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santé - Page 226

  • honoraires medicaux : depassements (04 01 2012)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 15 décembre 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2011/qSEQ111120732.html


    Question écrite n° 20732 de M. Jean-Claude Lenoir (Orne - UMP) publiée dans le JO Sénat du 03/11/2011 - page 2793

    M. Jean-Claude Lenoir attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les dépassements d'honoraires médicaux et chirugicaux pratiqués par certains spécialistes. En dépit des mesures qui ont été prises, ces dépassements se multiplient. Le Gouvernement a récemment annoncé qu'à défaut d'accord conventionnel il prendrait toute sa responsabilité pour répondre à cette situation.

    Il souhaiterait connaître les mesures envisagées pour encadrer les dépassements d'honoraires et pour faire en sorte qu'ils ne constituent pas un obstacle à l'accès aux soins pour nos concitoyens aux revenus modestes.

    Réponse du Ministère du travail, de l'emploi et de la santé publiée dans le JO Sénat du 15/12/2011 - page 3230

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  • lettre CFR aux candidats (30 12 2011)

    Lettre de la Confédération Française des Retraités (CFR) aux CANDIDATS à l’ELECTION PRESIDENTIELLE

    Vous présentez votre candidature à la Présidence de la République

    La Confédération Française des Retraités, constituée en 2000, regroupe 5 fédérations d’associations de retraités comptant 1,5 million d’adhérents :

    • Ainés Ruraux, fédération nationale (ARFN)
    • Confédération Nationale des Retraités des Professions Libérales (CNRPL)
    • Groupement CNR-UFRB
    • Fédération Nationale des Associations de Retraités (FNAR)
    • Union Française des Retraités (UFR)

    Notre Confédération vous demande les engagements que vous comptez prendre sur les sujets suivants :

    Représentation

    Accorder à notre Confédération un statut de représentation lui permettant d’être consultée par les pouvoirs publics, d’être présente et de participer aux décisions de toutes les instances nationales où se traitent les questions concernant les retraités (Conseil Économique, Social et Environnemental, Conseil d’Orientation des Retraites, Comité de pilotage des retraites, Conseils d’Administration des organismes sociaux, etc.)

    Retraites

    -          Mettre en place un régime de retraite universel en répartition, en remplacement de tous les régimes actuels de retraite.

    -          Garantir l’indexation des pensions sur les prix, prévoir une participation aux fruits de la croissance et relever substantiellement les petites pensions en attendant le régime universel.

    -          Améliorer la compensation pécuniaire des conséquences sur la retraite de la maternité, du veuvage.

    -          Supprimer pour les pensions de réversion relevant du régime général et des régimes alignés les conditions de ressources.

     

    Perte d’autonomie

    -          Mettre en place un socle solide et universel d’aide à la perte d’autonomie quel que soit l’âge, financé par la solidarité nationale, et dans l’immédiat consolider le financement de l’APA.

    -          Améliorer les conditions de vie des personnes en perte d’autonomie et notamment leur permettre d’exercer un véritable choix entre le maintien à domicile et l’hébergement en institution :

    ·         en développant les formules d’aides aux aidants familiaux,

    ·         en améliorant les réseaux d’aides professionnels qualifiés.

    ·         en harmonisant le traitement fiscal des aides à domicile entre actifs et retraités.

    Santé

    -          Garantir à tous l’accès à des soins de qualité quel que soit l’âge et la situation géographique en respectant le principe d’équité financière.

    -          Interdire les mesures tarifaires discriminatoires en fonction de l’âge pratiquées par les organismes complémentaires d’assurance maladie.

  • Hôpitaux en Ile-de-France (29 12 2011)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 14 décembre 2011 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ11101409S.html

    Question orale sans débat n° 1409S de Mme Brigitte Gonthier-Maurin (sénateur CRC des Hauts-de-Seine)

    Monsieur le secrétaire d'État, les projets de restructuration de l'Agence régionale de santé, l'ARS, sont en train de dégrader l'accès au service public de la santé des habitants des Hauts-de-Seine.

    Dans le sud du département, l'hôpital Antoine-Béclère de Clamart est visé par un projet de regroupement avec les hôpitaux Bicêtre et Paul-Brousse, situés dans le Val-de-Marne.

    L'hôpital Antoine-Béclère couvre actuellement quinze communes, soit près de 500 000 habitants. Cet hôpital de proximité, qui répond aux besoins de la population, est aussi un hôpital de pointe en pneumologie et en fécondation in vitro.

