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santé - Page 194

  • Virus de l’hiver : conseils pour un hiver en bonne santé (1/4) (11 12 2013)

    Nous proposons ces 4 prochains jours des indications importantes lues dans le dossier de presse publié le 6 décembre 2013 sur le site de l’Institut de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES ou au document intégral)

    http://www.inpes.fr/70000/cp/13/cp131206-virus-hiver.asp

    http://www.inpes.fr/70000/dp/13/dp131206.pdf

    Sommaire

    Des millions de Français touchés chaque année par les virus de l’hiver     

    L’hiver et ses virus    

    Des conséquences économiques et sociales à ne pas négliger          

    Les principaux modes de transmission des virus de l’hiver      

    Les mains, vecteurs de transmission des virus de l’hiver           

    Se laver les mains régulièrement, le premier réflexe à adopter cet hiver    

    Comment se laver les mains efficacement pour réduire la transmission des virus ?

    Le lavage des mains, pas encore un réflexe pour les Français              

    Autres gestes de prévention pour une meilleure protection de soi et des autres

    Limiter les contacts directs                    

    Eviter les lieux fréquentés                               

    Eternuer et tousser en se couvrant la bouche

    Porter un masque                        

    Se faire vacciner contre la grippe                             

    Grippe, gastro-entérite… : quelles sont les maladies qui peuvent gâcher notre hiver ?

    Qu’est-ce que la gastro-entérite ?                                 

    Qu’est-ce que la grippe ?                                     

    Quelles sont les autres infections respiratoires ?   

    3 questions à Thanh Le Luong, directrice générale de l’Inpes.

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  • Boissons énergisantes : risques (09 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 5 décembre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ130405829.html

    Question écrite n° 05829 de M. Dominique Bailly (sénateur socialiste du Nord)

    M. Dominique Bailly attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur les risques que présente la consommation de boissons énergisantes pour la santé. 

    Une étude sur la consommation des boissons énergisantes a été menée, pendant un an, par l'Institut régional de biologie du bien-être, de la médecine et du sport Santé Nord–Pas-de-Calais. Cette enquête a rassemblé 3 396 réponses, dont 1 721 provenant de sportifs de haut niveau, et montre qu'une consommation sans modération de boissons énergisantes entraîne des risques de troubles du rythme cardiaque et d'hypertension.

     
    Selon ces travaux, deux tiers des interrogés ont déjà pris des boissons énergisantes et, dans 14 % des cas, la consommation est au moins hebdomadaire. De plus, cette étude met en évidence une confusion, chez les personnes sondées, entre boissons énergisantes (contenant de la caféine, de la taurine, des vitamines B, etc.) et boissons énergétiques conçues pour la pratique sportive (à base de sucre et de sels minéraux).

     
    Il apparaît, en outre, que les boissons énergisantes sont considérées principalement comme des boissons festives, consommées en soirée pour prolonger l'état de veille. Par ailleurs, la consommation de ces boissons par les sportifs intervient dans un contexte spécifique de recherche d'amélioration de performance.

     
    En conséquence, cette étude préconise la mise en place d'une politique de prévention, visant à distinguer clairement les boissons énergisantes et énergétiques, la mise en place d'un programme d'information, en lien avec les antennes médicales de prévention du dopage (AMPD), au regard de la possibilité d'utilisation de ces boissons dans le cadre d'une conduite addictive, ainsi que la diffusion aux consommateurs d'un outil pédagogique adapté et la formation d'éducateurs médico-sportifs ou sociaux pour contrer la banalisation de la consommation de boissons énergisantes hors des activités sportives.

     
    Aussi, lui demande-t-il quelles sont les mesures envisagées par le ministère en matière de prévention et d'information des consommateurs et, notamment à destination des sportifs.
     

    Réponse du Ministère des affaires sociales et de la santé publiée dans le JO Sénat du 05/12/2013 p.3495

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  • Alcool : savoir dire non (06 12 2013)

    Note publiée sur la brochure mensuelle Equilibres (n°99 décembre 2013) de l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (cliquer ici pour accéder au site de l’INPES)

    http://www.inpes.fr/CFESBases/equilibre/numeros/99/alcool_une_campagne_pour_dire_non.asp

    Alcool : Une campagne pour dire non

    Synonyme de convivialité, l'alcool se boit entre amis, en famille, à l'occasion d'un repas, d'un apéritif, d'une fête... Refuser un verre n'est pas toujours facile. C'est pourquoi la nouvelle campagne de communication en promotion de la santé lancée le 18 novembre par l'Inpes ne pointe pas les dangers liés à la consommation d'alcool, mais valorise les moyens d'agir au quotidien pour refuser le verre de trop.

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  • Traitement du Cancer : techniques et tarification (03 12 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 30 octobre 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ13080538S.html

    Question orale sans débat n° 0538S de M. Hervé Marseille (sénateur UDI-UC des Hauts-de-Seine)

    M. Hervé Marseille attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'année 2014 qui sera l'année du troisième plan cancer. Économiquement, cette année sera particulièrement difficile pour les établissements de santé dédiés à la lutte contre le cancer.

    Malgré une bonne progression de l'activité dans les centres de lutte contre le cancer, on constate en 2012 un déficit de 0,5 % des recettes, le plus élevé depuis 2008. Aussi les perspectives ne permettent-elles pas d'envisager un comblement de ce déficit, comme cela a été le cas entre 2008 et 2011. Douze des dix-huit centres ont prévu un résultat en 2013 encore plus déficitaire, de près de 4 % pour deux d'entre eux.

