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société, cadre de vie - Page 467

  • Filière Viande (04 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 22 février 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2013/qSEQ13020107G.html

     

    Question d'actualité au gouvernement n° 0107G de M. Jean-Jacques Mirassou (sénateur socialiste de la Haute-Garonne)

    M. Jean-Jacques Mirassou. Ma question s'adresse à M. le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt et concerne le dossier de la fraude à la viande, qui inquiète à juste titre nos compatriotes dans le contexte d'un fort emballement médiatique. 

    Je tiens d'abord à souligner et à saluer le fait que le Gouvernement a agi, tout particulièrement les ministres concernés, MM. Le Foll, Hamon et Garot, dans le cadre de leurs prérogatives respectives, avec rapidité, fermeté, discernement et transparence. (Applaudissements sur les travées du groupe socialiste et du groupe écologiste.) C'était indispensable pour démontrer au consommateur que sa confiance dans les pouvoirs publics français est pleinement justifiée.

    Parallèlement, il faut constater que les méandres européens empruntés par les viandes transformées sont extrêmement complexes. Ce dossier démontre, parce qu'il y a eu manifestement rupture de traçabilité, que les dispositifs de contrôle sont à améliorer. Il est absolument indispensable que le consommateur, dernier maillon de la chaîne, sache ce qu'il y a dans son assiette.

    Plus localement, il était également impératif de rassurer les salariés de la société Spanghero, la population de Castelnaudary, les élus locaux concernés et les parlementaires de l'Aude, et de répondre à leurs interrogations sur la pérennité des emplois de la société visée. De ce point de vue, la suspension de l'agrément, qui n'a pas dépassé quatre jours, était pleinement justifiée et s'inscrivait dans cette logique.

    Les enquêtes sanitaires, administratives et vétérinaires permettront quant à elles de savoir ce qui s'est passé, d'en tirer les conséquences et de prendre des sanctions contre les auteurs de cette fraude.

    Plus généralement, cette affaire s'inscrit dans le cadre d'un commerce alimentaire qui s'est lancé dans une recherche frénétique du profit et où des produits de base de l'alimentation humaine sont désignés par le terme tristement révélateur de « minerai ». C'est ainsi que, en six mois, la vente de 750 tonnes de viande de cheval à la place de viande de bœuf aurait dégagé un surprofit de 550 000 euros !

    Beaucoup reste donc à faire pour parvenir à une solution satisfaisante permettant de garantir non seulement les intérêts des salariés de la filière, mais aussi et surtout ceux des consommateurs. 

    Monsieur le ministre, pouvez-vous faire le point sur l'actualité de ce dossier compliqué, dont l'évolution est très rapide ? Quelles sont les pistes de travail que vous entendez privilégier pour qu'une telle affaire ne se reproduise pas ?

    Réponse du Ministère de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt publiée dans le JO Sénat du 22/02/2013 p. 1482

     

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  • Permanence des soins : organisation en Meuse (02 03 2013)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 17 janvier 2013 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120623701.html

    Question écrite n° 23701 de M. Christian Namy (Meuse - UCR)

    M. Christian Namy attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la nouvelle organisation de la permanence des soins en Meuse, menée par l'agence régionale de santé (ARS) de Lorraine, qui suscite colère et indignation auprès des médecins.

    Ainsi, le 16 avril 2012 a été mise en place la nouvelle sectorisation dans le cadre de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), l'ARS faisant fi des propositions du CDOM 55 (Conseil départemental de l'ordre des médecins) proposant de confier la nuit profonde aux services d'urgence comme dans 50 % des départements.

    Jusqu'alors divisée en dix-neuf secteurs géographiques de garde de nuit (de minuit à 7 h 30), la Meuse, département rural de 152 généralistes dont l'âge moyen est de 52 ans, n'en compte plus aujourd'hui que sept ; l'augmentation de la taille des secteurs conduit inévitablement à un accroissement de la distance d'accès aux soins et/ou des délais d'intervention (des déplacements pouvant aller au-delà de 100 km aller-retour avec un risque d'accidents sur les routes de campagne), à une efficience diminuée, sans coordination avec les pharmacies, à une qualité des soins dégradée.

    En outre, cette nouvelle organisation, provoquant l'explosion des demandes d'exemption de garde pour raison d'âge ou pour raisons médicales, aggrave la désertification médicale de notre département rural à la fois en décourageant d'éventuelles installations mais aussi en poussant les médecins installés à cesser leur activité de garde, et même libérale pour certains.

    Enfin, dans le cadre de cette nouvelle sectorisation, les praticiens déplorent le non-respect du « volontariat et du non-volontariat », base sur laquelle sont fondées la permanence des soins libérale et les réquisitions par le préfet. Par conséquent, il lui demande quelles sont ses intentions pour remédier à cette situation qui ne peut perdurer.

