires OxyElite Pro

    23 janvier 2014

    75 cas confirmés d’hépatites aiguës non-virales ont été signalés via le réseau Infosan [1] dans plusieurs pays du monde (États-Unis, Irlande, Nouvelle-Zélande, Japon), dont un décès aux États-Unis.

    Ces cas sont survenus chez des personnes ayant toutes consommé des produits de marque OxyElite Pro et Versa-1. Après investigations, la Food and Drug Administration (FDA) soupçonne l’aegeline, substance contenue dans tous ces produits, non autorisée aux États Unis et en Europe, d’être à l’origine de ces cas d’hépatite.

    Outre les atteintes hépatiques, des symptômes de type digestifs, cardiovasculaires et neurosensoriels ont pu également être mis en évidence. En France, aucun cas n’a été diagnostiqué en lien avec la consommation de ces produits.

    Les produits de marque OxyElite Pro et Versa-1 sont présentés comme des compléments alimentaires favorisant la perte de poids ou le renforcement musculaire. Cinq produits ont été répertoriés :

    ·         OxyELITE Pro Super Thermo capsules

    ·         OxyELITE Pro Super Thermo Genic capsules

    ·         OxyELITE Pro Ultra-Intense Thermo capsules

    ·         OxyELITE Pro Super Thermo powder

    ·         Versa-1

    La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a refusé d’autoriser la mise sur le marché français des compléments alimentaires OxyElite Pro et Versa-1. Elle a néanmoins recensé des sites internet les commercialisant. A l’issue des contrôles réalisés auprès des responsables de ces sites, tous les produits ont été retirés du marché. Des magasins revendeurs de ces produits également répertoriés en ont fait de même.

    La DGS et la DGCCRF recommandent aux consommateurs de ne pas acheter ni consommer les produits OxyElite Pro et Versa-1.

    En cas d’apparition de symptômes dans les jours suivant la prise de compléments alimentaires de type OxyElite Pro ou Versa-1, consulter rapidement un médecin.

     

    [1] International Food Safety Authorities Network

  • Défibrillateurs : implantation, formation (03 02 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 10 janvier 2014 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2014/qSEQ14010291G.html

    Question d'actualité au gouvernement n° 0291G de M. Alex Türk (sénateur du Nord)


    Chaque année, 50 000 personnes meurent à la suite d'une fibrillation cardiaque, ce qui constitue la deuxième cause de mortalité en France. Le taux de survie dans notre pays avoisine les 5 %, alors que, aux États-Unis, il est proche de 25 % dans certains États fédérés. Or nous pourrions aujourd'hui intervenir sur un quart environ de ces fibrillations cardiaques, celles qui surviennent en dehors du domicile. C'est donc un pourcentage extrêmement important.

     
    Voilà quelques années, en 2006, notre ex-collègue Sylvie Desmarescaux et moi-même avions décidé de consacrer notre réserve parlementaire, tellement décriée par ailleurs, à la constitution d'un réseau dans le département du Nord, en liaison bien évidemment avec les maires. C'est ainsi que, grâce aux efforts fournis par le Sénat, nous avons pu financer l'achat de 2 000 appareils dans les 500 communes qui constituent ce réseau. Plus d'une trentaine de personnes ont ainsi été sauvées à ce jour. Cette expérience, qui ne constitue bien évidemment qu'une première initiative, m'amène à poser deux questions.

     
    En premier lieu, je constate que nous accusons un retard considérable en matière de formation. Certes, la journée citoyenne prévoit la possibilité, et même normalement l'obligation, pour chaque jeune, garçon ou fille, de suivre une formation aux premiers secours.

     
    Dans le milieu scolaire – j'ai procédé à une rapide enquête qui m'a permis de confirmer ce que je soupçonnais –, l'organisation de la formation dépend de la présence sur le site du matériel nécessaire et des personnels compétents. Un certain nombre de jeunes vont donc vivre leur vie d'adulte, jusqu'à leur propre décès, sans être capables de porter secours sous la forme d'un massage cardiaque ou de l'utilisation d'un défibrillateur. Je m'adresse donc à Mme la ministre pour lui demander s'il ne serait pas temps de rendre réellement obligatoire cette formation et de lui consacrer les moyens nécessaires.

     
    En second lieu, se pose le problème de l'installation des défibrillateurs. Il faut absolument multiplier les appareils à disposition de la population. Pour ce faire, nous pourrions imaginer de rendre leur présence obligatoire non seulement dans les entreprises au-delà d'un certain seuil de salariés, dans tous les locaux qui accueillent un certain nombre de personnes, mais également dans les logements collectifs et, bien évidemment, dans les établissements scolaires et universitaires. 

    Pour conclure, je rappelle un seul chiffre : lorsque nous aurons atteint le taux de survie de l'Amérique du Nord ou d'un certain nombre d'autres pays européens, 3 000 personnes supplémentaires seront sauvées chaque année.

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 10/01/2014 p. 183

     

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  • Aliments : date limite de consommation (31 01 2014)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 9 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ130907972.html

    Question écrite n° 07972 de M. Christian Cambon (Val-de-Marne - UMP)

     

    M. Christian Cambon attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation, sur le manque de clarté concernant la mention « date limite de consommation ».

     
    La loi n° 2013-453 du 3 juin 2013 visant à garantir la qualité de l'offre alimentaire en outre-mer interdit la différence d'étiquetage, notamment sur les yaourts destinés à la distribution, dans les départements d'outre-mer (DOM) par rapport à la métropole. Avant l'adoption de ce texte, certaines marques de yaourt portaient une date limite de consommation (DLC) de 55 à 60 jours pour les DOM, contre 30 sur le marché dit hexagonal.

     
    Le code de la consommation laisse libre le fabricant de fixer lui-même la date limite de consommation (DLC), sauf pour quelques produits où la réglementation sanitaire s'impose. 

    Afin de limiter les gaspillages alimentaires, les consommateurs souhaiteraient connaître les modalités qui définissent les DLC. La Commission européenne et le Conseil européen ont décidé de faire de 2013 l'« année européenne de lutte contre le gaspillage alimentaire », avec comme objectif de le réduire de moitié d'ici 2025.

     
    Il lui demande quelles mesures il souhaite proposer pour clarifier l'information du consommateur et éviter le gaspillage alimentaire. 

     

    Réponse du Ministère chargé de l'économie sociale et solidaire et de la consommation publiée dans le JO Sénat du 09/01/2014 p. 94

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