    Le projet de l'ARS prévoit de déménager la pneumologie à l'hôpital Bicêtre, privant ainsi le sud du département des Hauts-de-Seine de quarante et un lits de spécialité, menaçant directement l'existence du service de pneumo-cardiologie ainsi que le maintien du service des urgences de l'hôpital Antoine-Béclère.

    Dès lors, vers quelles structures se tourneront les Altoséquanais ?

    L'hôpital privé d'Antony s'est déjà positionné pour assurer des permanences d'urgences de nuit. Il n'y a rien d'étonnant à cela ! On retrouve là le processus, à l'œuvre sur tout le territoire, de la privatisation accélérée, liée à la loi portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, la loi HPST.

    Dans le nord du département, on observe la même logique de restriction avec les hôpitaux Louis-Mourier à Colombes et Max-Fourestier à Nanterre.

    L'ARS prévoit de « redistribuer » l'offre de soins non pas en fonction des besoins, mais selon le seul critère de la rentabilité. Par exemple, l'hôpital Max-Fourestier à Nanterre perdrait la réanimation et les urgences de nuit, transférées à l'hôpital Louis-Mourier à Colombes. Vidé de ces services, l'hôpital de Nanterre sera immanquablement poussé à la fermeture.

    Au total, ce rapprochement se traduirait par des suppressions d'emplois, alors même que, par exemple, la maternité de Colombes, récemment en grève, souffre d'un manque criant de personnel !

    À Clichy, c'est l'hôpital Beaujon qui doit être intégré dans le groupe hospitalier « Beaujon, Bichat, Bretonneau, Louis-Mourier ».

    La conséquence de cette mutualisation serait la fermeture des urgences de l'hôpital Beaujon, le transfert du service de psychiatrie, alors même que cet hôpital répond aux besoins des populations de Clichy, d'Asnières, de Levallois, de Gennevilliers, de Bois-Colombes et de Villeneuve-la-Garenne, soit plus de 500 000 habitants et salariés ; 32 000 patients se présentent en moyenne chaque année aux urgences. Si ces dernières étaient fermées, ils devraient se rendre à l'hôpital Bichat à Paris, où 70 000 passages aux urgences sont déjà enregistrés chaque année !

    Les restructurations engagées à l'hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt, notamment avec la fusion des réanimations, sont de la même veine.

    La situation est donc préoccupante. Les projets en cours, véritable chaos pour le service public hospitalier, sont et seront synonymes de nouvelles et profondes inégalités d'accès aux soins pour les habitants des Hauts-de-Seine. Les élus de proximité ne peuvent que s'y opposer.

    Je demande donc aujourd'hui au Gouvernement de stopper ces projets. Sinon, comment compte-t-il encore pouvoir garantir aux habitants de ce département un accès de qualité et de proximité au service public de la santé ?

    Réponse du Secrétaire d'État chargé du commerce extérieur publiée dans le JO Sénat du 14/12/2011 – p. 9674

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  • Réseaux de soins palliatifs : financement (27 12 2011)

    Question de député et réponse ministérielle publiées le 6 décembre 2011 sur le site de l’Assemblée Nationale (cliquer ici pour accéder au site de l’Assemblée nationale)

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-120719QE.htm

    Question n° 120719 de M. Jacques Remiller (député UMP de l’Isère)

    M. Jacques Remiller alerte Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les suites à donner au rapport remis le 6 juin dernier à M. le Président de la République par le professeur Régis Aubry, coordinateur du programme national des soins palliatifs 2008-2012. Ce rapport pointe notamment l'inégale répartition de l'offre de soins et un manque d'effectif dans les structures dédiées.

    Notre pays compte au total 107 unités de soins palliatifs et chaque région en a au moins une ; mais pour 100 000 habitants, le taux d'équipement en lits varie de 0,4 à 4,8 et les unités sont concentrées dans 5 régions qui totalisent 71 % des lits alors qu'elles ne représentent que 48 % de la population. Par ailleurs, l'insuffisance des moyens de fonctionnement semble d'autant plus regrettable que les financements sont dégagés mais sont apparemment amputés soit par les agences régionales de santé, soit par les hôpitaux vers d'autres objectifs tels que la réduction des déficits.

    Dans ce contexte, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il entend prendre pour remédier à ces dysfonctionnements et améliorer la mise en oeuvre du plan national de développement des soins palliatifs.