    Réponse du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé publiée dans le JO du Sénat du 17 janvier 2013, p. 134

     

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  • Economie Française : climat (février 2013) (28 02 2013)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 20 février 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=105&date=20130220.html

    Le climat des affaires en France reste défavorable en février 2013

    Indicateurs de climat des affaires et de retournement conjoncturel – Février 2013

    Le climat des affaires reste dégradé…

    L’indicateur du climat des affaires en France, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, est stable en février et s’établit à 87 points. Il est nettement en dessous de sa moyenne de longue période (100). Les indicateurs sectoriels restent également à des niveaux bas en février. L’indicateur du climat des affaires dans l’industrie gagne trois points, tandis que dans les services, l’indicateur synthétique retrouve son niveau de novembre après une hausse en janvier. Les indicateurs du climat des affaires dans le bâtiment et le commerce de détail sont quasi stables.

    … dans une dynamique encore défavorable

    L'indicateur de retournement calculé au niveau France reste en zone défavorable.

  • Prix consommation : point janvier 2013 (26 02 2013)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 20 février 2013 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=29&date=20130220.html

    Les prix à la consommation baissent de 0,5 % en janvier 2013 ; ils augmentent de 1,2 % sur un an

    Indice des prix à la consommation – Janvier 2013

    À partir de janvier 2013, l’Insee publie un nouvel indice, appelé « IPC des ménages du 1er quintile de la distribution des niveaux de vie ». Il est destiné au calcul de la revalorisation du salaire minimum de croissance (SMIC) tel que défini par le décret n° 2013-123 du 7 février 2013.

    Évolution mensuelle : —0,5 % ; variation sur un an : +1,2 %

     

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  • Retraites : perspectives 2020, 2040 et 2060 (5/5) (22 02 2013)

    Nous proposons sur cinq jours des extraits (hors tableaux et graphiques) Présentation, Introduction, Synthèse, du 12e rapport du Conseil d’Orientation des Retraites « Retraites : perspectives 2020, 2040 et 2060 » adopté le 19 décembre 2012 et publié sur le site du COR (cliquer ci-dessous pour accéder au site du COR ou au texte du Communiqué de presse sous pdf)

    http://www.cor-retraites.fr/article386.html

    http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1890.pdf

    SOMMAIRE

    1. Communiqué de presse

    2. Introduction du rapport

    3. Synthèse du rapport

    …/…

    IV. Les conditions de l’équilibre du système de retraite

    L’abaque associé aux projections du Conseil vise à illustrer la diversité des choix possibles pour assurer, à un horizon donné, l’équilibre financier du système de retraite. Ces choix, sans qu’aucun en particulier ne soit privilégié par le COR, portent in fine sur les trois leviers que sont le rapport entre la pension moyenne nette et le revenu moyen net d’activité, le niveau des ressources et l’âge effectif moyen de départ à la retraite. En outre, l’abaque n’aborde pas la question des paramètres sur lesquels agir pour concrétiser ces choix. Les conditions de l’équilibre sont présentées aux horizons 2020, 2040 et 2060. 

     

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  • Retraites : perspectives 2020, 2040 et 2060 (4/5) (21 02 2013)

    Nous proposons sur cinq jours des extraits (hors tableaux et graphiques) Présentation, Introduction, Synthèse, du 12e rapport du Conseil d’Orientation des Retraites « Retraites : perspectives 2020, 2040 et 2060 » adopté le 19 décembre 2012 et publié sur le site du COR (cliquer ci-dessous pour accéder au site du COR ou au texte du Communiqué de presse sous pdf)

    http://www.cor-retraites.fr/article386.html

    http://www.cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1890.pdf

    SOMMAIRE

    1. Communiqué de presse

    2. Introduction du rapport

    3. Synthèse du rapport

    …/…

    2. Les perspectives financières 

    La situation financière des régimes de retraite à court et moyen terme serait marquée par le contexte macroéconomique dégradé liée à la  poursuite de la crise jusqu’en 2013, puis par l’amélioration progressive escomptée pendant tout le reste de la décennie jusqu'en 2020. 

    Le solde du système de retraite (y compris le FSV) resterait négatif à court et moyen terme.

    Le besoin de financement se creuserait régulièrement au cours des premières années, passant de 14 milliards d’euros en 2011 à 21,3 milliards en 2017, soit respectivement 0,7 et 1 point de PIB. 

    Dans les scénarios économiques les plus favorables –scénario A et variante A’–, il commencerait ensuite à se réduire grâce  au dynamisme accru des ressources lié à la diminution du chômage et à l’amélioration des salaires. A l’inverse, il continuerait de se creuser dans les scénarios les moins favorables. Le besoin de financement du système de retraite représenterait en 2020 entre 20,8 et  24,9 milliards d’euros selon les scénarios et variantes, soit 0,9 à 1,1 point de PIB.

    Par rapport aux projections réalisées en 2010, ces perspectives financières apparaissent moins dégradées, sans qu’il ait été possible de quantifier toutes les sources d’écart : cadre comptable modifié, hypothèse conventionnelle pour le taux de cotisation implicite de l'Etat employeur différente, hypothèses démographiques révisées, prise en compte de toutes les évolutions depuis 2010 de la législation sur les retraites, nouveaux scénarios économiques... Au total, le système de retraite resterait en besoin de financement en 2020.

     

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