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santé - Page 222

  • Fracture du col du fémur : prise en charge 1998-2009 (1/2) (06 03 2012)

    Extraits du Rapport de Philippe OBERLIN et Marie-Claude MOUQUET, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé publié dans la brochure Etudes et Résultats n°774 du 30 septembre 2011 (cliquer ici pour accéder au site de la DREES ou au texte complet pdf du rapport)

     

    http://www.sante.gouv.fr/no-774-les-modalites-de-prise-en-charge-des-fractures-du-col-du-femur-en-france-de-1998-a-2009.html

    http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er774.pdf

    Les modalités de prise en charge des fractures du col du fémur en France de 1998 à 2009

     

    Synthèse

     

    En 2009, les 79 200 fractures de l’extrémité supérieure du fémur (FESF) ont été traitées essentiellement dans des hôpitaux publics et la part de ceux-ci a régulièrement augmenté depuis 1998. Cela est vraisemblablement dû au fait qu’il s’agit d’une pathologie d’urgence à durée de séjour relativement longue, les caractéristiques démographiques des patients étant par ailleurs sensiblement les mêmes dans tous les types d’établissements.

    En 2009, 36 % des FESF ont été classées en fractures trochantériennes et 64 % en fractures cervicales ou de localisation non précisée. Un patient sur deux a eu une ostéosynthèse et deux sur cinq une prothèse.

    Les recommandations de traitement de la Haute Autorité de santé (HAS) semblent globalement suivies. En effet, en 2009, les patients victimes d’une fracture trochantérienne ont été traités près de neuf fois sur dix par ostéosynthèse. Pour les fractures cervicales ou non précisées, six patients sur dix ont eu une prothèse, le plus souvent céphalique. Néanmoins, la probabilité de mise en place d’une prothèse totale de hanche est, toutes choses égales par ailleurs, plus élevée pour les patients hospitalisés dans le secteur privé à but lucratif, et ceci quelle que soit la localisation de la fracture. Les pratiques diffèrent aussi selon les régions.

     .../…

    Des établissements publics prépondérants pour la prise en charge

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  • Hospitalisation à domicile : prise en charge (29 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 31 janvier 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-118594QE.htm

    Question n° 118594 de M. Pierre Bourguignon (député Socialiste de Seine-Maritime)

    M. Pierre Bourguignon attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la possibilité d'une mise sous entente préalable des prises en charge en hospitalisation à domicile (HAD). Cette proposition se trouve dans le rapport "Charges et produits pour l'année 2012" de la CNAMTS qui veut ainsi maîtriser les coûts de certaines interventions jugés parfois trop élevés.

    Le délégué régional de Haute-Normandie de la Fédération nationale des établissements d'hospitalisation à domicile lui a fait part de son inquiétude devant les probables dysfonctionnements liés à cette forme de régulation. Sans remettre en cause les nécessaires contrôles effectués par la CNAMTS, ses craintes portent sur le délai d'attente pour l'obtention de l'autorisation de l'organisme payeur pour l'admission du patient. Or les établissements d'HAD doivent répondre aux demandes des médecins dans un délai de 24 heures à 48 heures.

    L'utilité de ces établissements a été formellement reconnue lors de la réforme hospitalière de 1991 et leur activité (définie à l'article R. 6121-4) se trouve rigoureusement encadrée par le code de santé publique depuis 1992. D'ailleurs, la CNAMTS, reprenant les termes de la loi hôpital, patients, santé et territoires du 21 juillet 2009, spécifie dans son rapport que l'HAD est reconnue comme "une modalité d'hospitalisation à part entière". Elle juge que les établissements concernés respectent, pour la plupart, les règles de codage qui leur sont imposées. Enfin, dans le contexte du vieillissement de la population, l'HAD constitue une des réponses à la prise en charge de la dépendance, comme au souhait de nombreux patients de pouvoir bénéficier de soins chez eux.

    C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures le Gouvernement prévoit de présenter dans le futur projet loi de financement de la sécurité sociale, afin de trouver un juste équilibre entre maîtrise des coûts et développement de l'hospitalisation à domicile.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 31/01/2012 p. 952

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  • dépassements d'honoraires : prochain décret ? (28 02 2012)

    Extraits d’un article de M. Vincent Collen publié le 24 février 2012 sur le site des Echos (cliquer ici pour accéder au site des Echos)

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201917288643-les-tarifs-des-medecins-bientot-encadres-294295.php

    …/… Les textes réglementaires promis par le gouvernement pour tenter de limiter les dépassements d'honoraires des médecins libéraux sont prêts…/… Le décret et l'arrêté en question mettent en place un nouveau secteur d'exercice pour les praticiens, à mi-chemin entre le secteur 1 (tarif de la Sécurité sociale) et le secteur 2 (honoraires libres)…/…