    Il faut dire que le financement actuel à l'activité est extrêmement complexe : il se caractérise par une forte inertie et se révèle insusceptible d'accompagner les évolutions des pratiques.

    L'enveloppe destinée aux missions d'enseignement, de recherche, de référence et d'innovation, les MERRI, qui sert à financer la validation des innovations et des activités de recours mises en œuvre de façon pionnière par les établissements de santé, est ridiculement petite : 35 millions d'euros pour l'ensemble des établissements de santé sur un ONDAM T2A de 56,6 milliards en 2013, soit moins de 0,01 %...

    Les centres de lutte contre le cancer sont nombreux à mettre en œuvre des techniques ou des organisations nouvelles. Or, alors que ces innovations pourraient être source d'économies pour l'assurance maladie, elles accroissent paradoxalement aujourd'hui le déficit de ces établissements du fait de modalités de financement inadaptées.

    Ainsi, dans le domaine de la radiothérapie, de nouvelles générations d'équipements permettent une irradiation plus précise de la tumeur, avec moins de séances. Pour les femmes atteintes d'un cancer du sein, par exemple, on passe de trente à quinze, voire à dix séances. Cependant, la diffusion de cette innovation, qui va manifestement dans l'intérêt du patient, est freinée par le financement à la séance, ce qui n'incite pas à en réduire le nombre.

    Il en est de même dans le domaine de la radiologie interventionnelle, qui vise à délivrer un courant électrique de haute fréquence à travers la paroi thoracique et sous contrôle radiologique pour détruire des métastases, dans le poumon, par exemple, et à éviter des interventions chirurgicales. C'est donc un incontestable bénéfice pour le patient, qui ne subit pas une intervention lourde avec ouverture du thorax et évite ainsi les conséquences potentielles d'une telle opération, notamment la douleur. C'est également un bénéfice en termes budgétaires, puisque le coût d'un tel geste est estimé à 4 300 euros, contre 7 000 euros pour une thoracotomie.

    Madame la ministre, ces interventions ne sont pas remboursées par l'assurance maladie. Par conséquent, les huit centres qui mettent en œuvre ces techniques perdent de l'argent, alors qu'ils proposent un meilleur traitement au patient !

    Dernier exemple, dans le domaine de l'organisation des soins, des expérimentations d'infirmières de coordination financées par l'Institut national du cancer ont montré une amélioration du parcours de soins des malades et une moindre sensation de rupture entre l'hôpital et la ville. Les neuf centres concernés ont choisi de pérenniser ces postes d'infirmière sur leurs fonds propres, convaincus de leur utilité pour les malades. En revanche, pour ce qui est de leur budget, ils y ont perdu.

    Ainsi, l'évolution des techniques et des organisations permet aujourd'hui de réduire le coût de la prise en charge médicale. Madame la ministre, de quelle façon le Gouvernement entend-il procéder à une réforme profonde du financement de la cancérologie, avec une politique publique de financement de l'innovation efficace et réactive, qui soit le moteur, et non le frein, de la lutte contre le cancer ?

    Réponse du Ministère chargé de la décentralisation publiée dans le JO Sénat du 30/10/2013 p.10629

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  • Maladie d’Alzheimer : rencontre d’Ustaritz 04/12/2013 (30 11 2013)

    Nous relayons volontiers pour nos lecteurs de la Côte Basque cette information diffusée par nos amis du CIAPA (Centre d’Information et d’Action en faveur des Personnes Agées) et de FAPA (France Alzheimer-Pyrénées Atlantiques) (cliquer ici pour accéder au site de FAPA)

    www.francealzheimer-pyreneesatlantiques.com

    France Alzheimer Pyrénées Atlantiques et le CIAPA,

    en partenariat avec le CCAS d’Ustaritz, vous invitent à une

    RENCONTRE - DEBAT

    autour de LA MALADIE D’ALZHEIMER

    Animée par le Docteur Edouard ZAPATA, Gériatre Psychiatre,

    avec le témoignage d’un Aidant familial.

    Mercredi 04 Décembre 2013 à 20h30

    Salle Lapurdi à USTARITZ

     

    FAPA - 100 avenue du Loup 64000 PAU - Tél. : 05 47 92 19 05 - Site : www.francealzheimer-pyreneesatlantiques.com - E-mail : fapa@fapa64.com

    CIAPA - 100 avenue du Loup 64000 PAU - Tél. : 05 59 80 16 37 - Site : www.ciapa.com - E-mail : ciapa@ciapa.com

     

    CCAS d’USTARITZ– Tél. : 05.59.70.58.35 - Site : www.ustaritz.fr

  • Rappel de produits (mise à jour du 23 novembre 2013)

    Nous proposons ici autour du 20 de chaque mois depuis le 21 octobre 2011, une liste d’avis publiés les 30 jours précédents sur le site de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) du Ministère de l’Economie (cliquer ici pour accéder au site du Ministère de l’Economie)

    http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/securite/alertes/Rappels-de-produits.htm

    NDLR du Blog : Les avis de rappel de produits sur le site de la DGCCRF comportent un résumé (produit, société, nature du risque) et surtout un lien permettant d’ouvrir par simple clic une fiche avec photo, description, références du produit et la démarche proposée ; ce lien peut ne plus être opérationnel si la durée de l’alerte est dépassée.

    Liste des 13 rappels de la période du 22 10 au 21 11 2013

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