    Réponse du Ministère de la Santé publiée au JO le 06/12/2011 p. 12880

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  • Coopérations futures entre professionnels de santé (14 12 2011)

    Extraits (synthèse, sommaire, propositions, conclusions) de la note d’analyse n°254 (décembre 2011) de Mmes Élise Anger et Virginie Gimbert, avec la collaboration de Mathilde Reynaudi et de Sylvain Lemoine, département Questions sociales, publiée le 5 décembre 2011 sur le site du Centre d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

    http://www.strategie.gouv.fr/content/les-cooperations-entre-professionnels-de-sante-note-danalyse-254-decembre-2011.html

    SYNTHESE

    À quoi ressemblera l’offre de santé en France dans vingt ans ? Les défis sanitaires sont nombreux : hausse des maladies chroniques, vieillissement de la population, évolution de la démographie médicale, etc.

    Pour y répondre, deux leviers d’action sont disponibles. D’une part, la télésanté, ou production de soins à distance. D’autre part, la coopération entre professionnels de santé, grâce à laquelle personnels médicaux et paramédicaux peuvent développer de nouveaux modes d’exercice collectif et opérer entre eux des transferts d’activité afin d’optimiser la production de soins.

    ·         Quelles opportunités pour l'offre de soins de demain ? Les coopérations entre professionnels de santé

    En France, ces démarches sont encore marginales, notamment dans le secteur ambulatoire, car elles nécessitent de faire évoluer certains principes d’exercice libéral. Dans d’autres pays, les coopérations sont très développées dans le champ des soins primaires, mobilisant surtout médecins généralistes et infirmiers sur l’accès aux soins courants et sur la qualité de prise en charge des pathologies chroniques.

    Cette évolution requiert une politique volontariste de soutien aux structures pluridisciplinaires et la reconnaissance juridique des nouvelles compétences acquises. L’essor des coopérations en France, gage d’un renforcement du secteur ambulatoire, permettrait, sous certaines conditions, de mieux adapter l’offre aux besoins des patients et d’améliorer l’efficience du système de santé en réduisant le poids des dépenses hospitalières.

    SOMMAIRE

    ·         En France, des avancées récentes, encore marginales

    ·         L'essor des coopérations dans les systèmes de santé occidentaux : quels enseignements pour la France ?

    ·         Développer et structurer les coopérations pour réorganiser les soins primaires en France

     

    PROPOSITIONS

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  • Télésanté dans l’offre de soins de demain (11 12 2011)

    Extraits (synthèse, propositions, conclusion) d’une note de Mmes Mathilde Reynaudi et Sarah Sauneron, département Questions sociales publiée en décembre 2011 (note d’analyse n°255) sur le site du Centre  d’Analyse Stratégique (cliquer ici pour accéder au site du CAS)

     

    http://www.strategie.gouv.fr/content/la-telesante-note-danalyse-255-decembre-2011#les-ressources.html

     

    Quelles opportunités pour l’offre de soins de demain ? La télésanté

    À quoi ressemblera l’offre de santé en France dans vingt ans ? Les défis sanitaires sont nombreux : hausse des maladies chroniques, vieillissement de la population, évolution de la démographie médicale, etc. Pour y répondre, deux leviers d’action sont disponibles.

    D’une part, le développement des coopérations entre professionnels de santé, sujet traité dans le premier volet de ce mini-dossier consacré à la santé demain. D’autre part, la production de soins à distance grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC) : on parle alors de télésanté.

    Aujourd’hui, son potentiel reste à exploiter. Elle demeure un secteur émergent, confronté à des freins juridiques, économiques et culturels. Lever ces obstacles permettra de passer d’expériences éparses, nées sous l’impulsion de quelques acteurs, à un déploiement plus ambitieux. Dans un schéma idéal, l’apport de la télésanté ne se cantonnera pas à la dématérialisation des procédures existantes. Elle sera aussi à l’origine d’un saut qualitatif en engendrant de nouveaux services, des pratiques plus collégiales et une réorganisation des structures sanitaires selon leur degré de spécialisation. Ainsi, la télésanté donnera corps à un continuum de soins, contribuant à l’orientation optimale du patient dans un système intégré couvrant domicile, soins primaires et aigus, soins de suite et médico-sociaux.

    Enfin, les TIC contribueront à faire de l’usager un coproducteur de santé.

     

    LES ENJEUX

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