    Les médecins qui rejoindront ce nouveau secteur -sur la base du volontariat -s'engageront à réaliser au moins 30 % de leurs actes au tarif remboursé par l'assurance-maladie. Pour les 70 % restants, les dépassements ne devront pas dépasser 50 % de ce tarif. En contrepartie, les organismes complémentaires (mutuelles, assurances et institutions de prévoyance) prendront en charge ces dépassements pour leurs clients…./…

    La polémique sur les honoraires des médecins a rebondi cette semaine avec la publication (mars 2012) d'une enquête de « 60 millions de consommateurs » sur les consultations privées des médecins de l'hôpital public…/…

  • Médicaments génériques (25 02 2012)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 7 février 2012 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée Nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-120139QE.htm

    Question n° 120139 de M. Jean-Paul Dupré (député Socialiste de l’Aude)

    M. Jean-Paul Dupré attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le prix des médicaments génériques. Tandis qu'un Français sur quatre déclare renoncer à se soigner en raison du développement de la précarité et de la charge croissante des dépenses de santé qui pèsent sur les assurés - franchises médicales, déremboursements, dépassements d'honoraires...- on constate dans le même temps que les médicaments génériques sont trois fois plus chers en France que chez nos voisins européens.

    Cette situation parfaitement anormale révèle une fois de plus l'urgente nécessité qu'il y a de prendre rapidement des mesures ambitieuses visant à réguler le prix des médicaments et notamment des médicaments génériques.

    Il lui demande s'il est dans l'intention du Gouvernement de prendre enfin des mesures en ce sens.

    Réponse du Ministère du Travail, de l’emploi et de la santé publiée au JO le 07/02/2012  p. 1148

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  • Tabac : mesures préventives (24 02 2012)

    Avis publié le 25 janvier 2012 sur le site du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) (cliquer ici pour accéder au site du HCSP)

    http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?ae=avisrapportsdomaine&clefdomaine=5&clefr=253&ar=r&menu=09.html

    Avis relatif à l’augmentation des taxes sur le tabac en vue de réduire la prévalence du tabagisme en France

    Trois constatations conduisent aujourd’hui le Haut Conseil de la santé publique à émettre un avis relatif à la fiscalité des produits du tabac. La première est qu’aujourd’hui le tabagisme est reparti à la hausse aussi bien en population générale que chez les jeunes. La seconde est son coût lié à ses conséquences sur la santé des fumeurs estimé à plus de 47 milliards d’euros par an. La troisième est que l’outil de lutte contre le tabagisme le plus efficace, à savoir les augmentations des taxes sur les produits du tabac, n’a plus été mobilisé depuis 2004, dernière année de forte augmentation des taxes sur le tabac.

    Partant de ces constatations et considérant les contraintes que représentent l’impact de la consommation de tabac sur le revenu des populations les plus défavorisées ainsi que la contrebande et les achats transfrontaliers de tabac, le Haut Conseil de la santé publique recommande d’augmenter les taxes sur tous les produits du tabac en vue d’en augmenter le prix, de taxer à la même hauteur tous les produits du tabac (cigarettes, cigares, tabac à rouler, …) et, pour contenir la possible aggravation des inégalités de santé, de redéfinir les actions de prévention. Le Haut Conseil de la santé publique recommande en particulier d’adapter les messages et les actions de prévention aux différents groupes de populations de fumeurs, de développer des actions de recherche spécifiques, y compris des recherches interventionnelles pour diminuer le tabagisme des fumeurs appartenant aux catégories sociales les plus vulnérables de fumeurs et enfin d’augmenter le remboursement du sevrage tabagique.

    Afin d’éviter la dilution des responsabilités de la politique de lutte contre le tabac et pour mieux prendre en compte les aspects sanitaires, le HCSP préconise la création d’un pilotage unique du contrôle du tabac et de l’application de la Convention Cadre de Lutte contre le Tabac de l’OMS, dépendant directement du Premier ministre.

  • Parkinson et vie quotidienne (20 02 2012)

    Nous publions volontiers cette information relayée par nos amis du CIAPA

    En partenariat avec le Comité France Parkinson 64, le CLIC de Bayonne organise une conférence sur :

    "Maladie de Parkinson et vie quotidienne"

    Conférence animée par Philippe FONTANEAU, Délégué du Comité France Parkinson Pyrénées-Atlantiques

    Mardi 6 mars 2012 de 14h00 à 16h00

    à la Salle Festive l'Albizia,

    Avenue de Plantoun (à côté de la maison de l'emploi) à BAYONNE

    Entrée gratuite et ouverte à tous

    Un pot de l'amitié clôturera la rencontre

    Pour tout renseignement, contacter :

    CLIC de Bayonne Tél : 05 59 50 80 30            France Parkinson Tél : 06 12 13 68 80